Le devenir de l'homme passe par des interrogations substantielles. Le nectar des dieux ce nectar se confond en des tasses de maté. Le zen a du bon et dans cet état de coordination entre la motricité et le devenir de certains de ces actes fondateurs il n'y a que le sol de la terre pour exorciser ces mauvais karmas. Alors … La subtilité réside dans le fait que la nuit certaines nuisances peuvent être ainsi dé fracturées. Le moment ou la lune pointe le bout de son nez apparaître comme une sorte de kill bill. La venue sur cette Terre de moments agréables donnent un aspect de récurrence à ces moments de détentes bien mérités. Le fragment de ces musiques anciennes corrobore certaines vérités qui nuisent à l’appât. Le bien dénommé Fabien sera en fait un leurre pour mieux accorder des vérités que dictent sa pensée. Le renom de ce nom proclame haut et fort une tour de guet. LA muraille resplendira de mille feux quand au couchant une personne ira s'asseoir sur ce banc. La montée des sens doit se faire en accentuant des sources des brides de musique. L'appel du large le confinement dictera des points névralgiques que quand la rumeur selon laquelle le vaccin fonctionne sera de mise. L'écho se fera sentir de mille feux. La diction, l'articulation de ces caravanes venus d'Afrique dicteront des masses de données partagées avec les chercheurs. Le bonze. L'acuité. Les sens sur développés. La magie de cet être humain. Exponentielle.

Là on ne rigole plus. D'autre le feront pour mieux cerner ces glapissements. Le retour sur le terre ferme endossera quelques minutes de satisfaction. Divisions avérées cela passe par une montée de sérotonine bien entrevue. Le sort la magique nuit pour des milliards de gens. Joli garçon. Beau garçon. Les flegmes et les relents de bonne présure feront le reste. La diversité en somme est une façon à moi de dire que le monde peut et doit surtout aller mieux. Les peuples ; Les hommes ; les femmes ; les enfants. Tout se corrobore en un lieu saint cette chambre de tous les délices. Comment ne pas dire que les autres ceux qui sont vilains apprivoisent avec emphase leur diction. La proportionnalité de cette nouvelle épreuve doit servir l'avenir des plus petits. Rendre les armes signifierait une très bonne avancée. Alors que le mal est en train de se calmer le bien l'emportera je ne lâcherais pas mes principes. Le bien. Alors rit tant que tu peux et j'aurais ardemment envie de soulever ce voile. Pour toi et uniquement toi. Alors...

Il est de ce que l'homme veut bien donner. Il se tord dans mille sens pour essayer de se défaire de ces affaires dont il a un certain sens. Démêler cette vérité profonde pour mieux être. La vie n'a pas été si magnificence jusqu'à il n'y a pas si longtemps. Il est un être rempli de bonnes intentions et se dicte des principes graduels. L'espoir, l'espérance peut e fait faire de grandes choses. Les jours passent et lui se retrouve de plus en plus seul dans cette grotte qu'il affectionne. Se dire que les tempêtes psychologiques sont des événements marquants dans la vie d'un homme. Ces ennuis envolés il se dicte une présence factuelle qui corrobore des faits et gestes qui l'ont marqués. Fini les galères il est dans une attitude de penseur.
Héros malgré lui. Il est quand même et avant tout un homme.Un être humain malgré tout. Certaines de ses aspirations sont en cours d' exécution comme ce livre qu 'il s'est promis d'écrire un jour. Alors il prend son courage à deux mains et trouve des ressources mentales pour tenter de sauver les apparences. Multicolores comme ces arcs-en-ciel.
Il aime la vie et se défait de ces pratiques de ces rituels qu'il a. Son devenir ou plutôt le devenir de chacun le préoccupe. Il semble être armé de patience et de générosité pour accueillir dans sa maison spirituelle ceux qui veulent le suivre.
