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Natacha2006

Défi
Natacha2006

 Elle veut voulais juste être heureuse mais la vie en a décider autrement, elle lui a retrier ses derniers instants de bonheur. Elle a mis sur son chemin des personnes très méchante et même qui lui souhaité la mort,  ces personnes se moquaient d'elle a longueur de journée, ils s'en prenaient a elle. Sa mère vit qu'elle n'allée pas bien et décida de l'emmener voir une psychologue. 
-Je vous pose une petite question pour vous le bonheur c'est quoi
-Le bonheur c'est se sentir bien dans sa peau, être heureux, avoir de la joie
-Et vous vous sentez bien ? lui demandât-elle
-Oui. répondit elle. Alors qu'en réalité ce n'était pas le cas bien au contraire tout son joli petit  monde était en train de s'écrouler tout au tour d'elle, jusqu'à ce qu'elle n'eu plus d'échappatoire, plus d'espoir de survie qu'elle pris une énorme décision qui allait bouleverser sa vie et celle de ses proches mais elle savait pas encore.
 
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Natacha2006

Elle veut voulais juste être heureuse mais la vie en a décider autrement, elle lui a retrier ses derniers instants de bonheur. Elle a mis sur son chemin des personnes très méchante et même qui lui souhaité la mort,  ces personnes se moquaient d'elle a longueur de journée, ils s'en prenaient a elle. Sa mère vit qu'elle n'allée pas bien et décida de l'emmener voir une psychologue. 
-Je vous pose une petite question pour vous le bonheur c'est quoi
-Le bonheur c'est se sentir bien dans sa peau, être heureux, avoir de la joie
-Et vous vous sentez bien ? lui demandât-elle
-Oui. répondit elle. Alors qu'en réalité ce n'était pas le cas bien au contraire tout son joli petit  monde était en train de s'écrouler tout au tour d'elle, jusqu'à ce qu'elle n'eu plus d'échappatoire, plus d'espoir de survie qu'elle pris une énorme décision qui allait bouleverser sa vie et celle de ses proches mais elle e savait pas encore.
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Natacha2006

Je voudrais vivre dans un monde où tout fait en bonbons. Là où tout est réalisable l'herbe serait comestibles, les cascades seront du chocolat fondu, les arbres des sucres d'Orge. Dans un monde où la douleur, la souffrance et la peur n'existerait pas, là où l'on peut faire ce que l'on veut, quand on le veut, où on le veut sans jamais avoir a se justifier, sans se faire jugée, sans la moindre moquerie. La où le bonheur est possible, loin de la crise, de l'argent tout simplement dans un monde meilleur. Les bâtiments sont fait de barbapapa. Les lampadaires sont fait en nougat. À chaque fois qu'il pleut c'est des bonbons qui tombent comme si on venait de taper dans une piniatas. Dans les champs les licornes seraient en train de courir après les papillons. Il y aurait des arc-en-ciel a chaque coin de rue et a leurs pieds des chaudrons remplis de friandises. Un monde où tout serait inventé au jour le jour selon votre envie, un monde dont vous rêvez, ce monde serait votre création sortir tout droits de votre imagination. Ce monde peut être aussi bien féerique ou bien un monde où l'on peut respirer dans l'eau, ou encore un monde gourmand. Ce monde qui n'attends que vous.
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Défi
Natacha2006

 Partie 1 :

- Fred ! Georges ! Oh foutus jumeaux si jamais je vous attrape je vous jure que vous allez me le payer très cher !

Le cri d’Hermione retentit dans toute la maison du Terrier alors qu’à côté de lui les jumeaux éclatèrent de rire. Ron fronça les sourcils.

- Qu’est-ce que vous lui avez fait ?

Ils étaient en train de prendre leur petit déjeuner, alors que le reste de la famille dormait encore. Leurs parents étaient partis à une réunion de l’Ordre et seraient absents pour toute la journée. Les jumeaux avaient du en profiter pour n’en faire qu’à leur tête, comme à leur habitude. Ils entendirent tout trois des pas précipités dévaler l’escalier alors qu’une Hermione trempée de la tête aux pieds apparut soudain, folle de rage, la respiration sifflante.

