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Riviere1

Riviere1

C’est moi , j’ai décidé de t’écrire après notre dernière discussion de ce matin. J’ai énormément de choses à te dire, choses qu’un simple sms ou snap ne pourrait contenir. Si la lettre n’est pas manuscrite c’est parce que mon écriture serait bien trop brouillonne et sûrement illisible.
J’avais tout d’abord envie de te dire que les moments à tes côtés ont été merveilleux, je regrette déjà d’en parler au passé. Je me remémore souvent notre première nuit qui était aussi belle que celles que l’on pouvait décrire dans des romans d’avant. J’ai vu ma première étoile filante lorsque l’on était ensemble, et elle a en partie exaucée mon souhait, pour une durée bien trop courte, à ma plus grande déception. Au moment où je t’écris toute ces images de notre premier rendez-vous défilent encore dans ma tête. Comme tu me l’as dit je n’ai aucun regret des moments passés ensemble, mais j’aurais aimé être capable de conserver notre histoire, de la faire durer. J’ai l’impression d’avoir planté deux graines mais que l’une grandit plus vite que l’autre, et celle dans mon cœur est bien plus rapide à éclore que la tienne, n’y voit pas un reproche, c’est aussi la beauté humaine de ne pas tous ressentir les mêmes choses au même rythme.
J’aimerais vraiment t’ouvrir mon esprit pour que tu y plonges, que tu puisses nager dans chacun de mes souvenirs et nous voir sourire, nous voir heureux ensemble. Crois-moi c’est le voyage que je fais chaque instant depuis que tu n’es plus avec moi et il est aussi magnifique que douloureux, mais je le conserverai toujours.
Si tu savais comme je t’admire, tu n’en as peut-être pas l’impression mais je te connais sûrement mieux que tu ne me connais. J’ai mémorisé tout ce que tu m’as dit, j’ai pu tenter d’imager ce que tu as vécu dans ton passé, vis-à-vis de ta famille, tes problèmes de santé, de tes histoires d’amour. Je n’aurai pas la prétention de dire que j’ai connu les mêmes peines, mais je te comprends. Tu es une femme très forte, tu m’as vraiment laissé bouche bée sur ton parcours, par ta personne si magnifique et agréable. J’ai une grande fierté à parler de toi, non pas comme de quelqu’un qui serait « à moi » mais comme mon binôme, mon égale, un peu comme si l’on était Bonny and Clyde. Tu peux me croire j’ai rarement estimé une personne autant que toi, tu es unique et incroyable, une véritable perle rare.
Je t’ai dit par le passé que tu mettais de la couleur dans la vie des gens, tu as arrosé la mienne avec un éventail de couleurs plus large qu’il n’en existera jamais.
Comme j’ai pu le voir tu te poses beaucoup de question sur toi-même et tu n’es pas en totale symbiose avec ta propre personne, ce qui est plus que compréhensible. En revanche ne doute pas de ton intelligence, compte dessus car les ressources dont tu disposes sont énormes, ton intérêt pour tout ainsi que ta façon de penser m’ont énormément plu dès l’instant où nous avons discuté. Une fois de plus je suis très fier de toi, alors sois-le de toi-même car c’est bien le plus important, ai confiance en toi tout ira bien, je n’en ai aucun doute, que ce soit pour ta vie professionnelle comme personnelle tu seras un exemple pour beaucoup de monde.
Viens le moment de mes excuses, je regrette d’avoir débarqué en boule de nerfs ce matin, j’aurai dû penser à l’impact sur le reste de ta journée. J’avais juste besoin de réponses. Je regrette que tu n’aies pas pu me parler, j’aurai aimé que l’on puisse discuter, une fois de plus je tiens à dire que je comprends l’incapacité à le faire de manière spontanée. Cette partie de ma lettre sera plus douloureuse pour toi mais j’aimerais exposer mes arguments une fois pour toute, je vais donc te reparler un peu de moi. J’ai difficilement cru en l’amour, j’ai été déçu comme beaucoup, mais les mots et les paroles m’ont déjà rendu plus que minable par le passé. Je ne voulais pas faire confiance à quelqu’un et aller trop vite, mais tu m’as invité à le faire. En me faisant venir chez toi, en me demandant de rester quand je te disais que je rentrais chez moi, j’ai compris de la mauvaise manière ce que tu voulais. Voilà mon impression d’être perdu car tu m’as attiré puis coupé de tout ce à quoi je m’étais habitué. Je ne t’en veux pas de ne pas savoir où tu en es, mais je ne peux pas comprendre chacun de tes actes. Ta déclaration lorsque tu me demandais si je voulais de toi et si l’on pouvait construire quelque chose à mesure des années m’avait vraiment touchée…