Abords dégagés il file fumer ; s'en griller qui sera aussi bonne que ces merveilles. La tour penchée. Les gâteaux que lui faisait sa famille. Déroutante apnée ; il vogue tel un marin à la barre de son bateau pour mieux entrevoir l'avenir. Il sera bien. Enchanteur. Alors ses doigts glissent sur ce clavier pour mieux conserver cette vie. Écrivain en herbe il dicte à travers ces textes des idées qui lui sont siennes. La naissance, la renaissance il ne sait pas trop sur quel pied danser. Sa boisson maintenant : le thé. Cela le pacifie. L’entraîne sur des chemins de traverse que lui dicte son esprit. C'est un bon homme, un bonhomme sur lequel on peut compter. Il est vertueux. Son axe de vie : le bien des hommes. Il se sait attendu au tournant et alors que les étoiles scintillent dans le ciel ce soir il ne dormira pas. A la place il effleurera ces touches comme pour exorciser ces vieux démons qui l'ont accompagné durant ces quelques années de vie.
Il demeure et reste humble face à ces péripéties que sont le désordre mental. Son éclosion fait transparaître de nouvelles qualités. L'obéissance lui dit de parler mais les mots couchés sur du papier l'affectent plus. Il semble comme transposé dans vie qui est et restera graduelle.
Un rêve alors : oui c'est cela exaucé. Une chose alors rayée de sa liste. Un gros poids sera en fait enlevé de sa personne de son âme. Alors c'est une grande chose de dire que les toutes ne sont pas bonnes à dire mais le ressenti est avant tout commun. Il a appris à travers le temps à se dégourdir les neurones. Ce soir il se videra de tous ces maux pour mieux apprendre à se lever et dire qu'il l'a fait. Cette nuit sera une bienfaitrice de souhaits.
L'amendement est tel que par exemple une chose qu'il a connue est l'alcoolisme notoire. De défaites en défaites il s'est défait de ce mal non sans mal. Il lui est resté à chaque rechutes un espoir de guérison. Mais attendez une chose vraie et réelle c'est que on ne guérit pas de l'alcool. C'est sur. On en un à vie. Le petit truc qu'il a trouvé une fois c'était le fuite par rapport à ce mal. Alors il se trahissait. D'évitements en évitements il se barrait d'un trait sa vie. Il se cachait sans cesse. Il fuyait cette dure réalité et ne faisait que de dire qu'il allait loin et surtout bien. Il était tout simplement dans le déni total et parcourait les zones rouges d'un autre regard.
Il n'était pas assez mature pour dire que comme un enfant il se donnait des mauvaises récompenses : un verre. Puis un autre et la bouteille. Le sol de sa salle à manger ressemblait à un champs de bataille ou trônait par terre des cadavres inanimés. Toujours plus était se devise dans ces moments de délivrance ou il sentait la chaleur de ce liquide parcourir son être. De failles en failles il se rend compte aujourd'hui du fric qu'il a laissé dans cette merde. Le repli sur soi-même, l'éboulement de cette partie de soi-même cette perte de connaissances. Heureusement que des neurones repoussent car autrement il en serait un: un légume. Et puis il y a cette odeur que vous ne sentez vous mais que les autres ressentent. Vous vous sentez mal à l'aise en société les seuls moments de délivrance dans cette maladie c'est quand vous sombrez moralement et psychologiquement dans une déroute sociale. Perte de tout et de plus le regard. Les yeux ne mentent pas. Mal dans sa peau.Perte d'estime de soi. Le seul moment ou la sérotonine prend le dessus c'est dans l'accueil du premier verre. Celui-là c'est le pire. Mais le meilleur pour la tête. L'état de manque, les sueurs blanches ; les tremblements. Et elle la petite voix intérieure qui résonne et ding don g l'heure est venue. De quoi ? De boire. Il était une loque humaine le linge puant la dérision d'un autre monde ou les explications ne servent à rien, les mises en garde conventionnelles se déchirent dans ce vase clos. Sa plus grande victoire : avoir eu ce déclic pour mieux se transposer dans une autre vie mais c'était la même oui et non car seul la grande victoire peut passe pour des leçons. Des leçons de vie. Une école alors. Oui celle des sentiments ou paraissent compter la valeur de l'homme. Une seule et unanime. On peut s'en sauver si je l'ai et déjà d'autres y sont arrivés avant moi. Il faut savoir être patient et chaque rechute vous mène vers l’autonomie personnelle. Ce n'est qu'à nous de pouvoir dire non et non les amis la famille qui eux souffrent. Le fameux déclic. C'est dans la tête que cela se passe et les changements opérés après celui-ci change et transforme l'existence. On est un autre avec une telle évolution et puis tout ce temps ou il buvait ne peut être rattrapé. Du temps foutu en l'air. Des raisons d'espérer, l'espoir fait vivre. Il ne faut jamais baisser les bras. Avoir trouver la force en nous de lutter contre cette merde. Contre mauvaise fortune bonheur. Il faut savoir se dire que les choses s'arrangent dans la vie et il peut dire que les réjouissances sont bienheureuses et réconfortantes.