- Ce n’est pas drôle du tout ! hurla-t-elle en se dirigeant au pas de charge vers les deux rouquins. J’aurais pu me noyer !

Fred, secoué de hoquets tapait du poing sur la table tandis que George plongea dans son bol de céréales. Hermione sortit alors sa baguette de derrière son dos et ce fut à ce moment-là que Ron réalisa que la chemise de nuit mouillée de la jeune fille laissait entrevoir ses sous-vêtements. Il déglutit difficilement et détourna le regard.

- CE N’EST PAS DROLE ! répéta-t-elle alors qu’elle les menaçait de sa baguette. Toi ! aboya-t-elle en se tournant vers Ron, je suis sûre que tu es complice aussi !

Les rires des jumeaux redoublèrent.

- Non, Mione, je te jure que non, je n’ai rien fait ! démentit-il en voyant la baguette magique de la gryffondor se rapprocher dangereusement de son visage. Je n’y suis pour rien, je ne sais même pas ce qu’ils t’ont fait !

- Ces idiots ont ensorcelé ma douche ! A peine avais-je mis un pied dans la salle de bain que le rideau de douche m’a attrapé et l’eau s’est mise à gicler de partout ! J’ai du me débattre comme pour folle pour lui échapper !
Ron crut que ses frères allaient avoir une crise cardiaque tellement ils riaient. Il eut tout à coup la vision d’une Hermione prise au piège d’un rideau carnassier et ne put retenir un sourire.

- Allons, ce n’est pas si grave… dit-il d’un ton qui se voulait apaisant.

Mais elle ne l’écouta pas et avant que les trois garçons n’aient put faire le moindre mouvement elle leur jeta un sort.

- Aquamenti ! cria-t-elle tandis qu’une cascade d’eau les inondait tous les trois.

Ron fut cloué sur sa chaise par la pression et crut un instant qu’elle voulait le tuer alors qu’une l’eau glaciale s’abattait sur eux.

- Hermione, arrête ! supplia Georges en buvant la tasse. On ne recommencera plus, c’est promis !

Bien que la jeune fille parut satisfaite par cette promesse, elle attendit encore quelques secondes avant de rompre le sort pour bien leur faire comprendre la leçon, un sourire mauvais aux lèvres.

- Voilà, vous savez que ce ça fait maintenant ! dit-elle d’une voix sifflante qui ressemblait étrangement à celle de Mrs Weasley. Et vous allez me faire le plaisir de nettoyer la salle de bain et la cuisine avant que votre mère ne revienne !

- Mais la cuisine c’est toi qui…

- Pas de blabla inutile avec moi ! Vous me devez bien ça, j’ai quand même failli y rester !

Les jumeaux allaient encore protester quand Hermione releva sa baguette d’un air menaçant. Vaincus, ils se levèrent en bougonnant et Ron les entendit monter les marches de l’escalier en chuchotant de mécontentement contre le manque d’humour de la jeune fille. Il allait lui aussi se lever quand Hermione se plaça en face de lui, les bras croisés sur sa poitrine, ce qui fit apparaître plus nettement encore le sous vêtement noir qu’elle portait en dessous.

- Une minute, je n’en ai pas fini avec toi, lança-t-elle.

Avec difficulté il releva les yeux vers son visage rouge de colère.

- Qu’est-ce qu’il y a ? Je t’ai déjà dit que je n’ai rien fait, je ne savais pas même qu’ils…

- Justement Ron, tu ne fais jamais rien ! le coupa-t-elle. Dès que tes frères se moquent de moi, ce qui arrive somme toute assez souvent il faut l’avouer, tu restes dans ton coin et tu ne dis rien. Tu ne fais pas un seul geste pour me défendre ! Jamais !

- Mais enfin Hermione, c’était juste une petite blague, tu sais très bien que c’était pour rire…

- J’aimerai juste que de temps en temps tu sois un peu de mon côté !

- Bien sûr que je suis de ton côté.

- Alors montre-le un peu plus ! s’emporta-t-elle. J’ai l’impression d’être toujours seule ici, vous êtes tous contre moi, et ça commence à être franchement agaçant voilà pourquoi j’ai décidé de ne plus me laisser faire. Vous pensez tous que je ne sais pas m’amuser mais c’est à chaque fois moi le sujet de vos plaisanteries. De toute façon c’est sans arrêt comme ça avec tes imbéciles de frères, tu as peur d’eux !