Notre histoire n’a peut-être pas duré énormément de temps mais elle fut intense, je pense que l’on s’est réellement compris, qu’on s’est trouvés, mais je n’arrive pas à m’imaginer que tout puisse s’écrouler si brutalement.
Je suis d’accord que l’on se soit pris la tête mais je maintiens le fait que jamais cela n’a explosé entre nous, j’ai mal agi en partant mais je ne pensais pas à mal au contraire. Mon but était de calmer la situation avec le temps.
Actuellement ton odeur est sur mes mains, tu me manques déjà. Pour tout te dire sincèrement le fait que tu ne sois pas prête me semble être une excuse, je pense plutôt que tu t’interdis d’être heureuse. Je maintiens le fait que je t’aime énormément et je ne dirais pas que je suis indispensable pour toi dans ta vie, j’ai appris que personne ne l’est. En revanche de mon côté tu es mon choix pour que je le sois, tout dépend à présent de ce que tu souhaites.
J’espère que tu pourras te retrouver, t’épanouir et être heureuse. J’espère également que l’on puisse se retrouver, à un moment, maintenant ou plus tard, quand tu l’accepteras. Je t’ai aimé plus que n’importe qui n’a pu le faire, et ce sera encore le cas quand tu liras ou même relira cette lettre. Il est évident que je serai là pour toi, toujours, que ce soit comme ami ou plus mais je tiens à dire que tu feras toujours partie de ma vie.
Rien ne t’oblige à me répondre, ni maintenant ni plus tard. Pourvu que tu ne m’en veuilles pas, je respecterai tes choix quel qu’ils soient. J’aimerais tout de même que tu ne t’enfonces pas dans la solitude, que tu arrives à réfléchir. Si je pouvais te faire réaliser qu’une vie ensemble serait magique je le ferais, si tu voyais les choses comme je les vois. J’ai à la fois envie d’influencer ton choix, mais si tu dois revenir il faut que ce soit de ton plein gré, par ta décision. Je t’attendrai forcément, mais ne t’y sens pas obligée, tu connais ma fierté je ne veux pas que tu prennes pitié.
J’espère que tu ne trouveras pas mon acte trop ringard mas je l’assume pleinement, je ne veux pas t’effrayer mais je ressens le besoin d’agir parce que je t’aime. Je ne t’espionnerai pas, je ne te gênerai jamais, et ne serai pas toxique à aucun moment. Cette lettre est symbolique car je ne te renverrai aucun message, sauf si tu y tiens, je pars mais ne suis pas loin, si tu tiens à me faire rester tu en as le pouvoir. T’écrire me libère, me fait me sentir mieux, tu peux choisir de répondre ou non. J’ai surement encore des tas de choses à te dire, j’en aurai toujours mais je ne veux pas que cela te paraisse trop long.
Sache que je t’aime encore et encore, tu es magnifique, mentalement physiquement tu me plais tellement. J’aime tout chez toi, tu me manques, ton odeur, le son de ta voix, la douceur de ta peau, l’éclat de tes cheveux…
Réfléchis bien, tous les choix sont entre tes mains à présent. Excuse-moi pour les fautes d’orthographes qui doivent être nombreuses.
Je reprendrai de tes nouvelles mais je ne pourrai être le premier à te recontacter, écrire ses dernières lignes me déchire quelque peu. Je ne veux rien oublier et mon cœur restera grand ouvert. Ton bonheur m’importe au-delà du reste.
Je t’aime.
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Riviere1
Cette oeuvre (début d'oeuvre) est basé sur la thème de la conquête. J'aimerai la présenter au concours "prix 20 minutes du roman" édition 2022.
Je ne me prétends pas écrivain ni talentueux mais il s'agit de quelque chose qui me tient à coeur.
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Riviere1