Tout simplement il faut savoir accepter les choses de al vie. Se dire que derrière l'arbre se cache la foret. Derrières les bouteilles se cachent une certaine harmonie. Vivre est tout simplement un idéal que tout les malades peuvent avoir. Il s'est brisé tellement de rêves. Une vingtaine d'années passés dans les addictions. Autant de bonheur envolé d'illusions imparfaites détruites. A l'aube de ces quarante cinq ans dans deux ans il pourra souffler les bougies d'un gâteau sereinement. Il est mieux mais les épreuves de la vie ne s’arrêtent pas là. Que peut-on dire de la longévité ? Qu'il faut se forger une carapace pour mieux définir des orientations. Alors il prend son mal en patience et accepte de toute les manières il n'en a pas le choix. Le destin était ainsi écrit. Regrette-t-il?Es-t-il amer. Est-il bon de rappeler aussi et là il a touché du bois qu'il n'a pas contracté de maladies lié à l'alcoolisme. Sobre depuis quelques années il ne retouche pas à ça. Il est passé à autre chose . Des plaisirs anodins que des gens ne peuvent pas savoir à quel point cela a été dur de se confronter mais il est dans une certaine acceptation de faire des courses dans un supermarché sans avoir des pulsions. Ou de prendre dans un bar un café tout en étant au contact de buveurs. Il préfère maintenant se frotter aux ivresses de la lecture, de la peinture qu’il a un peu délaissée mais cela reviendra. Ce sont juste des cycles. L'appartenance aux abstinents est des siens. Des lignes écrites et publiées pourront peut être aider des gens à mieux cerner la mal ; le tout est de ne froisser une personne qui souffre. Lui donner des chances de se refaire une santé mentale. Il faut dire que dans chaque rechute un alcoolo apprend toujours de ces erreurs. Le cerveau enregistre tout. Même le plus petit détail. Les paroles mal placées un discours de façade fait d'encouragements donne t un peu plus de valeur humaine. Essayer de créer un lien. Il sait que l'attente est grande mais des paliers sont nécessaires pour arriver à un stade ou la confiance a regagner est grande. Remis dans des retranchements il se braque et n'a plus toute sa lucidité pour tenter de sauver les apparences. Le lien est très important pour certaines personnes. Pour lui ours qu'il est la solitude il aime cela se retrouver face à lui-même. Être devant des réponses à des questions qu'il se pose. Trouver sa route, sa voie de sortie ; espérer des jours meilleurs cela est bien de trouver un sens à sa vie. Elle est tellement courte que chaque moment a son importance. Il faut l'aider à sauter les obstacles pour que le parcours soit dégagé.

Deuxième temps la drogue. Il n'en est pas fier mais ce chemin va de pair entre le cannabis et l'alcool. Cela fait boom boom. Depuis des années il fumait déjà adolescent au lycée. Pour se faire accepter de certains de ces camarades il s'est vite mis à al page. Trop vite. Il était traité de caliméro une tête de turc qui la emprisonné dans une sorte de bulle. Il ne pouvait se défaire de cette risée. Cela l'a très jeune baisser de barrières qui pouvait l'aider à lutter contre ces ségrégations psychologiques. Il était un supplice à lui-même. Il ne mésestimait et cela l'a rendu opaque aux yeux des gens. Très vite dégradé, il s'est encore plus refermé et non éclos comme une fleur. Deux ans de brimades. Il n’oubliera jamais ces moments de régressions psychologiques. A jamais cette adolescente brisée ne rapportera un brin de nostalgie. Peut-il seulement croire à un effacement de ces moments de solitude. Non il ne pourra pas. L'effet de cette drogue l'emmenais vers des mondes différents ou la réalité n'est pas la même. Enfin aujourd'hui il peut aussi jouir de cette liberté tant espéré. Abstinent.