- Ce ne sont pas des imbéciles ! cria-t-il, se sentant devenir lui-même écarlate de colère. Et je n’ai pas peur d’eux, malgré ce que tu crois !

- Ce n’est pas l’impression que tu donnes, ricana-t-elle.

- Je me fiche de ce que tu penses de moi, mentit-il. Et d’ailleurs, ce n’est pas moi qui me balade à moitié nue depuis presque un quart d’heure dans la cuisine ! Tu ferais bien d’aller te rhabiller !

Quel était le rapport ? Il ne le savait pas lui-même, mais il n’empêche que la tenue d’Hermione le distrayait et qu’il n’arrivait pas à se concentrer sur leur dispute. Elle était diablement attirante comme cela. Et puis l’idée que ses frères aient vu le corps de son amie lui était presque tout autant insupportable.

La jeune fille baissa la tête pour vérifier ses paroles et rougit tout à coup en tirant sur sa chemise de nuit pour ne plus qu’elle lui colle à la peau.

- C’est pas vrai ! marmonna-t-elle en s’enfuyant à toutes jambes vers l’étage.

Ron la suivit des yeux jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans l’escalier et poussa un soupir. Pourquoi ne pouvaient-ils s’empêcher de se crier dessus à chaque instant ? Oh bien sûr, il devait avouer que quelques fois il prenait plaisir à leurs petites querelles, que c’était souvent lui qui les provoquait, et qu’il éprouvait toujours un vrai ravissement quand il réussissait à l’emporter sur elle, mais il commençait à penser que cela devenait lassant à la longue.

Il enviait beaucoup Harry et Ginny. Evidemment ce n’était pas la même chose, ils formaient un couple, mais Ron ne pouvait s’empêcher d’admirer la façon qu’ils avaient de se comprendre sans même se parler. Hermione et lui c’était tout autre chose, et plutôt même le contraire car ils s’en disaient un peu trop, jusqu’à regretter leurs mots blessants et les répliques cinglantes qui fusaient à tout bout de champ.

Même s’il était difficile pour lui de le reconnaître il savait pourquoi il se comportait comme cela avec elle. Il savait pourquoi il prenait toujours un malin plaisir à la pousser à bout pour la faire sortir de ses gonds. Au fond de lui il savait que c’était parce qu’il avait du mal à supporter son indifférence à son égard. Elle était son amie, sa meilleure amie, mais il avait toujours l’impression d’être là comme en remplacement de Harry quand ce dernier n’était pas là. C’était comme si elle restait avec lui parce qu’elle n’avait pas vraiment le choix. Comme si elle lui témoignait une vague sympathie parce qu’elle était habituée à sa présence, qu’elle faisait bon gré mal gré de leur amitié. Il avait l’impression qu’elle ne faisait jamais vraiment attention à lui Ron Weasley, mais plutôt seulement au bon vieux Ron, ce grand rouquin un peu maladroit et beaucoup trop stupide pour elle, qu’elle ne voyait même plus. Il n’y avait que quand ils se disputaient qu’il était alors sûr d’avoir toute son attention. Il n’y avait que quand il se disputaient qu’il savait qu’elle le regardait vraiment.

Ruminant ses sombres pensées il s’aperçut qu’il grelottait de froid et se dit qu’il devrait peut-être lui aussi aller enfiler quelques vêtements bien secs. C’était fou ce que cette fille pouvait faire quand elle était en colère…
 
 Partie 2 :


Hermione fulminait littéralement de rages. Elle se demandait comment les jumeaux, qui étaient désormais majeurs et avaient leur propre entreprise, pouvaient encore se montrer aussi puériles. Et Ron, qui n’avait même pas bouger le petit doigt pour la soutenir ! Refermant la porte de son armoire d’un geste violent elle enfila à la hâte un T-shirt propre et un pantalon et s’assit sur son lit, les poings toujours serrés de colère. Elle promena son regard autour d’elle et constata d’après le lit vide que Ginny n’avait pas dormi avec elle cette nuit encore, tout comme les autres nuits depuis son arrivée au Terrier. Elle savait que son amie se glissait en douce dans l’ancienne chambre de Percy quand tout le monde était couché, là où dormait désormais Harry. Bien sûr, à part elle personne n’était au courant, et elle préférait ne pas imaginer la réaction de Ron si jamais il l’apprenait. Elle avait promis au deux amoureux de garder le secret, comprenant très bien leur situation. Dans quelques jours ils partiraient pour la quête des horcruxes et Harry et Ginny voulaient profiter au maximum du temps qui leur restait à passer ensemble, la rouquine ayant réussir à convaincre le survivant de lui laisser au moins cela avant de partir sans elle.