La mer est agitée, je m'accroche difficilement à ce bout de planche qui me sert de flotteur. Il fait sombre autour de moi, mais également très froid. Mes yeux commences tout juste à se ré-ouvrir, mais ou étais-je avant? et qu'est ce que je fais la actuellement?
Je n'ai pas de but, je n'ai pas demandé à être ici, ni même la bas. Je suis fatigué alors que je n'ai jamais rien fait. J'ai besoin qu'on vienne me chercher, l'orage gronde et le ciel est noir, je ressent comme des boulversement. Je m'endors.
Les cris des mouettes me reveille, le soleil est à présent à son apogée, je prends une grande respiration, et me voila dehors. Je viens d'arriver et j'entends clairement "c'est un garçon".
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Riviere1

Si je devais noter pour tout ce que j'ai gagné, puis soustraire par ce que l'on m'a enlevé, sur quel résultats tomberai-je?
J'ai pu être autant flatté que dégouté, par des offrandes et des traitrises. Je n'ai pas connu que la satisfaction ce qui plus que normal, mais au final je ne retiens que le mauvais côté. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tout ce qui m'était selon moi destiné, ne s'est pas réalisé. J'ai toujours beaucoup compté sur les acquis dont je disposais, mais mes lacunes m'ont semblées bien plus impactantes. Je reniais le temps, ou tout du moins ne le prenait qu'à la légère, jusqu'à ce qu'il me rattrape. Mais comment pourrai-je savoir si je serai heureux, comblé, ennivré par le bonheur à un moment donné. J'ai l'impression que me battre est au dessu de mes forces, ou alors que ma volonté à flanché. Est-ce le résultat de nos rêves passés, qui confrontés à la dure réalité se sont brisés en milles morceaux, comment reconstruire quand tout semble à présent vain?

Je ne fais que me plaindre, et pourtant dans ma tête je ne cesse de me répéter que tout ira bien, je tente de m'auto-motiver, par de grandes paroles, de beaux discours. Je ne cesse de m'encourager intérieurement. De plus je suis entouré, mais insatisfait, alors que ce ne devrai pas être le cas, puisque je ne manque de rien de vital, ne souffre d'aucune maladie, mais pourtant. Je n'aime pas me comparé aux autres sur une échelle de souffrance, malgré le fait qu'ils en connaissent bien plus que moi, ce n'est pas par égoïsme, simplement le fait de ne pas aimer que d'autres soient touché par le malheur. J'aimerais être utile, venir en aide aux autres et également vivre de tout mes désirs. J'aimerais être pauvre et être riche. L'éternel insatisfaction n'a pas son pareil, je désirais changer ou tout lacher.
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Riviere1

J'ai vu quelqu'un qui a dit que nous étions les bâtisseurs de ce monde, nous, ceux qui écrivent. Je partage cet aviz; selon moi écrire permet d'imager la pensée. C'est un moyen de rendre immortelle toute forme de savoir, que ce soit à travers des vérités, des erreurs, des questionnements. J'aime le fait de sentir que je fais partie de ce groupe où les différences peuvent rassembler, ou les interrogations nous permettent de discuter, d'échanger. Cela ne se formalise pas forcément à travers une discussion orale et donc un échange direct, mais par le fait de se répondre à l'allure choisit. On peut alors réfléchir plus amplement, se poser les bonnes questions, confronter nos différentes façons de penser. Le jugement n'est pas négatif, il est constructif. Si le monde pouvait écrire et laisser les traces de chaque chose ayant existé, pour porter de l'attention à ce que nous ne découvrirons peut-être jamais.
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Défi
Riviere1

C'est une rencontre bien peu banal à laquelle allons assister.
Comme à son habitude la sorcière de la colline faisait bouillir sa marmite à base de différents aliments dérobés aux villagois d'en dessous, ainsi que quelques ingrédients dont seul elle avait la clé. En haut de petite demeure était positionné une sortie de cheminée, d'ou l'odeur s'évadait lentement, pour être guidée grâce au vent.
La fumée clair s'évadait jusqu'à une petite prairie, d'ou un loup guettait un troupeau de moutons innocents. En revanche par son flair aiguisée il fût de suite attiré. Il laissa le troupeau et suivi le courant blanc. Le loup était rapide et puissant, de plus il savait faire preuve de ruse pour obtenir ce qu'il voulait.
Arrivé en haut de la colline il fût surpris de découvrir une petite batisse au formes incongrus. C'est sur 4 blocs que tenait ce chateau miniature, avec une escalier si peu droit que l'on pourrai se demander s'il s'agissait vraiment du bon chemin. Déterminé le loup debuta son ascencion, il était silencieux, il faisait attention. Il entrouvi la porte de par son museau et n'en revenait pas. Un grand chapeau pointu, une longue robe, des cheveux long, de fines griffes à la place des ongles, et un nez plus proche d'un museau, tout de couleur noir, pour le loup c'était une beauté qui n'avait pas d'égal.
Mais le plus plaisant n'était pas cette sorcière, mais bien l'ingredient secret suspendu à une cordre au dessus de la marmite. En effet le chasseur et son fusil, qui courait depuis longtemps après le loup était prisonnier et prêt à être cuisiné.
La sorcière vit le loup et lui dit alors : "j'observe vos querelles depuis maintenant longtemps, et ne supportait plus de te voir souffrir, alors pour qu'enfin tu cesse de courir, j'ai capturer le mal pour sauver l'animal". Le loup touché de cette attention ressenti alors la plus forte affection, et dans son grognement fit comprendre à la sorcière, qu'a travers toute la plaine il n'aurai d'yeux que pour elle.
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Riviere1