Que de se dire de quelqu'un qu'il a un handicap est bien. Le déni est passé. Une autre phase l'acceptation est en chemin.Pour vivre il faut être en accord avec soi-même. Douloureuses épreuves passées il faut tenir la barre des émotions en place. Ne pas se dire que la vie s’arrête quand de mauvaises nouvelles arrivent. Le finish.Ne pas être terrorisé quand le devoir doit simplement se faire la part belle. Les décisions concernant son propre statut ne doivent pas négliger des différences certaines. Des associations existent pour que les gens se sentent épauler. Ne pas rester recroquevillé sur soi-même et toujours se dire que les chemins de traverses doivent être revus à la hausse. Le principe des vases communicants. La recherche est là ébahie. D’où viennent ces idées sans cesse meilleures de jours en jours. Fini les fauteuils roulants fini cette vie non vécue de part les anglicismes mal traduits. La sincérité doit être en phase avec ce bout de terre si mal conduit. Alors... Le certain age avançant il faut se dire que les personnes âgées puisent leur force dans la lecture et les BD. Le refrain doit être entonner comme ceci : mon sapin roi des forets. La force tirée des arbres dicteront une certaine valeur que s'appropriera des gens qui achèteront des sapins avec la crèche à son pied. Quel panard de se dira que bientôt Noël passera dans ces années paires. Pères. La mobilité réduite, le sens commun des affaires, un certain renouveau avec l'accueil de leur famille activeront de jolies boules. Une rouge une verte une bleue et cela est exponentiel/ Avec l'étoile au sommet. Et surtout n'oubliez les guirlandes illuminées. La liste au Père Noël vous pouvez la faire. Il sera en compagnie de ces lutins de répondre sous huitaine avec un petit cadeau : une plume. Quoi de plus enfantin de rire de bailler aux corneilles. Alors exécute et tu sauras ou mettre ces clés. Réfléchis donc bien à l'endroit. Le marsupilami : ouba ouba.

Troisièmement le sexe.
A partir de sa puberté il cherche à avoir des relations sans sexe. Sa première il s'en souviens s'est soldé par un échec cuisant. Pourtant la nuit il s'imaginait fantasmait sur cette drôle de partie de jambes en l'air. Arrivé à la majorité il s'est vu avoir des relations certaines et sures. Il était un autre entre l'alcool la drogue et le sexe. Il en demandait toujours plus à ses partenaires qui au bout d'un moment ne pouvait pas suivre. Il était comme lésé. Alors pour ne pas se frustrer il s'adonnait à des sites interdits la nuit. De toute les manières il n'était pas satisfait des relations qu'il avait et engendrait de la peine et des remords emplis de crispations maintenant qu'il y repense inutiles. Aujourd'hui il est plus calme et son age fait que la maturité est bien là. Vous me direz elle arrive quand l’être se sent bien dans ses baskets. Et que réfléchi il s'adonne à des plaisirs moins charnels et plus exotiques, raffinées. Légion de connaissances il engloutit les mots. Tel un cannibale il se défait de cette luxure sexuelle pour trouver un autre chemin de batailles dans ceci. Les mots le libèrent de ces anciennes addictions. A quand le remue ménage dans cette tête bien remplie. Il est devenu un sage et cette sagesse il l'emploie dans d'autres domaines. Les expériences lui ont données des facettes de cette personnalité ambiante. Riche de cœur il oublie un peu ces démons pour que les anges prennent lieu et place dans ce cercle bien défini.