Étouffant un soupir elle entendit des pas dans l’escalier et reconnut la démarche pesante de Ron. Qu’est-ce qu’il était bruyant ! Un son métallique lui parvint tandis qu’un juron retentit d’une voix forte. L’imbécile, il allait réveiller toute la maison ! Elle savait que Bill, qui logeait dans la chambre à l’étage au dessus et qui était toujours affaibli par la morsure qu’il avait subi, avait besoin de repos. Elle ouvrit la porte de sa chambre juste au moment où le rouquin passait devant. Comme une furie elle l’attrapa par le col de son T-shirt et l’entraîna dans la pièce en refermant la porte après lui.

- Ron ! Tu vas réveiller ton frère ! gronda-t-elle alors que ce dernier s’affalait sur son lit.

Elle réprima à grand mal le frisson qui l’empoigna en voyant son grand corps presque couché sur son lit à elle. C’était une étrange vision, et également une étrange situation que de se retrouver seule avec lui dans une chambre vide. Qui plus est quand c’était dans sa propre chambre.

- Pas ma faute si j’me suis cogné ! maugréa-t-il en se tenant le pied.

Hermione leva les yeux au ciel.

- Ca t’apprendra à ne pas regarder où tu vas !

Il lui lança un regard noir.

- Peut-être que si tu ne m’avais pas trempé pour rien je n’aurai pas été obligé de monter me changer.

Elle remarqua soudain que son T-shirt, encore humide à cause de son sortilège, lui collait à la peau et laissait deviner les muscles de son torse. Elle n’avait jamais vu Ron dénudé et déglutit difficilement, sentant ses joues se colorer. Il n’était pas mal du tout, exactement comme elle l’avait imaginé…

- Et bien qu’est-ce que tu attends ? lui cria-t-elle pour chasser ses sordides pensées. Tu es en train d’inonder mon lit !

- Dis donc Miss Grognonne, c’est pas toi qui disait qu’il ne fallait pas faire de bruits pour ne pas réveiller les autres ? Alors arrête un peu de crier !

Ne trouvant rien à redire elle croisa les bras sur sa poitrine et lui lança un regard assassin.

- En plus, il va peut-être falloir me couper l’orteil, marmonna-t-il.

Hermione leva les yeux au ciel devant le ton plaintif du rouquin et vint s’asseoir à côté de lui. Qu’est-ce qu’il était douillet !

- Fais-moi voir ça.

- Je n’ai pas besoin de ton aide.

- Ron… gronda-t-elle.

- Alors arrête de te moquer de moi.

- Mais je n’ai rien dit !

- Tes yeux parlent pour toi, dit-il d’un ton boudeur.

Elle sourit franchement cette fois-ci.

- Ca fait très mal hein ! se défendit-il.

- Je sais, concéda-t-elle pour le calmer, c’est juste que je me demande comment quelqu’un qui a une carrure aussi solide que la tienne puisse être aussi douillet !

Elle rougit en se rendant compte de ce qu’elle venait de dire et baissa les yeux vers le sol pour ne pas voir sa réaction.

- Ca arrive à tout le monde, poursuivit-elle comme si de rien n’était. Je me suis déjà fait une fracture à l’orteil quand j’étais enfant moi aussi.

- Ah bon ? demanda-t-il, étonné, alors qu’il la laissait examiner son pied.

- Oui, j’étais petite et je jouais à la balançoire avec ma cousine quand elle m’a poussé trop fort, lui raconta-t-elle dans l’espoir d’atténuer sa mauvaise humeur et de lui faire oublier sa douleur, et accessoirement ce qu’elle venait de laisser échapper. Je suis tombée et dans ma chute mon pied a tapé contre un rocher : direction l’hôpital pour me mettre un plâtre.