Là où je vais je ne sais même pas si je serai heureux,
La nos chemins se séparent, je ferme les yeux,
Alors dans un élan de doute, je m'élance vers le vide,
je me laisse emporter, je vole pour l'éternité,
s'efface alors la route, je n'ai plus une ride,
et par une extrême bonté, le temps s'est arrêté.
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Défi
Riviere1

C’est moi , j’ai décidé de t’écrire après notre dernière discussion de ce matin. J’ai énormément de choses à te dire, choses qu’un simple sms ou snap ne pourrai contenir. Si la lettre n’est pas manuscrite c’est parce que mon écriture serait bien trop brouillonne et surement illisible.
J’avais tout d’abord envie de te dire que les moments à tes côtés ont été merveilleux, je regrette déjà d’en parler au passé. Je me remémore souvent notre première nuit qui était aussi belle que celles que l’on pouvait décrire dans des romans d’avant. J’ai vu ma première étoile filante lorsque l’on était ensemble, et elle a en parti exaucée mon souhait, pour une durée bien trop courte, à ma plus grande déception. Au moment où je t’écris toute ces images de notre premier rendez-vous défilent encore dans ma tête. Comme tu me l’as dit je n’ai aucun regret des moments passés ensemble, mais j’aurai aimé être capable de conserver notre histoire, de la faire durer. J’ai l’impression d’avoir planté deux graines mais que l’une grandit plus vite que l’autre, et celle dans mon cœur est bien plus rapide à éclore que la tienne, n’y voit pas un reproche, c’est aussi la beauté humaine de ne pas tous ressentir les mêmes choses au même rythme.
J’aimerai vraiment t’ouvrir mon esprit pour que tu y plonges, que tu puisses nager dans chacun de mes souvenir et nous voir sourire, nous voir heureux ensemble. Crois-moi c’est le voyage que je fais chaque instant depuis que tu n’es plus avec moi et il est aussi magnifique que douloureux, mais je le conserverai toujours.
Si tu savais comme je t’admire, tu n’en as peut-être pas l’impression mais je te connais surement mieux que tu ne me connais. J’ai mémorisé tout ce que tu m’as dit, j’ai pu tenter d’imager ce que tu as vécu dans ton passé, vis-à-vis de ta famille, tes problèmes de santé, de tes histoires d’amour. Je n’aurai pas la prétention de dire que j’ai connu les mêmes peines, mais je te comprends. Tu es une femme très forte, tu m’as vraiment laissé bouche bée sur ton parcours, par ta personne si magnifique et agréable. J’ai une grande fierté à parler de toi, non pas comme de quelqu’un qui serai « à moi » mais comme mon binôme, mon égal, un peu comme si l’on était Bonny and Clyde. Tu peux me croire j’ai rarement estimé une personne autant que toi, tu es unique et incroyable, une véritable perle rare.
Je t’ai dit par le passé que tu mettais de la couleur dans la vie des gens, tu as arrosé la mienne avec un éventail de couleur plus large qu’il n’en existera jamais.
Comme j’ai pu le voir tu te poses beaucoup de question sur toi-même et tu n’es pas en totale symbiose avec ta propre personne, ce qui est plus que compréhensible. En revanche ne doute pas de ton intelligence, compte dessus car les ressources dont tu disposes sont énormes, ton intérêt pour tout ainsi que ta façon de penser m’ont énormément plus dès l’instant où nous avons discuté. Une fois de plus je suis très fier de toi, alors sois le de toi-même car c’est bien le plus important, ai confiance en toi tout ira bien, je n’en ai aucun doute, que ce soit pour ta vie professionnelle comme personnelle tu seras un exemple pour beaucoup de monde.