Il ne peut que compter sur sa famille et les cœurs épris ne sont pour l'instant un contact factuel. Il est bien dans cette solitude et l'égard porté à la gente féminine est une chose qu'il emploie à les défaire de ces maux ambiants. Il demeure peut être un séducteur au plus profond de lui-même mais il n'en joue pas. Il se dit et il a raison on ne joue pas avec les sentiments. Drôle de vie quand même il se le dit des fois. Bien remplie. La construction incessante de malheurs transformée en de vives espérances lui ont valu un certain degré de confiance en lui. Il s'est tiré de pas mal d'embarras et les a transformé en forces vives pour mieux aborder cette deuxième partie de vie. Il le sait ce qui ne tue pas rend plus fort. L'exigence qu'il a maintenant arrive de part et d 'autre des cotés. Latéralement il se met. En avançant en crabe il se délecte de toutes les périphéries qui forment aujourd'hui une carapace. Il a grandit tardivement. Mieux vaut tard que jamais. Aujourd'hui il est acteur de ces moments de vie qui forment un tout. L'espoir d'une vie meilleure il y a toujours cru et les épreuves lui ont donné de la force qu'il essaie de partager. L'érosion de ce cœur est en fait comme un cratère dont ne sort que quelques coulées qui se solidifient en touchant ce qui est liquide. Cela sert de base. Celle-ci arpente des souvenirs de cette vie d’avant qui est bien mieux aujourd'hui. Cela a révélé en lui des sommes de sérénité. Il est transformé en un homme debout. Alors quoi qu'il arrive dans votre vie ne baissez jamais les bras et il faut se battre pour que la vie votre vie soit claire.
Homme debout un instant, homme debout toujours.
Olivier ; pour rendre à un homme qui m'a inspiré cette sérénité et ce désir de faire grandir l'autre : l'abbé Pierre.

Et dire que des bonnes actions étaient toujours récompensées. Ce n'est pas grave le soleil dans ces nuages ténébreux donnent un aperçu de ce que les gens sont prêts à faire pour avoir du pouvoir. La lignée. La ligne. Le compte à rebours est enclenché et les pérégrinations sont de facto un errement de fortune. Le risque : être mêler à de sombres histoires qui polluent cette Terre. L'avenir n'est pas un long passé il est autre et se défait de cette accalmie qui n'en est pas une. La pierre. Le joyau. La couronne d'épines. Et oui il ne fallait pas commencer. Le triste sort de cette petite fille apeurée miaule de part cette envie de sourires. En automne les feuilles volent et de part cette pluie infinie de sentiments donnent une valeur ajoutée. Le plus : l'accord avec cette terre qui donne. Alors rend si tu es un homme. Je crois de facto présent une sorte d'accords mal accordés. La musique les livres me suffisent pour que dans cette vie les choses changent. Le plus terrible dans cette histoire c'est la cassure, la fracture dans laquelle se trouve les gens. Une confiance mal accordée. Une leçon à retenir. Alors ….

L'ordre est en train de se pourfendre un nouveau mot d'ordre : le désenclavement des populations instruites. L'age de la raison donne une étincelle de vie, d'espoir de réussite. Alors..... Le moment n'est pas le plus conventionnel mais l'ordre se veut pressé. Ma perception des choses donnera un coup de fusil savonneux à la faveur de l'automne. Nombre de ceux qui sont rejetés prendront une revanche sur la vie. Les locaux sont prêts à accueillir pas mal de monde. Alors.... Le risque est de percevoir en chacun d'eux une étincelle de vie, d'espoir. Cette fin d'année s'annonce plein de cadeaux de vie. Alors... La partie est de savoir si en chacun d'eux se trouvera un geste à parfaire : l’Ostie. Le manque de clarté sans aucun avenirs est bien et bel fini. Une nouvelle chance pour ses défavorisés enfle dans le cœur de celui qui partagera ce repas avec eux. La salutation et respectez autrui. Alors.... L'hiver 2020 vous le passerez au chaud. La soupe aux oignons. Six heures. Pétante. Le rythme risque de ne pas s’être arrête et malencontreusement tout ceci est la pure vérité. Peut être des pauvres mais leurs cœurs est emplis de réjouissances et capacités qu'ils vont révéler. Bienvenue à vous.