- C’est quoi un plètre ?

- Un plâtre. C’est une sorte de coque que mettent les docteurs moldus quand leur patient se casse quelque chose, tenta-t-elle d’expliquer. Je ne pense pas que ce soit très sérieux, ajouta-t-elle en lui relachant la cheville. Tu devrais mettre un peu de glace dessus, c’est tout.

Un silence gêné s’installa alors. Hermione ne savait plus quoi dire et Ron ne paraissait pas décider à sortir de sa chambre.

- Où est Ginny ? demanda-t-il en voyant son lit vide.

- Heu… Je crois qu’elle est partie dehors… mentit la jeune fille en évitant son regard.

- Si tôt ?

Il fronça les sourcils et Hermione rougit de plus belle.

- Je n’en sais rien, dit-elle sur un ton exaspéré. Je ne surveille pas les faits et gestes de tout le monde comme tu le fais toi.

Elle n’avait pas put s’en empêcher, c’était plus fort qu’elle, il fallait toujours qu’elle le provoque. Au moins avait-elle détourner la conversation de Ginny…

- Je ne surveille personne ! répondit-il en haussant lui aussi la voix. Ce n’est pas moi qui suis tout le temps après les gens pour les obliger à faire leurs devoirs ou à adhérer à cette stupide sale…

- C’est S.A.L.E ! Et ce n’est pas stupide, sinon j’aurai appelé ça Ron Weasley !

Il se leva d’un bond et allait partir quand la porte de la chambre s’ouvrit à la volée.

- Il me semblait bien avoir entendu le doux gazouillement de vos voix, lança Ginny, sarcastique, alors qu’elle entrait dans la pièce.

Harry, qui était sur ses talons, la suivait de près et pénétra également dans la chambre.

- Ce n’est pas que ça nous gêne, poursuivit ce dernier, il faut dire qu’on y est habitués depuis le temps, mais vous allez finir par réveiller Bill.

- C’est lui qui a commencé ! dit Hermione d’un ton indigné en lançant au rouquin un regard assassin.

- Quoi ? ! Harry ce n’est pas vrai, c’est cette furie qui m’a arrosé tout à l’heure dans la cuisine ! Elle a essayé de me noyer !

- Peu importe ! coupa Ginny en voyant que son amie allait répliquer. On s’en fiche. Soit vous arrêtez tout de suite de vous chamailler, soit on vous vire d’ici à coups de pieds au derrière pour que vous alliez crier dans le jardin. D’ailleurs, vous devriez peut-être y aller, je suis sûre que vous arriveriez à faire déguerpir les gnomes en quelques minutes, ça nous éviterait une corvée.

Les deux concernés s’enfermèrent dans un silence boudeur et il fallut à Harry tout son sang froid pour ne pas rire.

- Allez viens Ron, ça te dit une bonne petite partie de quidditch pour te détendre ? proposa-t-il. On n’a qu’à aller chercher Fred et Georges.

Ron hocha la tête et ils sortirent tout deux de la chambre, le rouquin prenant néanmoins le temps de lancer à Hermione un coup d’œil meurtrier.
 Partie 3 :


- Il est impossible… soupira cette dernière tandis que la porte se refermait et que Ginny prenait place à côté d’elle.

- Vous êtes impossibles, corrigea son amie en haussant les épaules.

- Il est tout le temps en train de me chercher…

- Et toi aussi Hermione, tu ne peux pas le nier.

La gryffondor baissa la tête et fixa ses mains.

- Je ne sais pas pourquoi on est comme ça. Je veux dire il n’y a qu’avec moi qu’il fait ça… Au moins à elle, il lui parlait convenablement…

Ginny n’eut pas besoin de demander à son amie de qui elle parlait, car c’était toujours la même chose, Hermione n’arrivait pas à digérer le fait que Ron soit sorti avec une autre.

- Vous devriez en parler tous les deux, lui conseilla-t-elle.

Hermione ricana.