Immobile je guette des élucubrations des mensonges naissants. Le rythme va s'accélérer en de part des offres d'emploi. Le marché va s'ouvrir malgré la résilience de certains. L'offre et la demande. La plupart trouveront chaussures à son pied. La concurrence veut que des élites réfléchiront à comment les bavures peuvent être élimées. La sorte de conduite sous ivresse karmique peut déjouer ces chauffards imprudents. La seule vérité est détenu par un homme. Et son frère. Et sa sœur. Le dicton : qui vole un œuf vole un bœuf. Respire et tu seras en train de te réveiller pour avoir moins de douleurs sur le cœur. L'embrasement. Le feu. Élément. L'eau second élément. De part ses parts sombres il faudra mettre en continuité des présages de bonne fortune. L'histoire est belle et cet automne indien parviendra à de belles récoltes naissantes. Replanter pour que les biscuits soient bons. Suis-je assez convainquant je n'en doute pas mais l''irrespect prospecte de part des cookiseries. Seul face à soi-même c'est là qu'on prend acte de ce que l'on a en soi. Le plantureux arbre donnera des limites de foret. La nature en somme de regarder des parts sombres de galettes. Un fest-noz à cinq. Les doigts de la main. Le recueil pour ne pas dire que les infos donneront des bébés. L'histoire est belle et le respect de ces années sombres ne remontent pas au cœur de cette histoire mal vécue. Oubliée le passé je construit un édifice qui de part son importance est en train de bien se fractionner. Pierre après pierre. Le garçon est costaud et le rythme de vie donnera des sueurs froides à ces détracteurs. L'envolée certaine est de dire que les infos ne sont pas trop bonnes. La venue sur cette Terre parviendra à se faire la part belle d'actions puissantes. Le monde change. Seul ou pas mal accompagné il faut sans cesse se remettre en question. Alors ….

Ne rentres pas tard. Le soleil se couche assez tôt et il se pourrait bien que le dormeur du val va se réveiller. Entres n’aie pas peur. Les moches se sont enfuis et les gros moustiques te feront pas de mal. L'aphorisme est de sortie. Il guette çà et là une sorte de sortie. Pas de paraboles. Échec alors. Oui et deux coups plus tard mat. Alors... La discontinuité de cette avalanche prouve que les montagnes si on ne les connaît pas bien sont fort mortelles. Et oui la panure avec de l’œuf forme un tout inamovible et de certains envoyeurs il se répète que la modernité a un certain sens. La danse peut paraître incertaine en ce moment car le ciel n'est pas encore totalement dégagé. A tout moment il peut pleuvoir alors couvres toi si tu sors. La panoplie du chasseur de têtes est encore là. Fais attention ou tu mets les pieds aussi une épine est si vite balayée. Alors.... La disponibilité est certainement compromise. La mise je ne sais pas trop de toute les manières je ne joue pas aux jeux afférents de l'argent. Juste une partie de petits chevaux pour faire passer le temps. Pourquoi pas. Le seuil est bien délimité et ce joint de fragmentation dure assez longtemps. L'appartement et le changement est en train de se faire une part belle. L'attente ne sera pas si longue. Juste un brin de patience. Alors....

Enfin on peut se relâcher un peu. La moitié en gros. Alors passons à autre chose. La splendeur de ce ciel correspond à une pseudo équinoxe. La valeur de cette lune est en fait une partie de ce soi qui prend des entendements. Entendons bien que le risque est de se parfaire une volonté de fer. Le moment n'est pas totalement propice à des élucubrations le reste de cette vie doit correspondre à une certaine volonté de les faire vivre. L'accumulation de ces faits montrent que le destin est parfois réel. Alors ne risque-t-on pas de se faire entendre ? Cela dépend de la sincérité de chacun. La guerre la paix cette colombe s'envolera dans ce ciel. Ne reste qu'à définir deux ou trois choses tels que l'embrasement des territoires limitrophes. Alors pensons que cette liberté est avant tout une chose essentielle dans le processus de guérison. La factuelle, le dénommé charpentier sera en fait fera en fait un appareillage constructif. La table ronde, l'orgueil mis de coté ils trouveront des solutions adéquates. L'espoir est permis et la guerre s’arrêtera d’elle-même. Alors le mécène sera en partie un être de lumière. La vie oui mais pas à n'importe quel prix. Alors réfléchissez sur votre sort et prenez les bonnes et respectables solutions. L'attrait pour cette terre est envieuse de sens. Odeur.