- Tu me vois vraiment aller lui demander l’air de rien : « Dis-moi Ron, pourquoi es-tu sorti avec cette idiote de fille alors que j’étais persuadée que tu étais amoureux de moi et que j’attendais désespérément que tu me fasse un signe encourageant ? » demanda-t-elle amèrement. Vraiment pitoyable !

- Ecoute, tu sais très bien ce que je pense de ça. Je connais mon frère, il a fait ça seulement pour te rendre jalouse, ou peut-être pour attirer ton attention, ou peut-être parce que…

- Parce qu’il ne m’aime pas et que je suis une idiote d’avoir cru le contraire, intervint Hermione en se prenant la tête dans les mains. Il n’est attiré que par les jolies filles, toutes plus stupides les unes que les autres, pas par les encyclopédies sur pattes…

Ginny lui posa une main compatissante sur l’épaule.

- N’abandonne pas, regarde pour Harry, j’ai du attendre un peu, j’ai même du me battre pour lui et contre lui, et puis finalement je l’ai eu…

- Oui, mais toi au moins tu en as profité entre temps pour sortir avec d’autres garçons et t’amuser un peu, tu n’es pas restée dans ton coin en espérant qu’il remarque enfin que tu es une fille ! s’exclama-t-elle d’une voix suraiguë.

- Il le sait Hermione, sinon pourquoi t’aurait-il offert à parfum à Noël il y a deux ans ? la rassura Ginny.

- C’est ce que je me suis dit aussi. Et puis sa jalousie envers Victor.. Je pensais qu’il avait compris, qu’il allait faire quelque chose…

- Peut-être a-t-il voulu te rendre la monnaie de ta pièce en sortant avec Lavande ?

- Mais c’est complètement stupide, il ne sait jamais rien passé de concret entre moi et Victor ! s’emporta Hermione. Ce baiser n’a jamais compté…

- Ca je le sais parfaitement, la calma la rouquine, mais lui non.

- Ce n’était pas une raison pour aller avec elle !

C’était plus fort qu’elle Hermione ne pouvait se résoudre à prononcer son nom, elle n’y arrivait pas, il lui semblait trop douloureux de penser à leur relation. Rien que le souvenir de leur deux corps entrelacés lui donnait encore la nausée. Elle avait souffert le martyr pendant ces quelques mois.

- Je sais, c’est juste que ça été dur pour lui quand il a vu que tu plaisais à un autre.

- Et pour moi, tu ne crois pas que ça été dur ? s’écria la jeune fille. J’étais dans le même dortoir qu’elle, je l’entendais tout le temps parler de lui, de ce qu’ils faisaient…

Sa voix se brisa et elle sera les dents, folle de rage et de chagrin.

- C’est du passé Hermione, elle n’a jamais compté pour lui, n’oublie pas qu’il l’a quitté pour toi.

- Ca tu n’en sais rien, la contra-t-elle. Regarde le résultat, on se dispute encore plus qu’avant.

- Parce que vous avez tous les deux de la rancune l’un envers l’autre mais qu’aucun de vous ne veut faire le premier pas pour en parler, dit Ginny avec sagesse.

Son amie lui jeta un regard faussement mauvais.

- Comme quoi il y a au moins une Weasley qui n’est pas stupide ici, grommela-t-elle.



- Ecoute Ron, je sais que Hermione et toi vous avez toujours eu cette.. façon particulière de communiquer, mais ça ne peut plus durer. D’accord elle est souvent exaspérante, et d’accord tu n’es qu’un crétin, mais si vous continuez comme ça vous allez fiche en l’air six ans d’amitié. Vous êtes des adultes maintenant, alors comportez-vous tel quels. Je suis sûr qu’au fond vous pourriez tous les deux tempérer un peu vos caractères respectifs, tu ne crois pas ?

Ron, qui était aller chercher son balai dans la remise située au fond du jardin soupira et se tourna vers Harry.

- Je sais, c’est juste que… Cette fille me rend fou…

Il se sentit rougir jusqu’aux oreilles mais poursuivit néanmoins :

- Dans tous les sens du terme. Je crois que… Je l’aime.