Un deux trois quatre cinq petits cercles concentriques se dessinent pour mieux se faire des concessions. La vie est tellement belle que des fois on se procure des actions malléables. La venue de cet être de lumière paraît sans doute enclavé dans des directions opposées. Le renouveau l'acte fondateur de se dire que les périclites se dessinent passent de moins en moins spectaculaires. La dalle. Le béton s'étiolera pour laisser place à de la verdure quand les animaux viendront se régaler. La confiance est de mise. L'esprit apaisé, le corps détendu ils veillent sur de multiples âmes. Que décide-t-il ? Que faire ? Vivre tout simplement de toutes ces parties qui sont en train de s'esclaffer. Rires alors ? Oui on peut dire cela comme ça. La pérennité de ces actions donnent un compte rendu alléchant. L'affiche, le dessin. Le dessein. Parle encore et encore de ces faits qui commencent à monter. C'est alléchant comme spectacle mais le plus dur est en fait de se contraindre à ne pas trop succomber à cette action. Drôle. Rigolo. Les actions sont faites en corrélation avec des gens qui ne peuvent se restituer à de nombreux spectacles. Alors. Quoi ? Et bien ta parole vaut de l'or alors ménage ta salive et tu sauras en faire profiter cette nuit de nombreux et nombreuses personnes.

Au tréfonds de cette plaine pleine de papillons elle essaie de voler de ses propres ailes. Étincelantes.La vie ne lui épargnée de sang mais aujourd'hui elle se rebiffe contre cette société qui va à mille à l'heure. Elle se délecte de ce jus d'orange qu'elle a l'habitude de boire sous cette tonnelle orangée. Le cadeau : une fin heureuse une sorte de happy ending au le bien l'emporte toujours face au mal. Elle est pourtant dyslexique mais son empreinte restera à jamais inscrite dans mon être. La différence entre elle et moi c'est que nous ne vivons pas sur le même continent. L'Europe ce n'est pas pour elle mais elle reste attentive aux diverses formes de communications. Elle rêve d'ailleurs d'un ailleurs ou la nature communiquerait avec elle. Ceci n'est pas une chose irréalisable il suffit de bien tendre l'oreille de faire le vide dans sa tête. Écouter le bruit que fait le vent quand celui souffle. Quel bruit dois-je entendre ? Celui qui dicte une certaine ambivalence dans les fréquences qu'il traverse. Le bruit n'est pas totalement le bon mot mais plutôt une sorte de moyen aléatoire de transmission. Comme la transmission de pensées ? Être à l'écoute de son corps et surtout à l'environnement proche de là ou l'on vit. Le sens de la vie. Mais lequel ? Et bien la production récente de fleurs recèle en son cœur une âme qui détruit toutes les mauvaises intentions. Alors laquelle dois-je cueillir ? Et bien cela dépends de ce que tu veux en faire. La marguerite c'est plutôt pour les sournois. La pâquerette des champs c'est pour les introvertis. La couleur a-t-elle une importance. Oui et non mais il faut d'abord regarder sa forme. La constitution de leur tige perçoit une autre sensation celle du développement. De quoi ? En regardant de plus près on s'aperçoit que telle catégorie de plante donne un certain bien-être. La gentiane par exemple. La rose par ailleurs est une plante qui perçoit plus puissamment les sons que n'importe quelle plante. Ses variétés ses couleurs donnent un aspect à cette fleur toute sa grandiloquence. Offrir des roses à quelqu'un à quelqu'une est une chose que l'on ne fait par hasard.