Et voilà s’était dit. Il contracta les épaules dans l’attente du rire moqueur d’Harry, n’osant tourner son regard vers lui. Il fallait qu’il le lui dise, il fallait qu’il l’avoue à quelqu’un. Il n’avait fait cette découverte que récemment, quand il avait enfin compris qu’il sortait avec Lavande, dont il n’avait jamais rien eut à fiche, seulement pour oublier cette fille beaucoup trop dangereuse pour lui, cette fille qui lui faisait perdre la tête, et qu’il avait désespérément tenter de rendre jalouse.

- Ce n’est pas trop tôt !

Ron jeta un coup d’œil interrogateur à son ami et vit qu’il souriait de toutes ses dents.

- Je commençais à me demander si tu ouvrirais jamais les yeux.

- Quoi ? Qu’est-ce que tu veux dire ? demanda le rouquin en fronçant les sourcils.

- Enfin Ron, c’est évident pour tout le monde.

- Comment ça ?

Harry soupira, s’assit sur un seau renversé posé à proximité et enleva ses lunettes pour les nettoyer avec un pan de sa robe.

- Tout le monde sait que tu es fou amoureux d’elle, expliqua-t-il d’une voix apaisante. On attendait juste de voir quand tu finirais par te l’avouer à toi-même.

Ron se sentit rougir et se balança nerveusement sur ses pieds.

- Ca se voit tant que ça ? marmonna-t-il d’un ton bourru.

- Comme le nez au milieu de la figure.

Harry éclata de rire devant son air renfrogné.


 
 
 
 
 
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Natacha2006

En dernière année de lycée, une fille, Mae, lors d'une soirée découvre qu'elle est le faire valoir des ses copines, toutes jolies et populaires,Skyler et Cassey, elle le prend mal, elle se alors la tête avec ses amies et décide de faire appel au beau mec le plus populaire et charismatique du lycée qui habite en face de chez elle pour tout changer,Wesley, elle propose de faire un pacte il l'aide a faire d'elle une fille plus jolie et de l'entrainer parler au garçon qui lui plait, Toby et elle elle l'aide à remonter ses notes en chimie pour qu'il ne soient pas virée de l'equipe, il accepte. Mais l'ex petite amie de Wesley fais tout ce qui est en son pouvoir pour mettre des bâtons dans les roues de Mae. Un jour Mae se rend chez Wesley pour lui un cours de chimie mais elle arrive en plein milieu d'une dispute entre ses parents et décide de l'enmener dans son endroits secret pour lui remonter le moral, ils discutent puis ils s'embrassent. Au fil du temps Mae tombe amoureuse de Wesley. Le jour de son rencard avec Toby arrivent enfin mais elle ne fais que penser à Wesley et au final Toby s'est servi d'elle pour avoir des informations sur Skyler et Cassey, alors decide d'appeler Wesley elle lui laisse un message puisn elle se rend alors dans son endroit secret et y découvre que Wesley est là mais il n'est pas seul il est avec son ex Maddison et ils sont en train de s'embrasser. Dans la soirée ayant reçu son message Wesley se rend chez Mae pour lui remonter mais au lieu de sa elle lui une crise parce que il enmener une autre dans l'endroit secret. Mae va se réconciller avec ses amies qui vont réuissir à la convaicre d'aller au bal de promo. Lorsqu'elles arrivent Mae cherche du regard Wesley pour lui avouer ce qu'elle ressentpour lui et lorsque Mae trouve le courage de lui dire Wesley lui dit qu'il s'est remi avec Maddison. L'election du roi et de la reine du bal arrivent est c'est Maddison et Wesley qui ont gagner, au moment de monter sur scène Wesley hésite, Mae lui dit "- Tu veux pas repartir avec la couronne" il répond que il veut repartir avec la fille, Wesley se précipite vers Mae et l'embrasse.





FIN




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Natacha2006

Tout a commencé le jour de son accident de voiture. Un jour en partant faire les courses après sa journée de travail Jeff était si fatigué que dans un virage il l'a confondu la pédale d'accélération au lieu de celle de frein et il a fini dans le ravin. Quelqu'un a appellé les secours et il a était transporté a l'hopital par hélicoptère. Plus tard dans la journée sa famille était là, il l'a racontait ce qui s'était passé sur son ton habituel sur le ton qu'il aimé le plus le ton de la rigolade et tout le monde a rigolé du comique de la situation. Les jours sont passés et il n'était toujours pas sorti de l'hôpital. Alors que toutes la famille était réunie le docteur arrive explique alors qu'il ne pourrait pas sortir de l'hôpital car il était malade. Le docteur annonce alors qu'il est atteint d'un cancer métastatique stade 4. Le cancer avait atteint le foie, les os, les poumons et le cerveau. Plus sa famille lui rendait visite plus elle se rendit compte qu'il était de plus en plus fatiguer, qu'il avait perdu beaucoup de poids. Lors d'une visite l'une membres de sa famille qui faisait partie du milieu médical entendit parler les docteurs de son cas et là elle comprit que c'était la fin qu'il lui restait plus beaucoup de temps. Quelques jours après son mari, elle et ses deux filles était en voiture quand elle reçu un appel qui annoncait la mort de Jeff. Les réactions de sa famille fut que son mari eu une pointe au coeur qu'il avait du mal à respirer, l'une de ses filles s'est mise a pleurer et l'autre a rigoler parce qu'elle ne voulait pas y croire.C'était le 8 décembre 2013. Le 12 décemdre 2013, le jour de l'incinération famille et amis étaient réuni, alors que je vis le corbillard arriver les larmes me sont montées, et c'est a ce moment là que j'ai réaliser que c'était vrai, qu'il était vraiment parti , et qu'il ne reviendrai pas. Ce jour là était le pire de toute ma vie, j'ai pleurée toutes les larmes de mon corps. C'est le 19 juillet 2014 que l'on a dispersé ses cendres et j'ai de nouveau pleurée de toutes les larmes de corps.

Papy je t'aimerai jusqu'a l'infini.
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Natacha2006

Voilà 6 ans que tu es parti, 6 ans que la vie m'a pris l'un des êtres qui m'était le plus cher, 6 ans qu'un vide se fait ressentir. Tu me manque terriblement. Si je pouvais faire un saut en arrière,je le ferai crois moi ! Mias cela m'est imposible, je ne peux pas. J'aurai pu te raconter encore plien de turcs mais la vie ne m'en a pas laisser le temps. Tu aurai pu vivre encore longtemps, mais cette maladie en a décider autrement. Elle a tout emporter et ne m'a rien laisser à part des souvenir, et ton imagesans cesse dans ma tête. C'est dans le coeur de ta famille que ta route, ton p'tit bout de chemin que tu avait commencé. Je repense encore aux bons moments passés en ta compagnie, à toi toujours avec le sourire au visage. Mais aujourd'hui tu n'es plus là, chaque jours que dieu fait je pense à toi. Saches que je ne t'oublirai jamais tu es gravé dans ma tête et dans mon coeur à jamais!
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Défi
Natacha2006

Un jour une de mes amies est venue me voir pour qu'elle était amourse d'un garçon et qu'elle aux anges sur le moment j'était contente pour elle. Plus les jours passent plus elle me raconte ce qu'elle fait de ses journées avec lui puis elle me dit qu'il faut qu'elle me le présentent absolument pour que je lui donne mon avis.Le jour de la recontre avec son copain Yoann j'ai un mauvais présentiment. Des semaines sont passées et mon présentiment est toujour là. Un jour j'était en ville pour rejiondre mon amie et je le vois en compagnie d'une fille au début je crois que c'est ma pote mais plus j'avance et plus je me rend compte que ce n'est pas elle. Aprés ma pote me rejoint et la je lui raconte ce que j'ai vu mais elle ne croit pas et ne veut rien n'entendre. Deux plus tard je le vois encore avec cette fille mais là ce que je vois me fais peur il est en train de lui crier dessus et lui serrer les bras puis il lui mets des coups de piong dans le ventre. Après dans le bus il lui mets des gifles. Alors que je decide d'intervenir il se mets a me menancer de ne rien dire a ma pote ou sinon il me ferait pire, mais moi je lui que je n'ai pas peur de lui et qu'il pouvait me menacer autant qu'il voulait si l'amuser. Je me précipite chez ma pote pour lui dire que cet homme est dangereux et qu'il faut qu'elle le quitte pour sa sécurité, et comme je savait qu'elle me croirait pas je lui montre alors la vidéo que qu'un passant a fait. D'un coup on entend quelqu'un frapper a la porte, c'est lui.
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