Viens le moment de mes excuses, je regrette d’avoir débarquer en boule de nerf ce matin, j’aurai dû penser à l’impact sur le reste de ta journée. J’avais juste besoin de réponses. Je regrette que tu n’aies pas pu me parler, j’aurai aimé que l’on puisse discuter, une fois de plus je tiens à dire que je comprends l’incapacité à le faire de manière spontanée. Cette partie de ma lettre sera plus douloureuse pour toi mais j’aimerai exposer mes arguments une fois pour toute, je vais donc te reparler un peu de moi. J’ai difficilement cru en l’amour, j’ai été déçu comme beaucoup, mais les mots et les paroles m’ont déjà rendu plus que minable à travers le passé. Je ne voulais pas faire confiance à quelqu’un et aller trop vite, mais tu m’as invité à le faire. En me faisant venir chez toi, en me demandant de rester quand je te disais que je rentrais chez moi, j’ai compris de la mauvaise manière ce que tu voulais. Voilà mon impression d’être perdu car tu m’as attiré puis coupé tout ce à quoi je m’étais habitué. Je ne t’en veux pas de ne pas savoir où tu en es, mais je ne peux pas comprendre chacun de tes actes. Ta déclaration lorsque tu me demandais si je voulais de toi et si l’on pouvait construire quelque chose à mesure des années m’avait vraiment touchée…
Notre histoire n’a peut-être pas durée énormément de temps mais elle fut intense, je pense que l’on s’est réellement compris, qu’on s’est trouvée, mais je n’arrive pas à m’imaginer que tout puisse s’écrouler si spontanément.
Je suis d’accord que l’on se soit pris la tête mais je maintiens le fait que jamais cela n’a explosé entre nous, j’ai mal agi en partant mais je ne pensais pas à mal au contraire. Mon but était de calmer la situation avec le temps.
Actuellement ton odeur est sur mes mains, tu me manques déjà. Pour tout te dire sincèrement le fait que tu ne sois pas prête me semble être une excuse, je pense plutôt que tu t’interdis d’être heureuse. Je maintiens le fait que je t’aime énormément et je ne dirai pas que je suis indispensable pour toi dans ta vie, j’ai appris que personne ne l’est. En revanche de mon côté tu es mon choix pour que je le sois, tout dépend à présent de ce que tu souhaites.
J’espère que tu pourras te retrouver, t’épanouir et être heureuse. J’espère également que l’on puisse se retrouver, à un moment, maintenant ou plus tard, quand tu l’accepteras. Je t’ai aimé plus que n’importe qui n’a pu le faire, et ce sera encore le cas quand tu liras ou même relira cette lettre. Il est évident que je serai là pour toi, toujours, que ce soit comme ami ou plus mais je tiens à dire que tu feras toujours parti de ma vie.
Rien ne t’oblige à me répondre, ni maintenant ni plus tard. Pourvu que tu ne m’en veuille pas, je respecterai tes choix quel qu’ils soient. J’aimerai tout de même que tu ne t’enfonce pas dans la solitude, que tu arrives à réfléchir. Si je pouvais te faire réaliser qu’une vie ensemble ce serai magique je le ferais, si tu voyais les choses comme je les vois. J’ai à la fois envie d’influencer ton choix, mais si tu dois revenir il faut que ce soit de ton plein gré, par ta décision. Je t’attendrai forcément, mais ne t’y sens pas obligé, tu connais ma fierté je ne veux pas que tu prennes pitié.
J’espère que tu ne trouveras pas mon acte trop ringard mas je l’assume pleinement, je ne veux pas t’effrayer mais je ressens le besoin d’agir parce que je t’aime. Je ne t’espionnerai pas, je ne te gênerai jamais, et ne serai pas toxique à aucun moment. Cette lettre est symbolique car je ne te renverrai aucun message avant un moment, sauf si tu y tiens, je pars mais ne suis pas loin, si tu tiens à me faire rester tu en as le pouvoir. T’écrire me libère, me fait me sentir mieux, tu peux choisir de répondre ou non. J’ai surement encore des tas de choses à te dire, j’en aurai toujours mais je ne veux pas que cela te paraisse trop long.
Sache que je t’aime encore et encore, tu es magnifique, mentalement physiquement tu me plais tellement. J’aime tout chez toi, tu me manques, ton odeur, le son de ta voix, la douceur de ta peau, l’éclat de tes cheveux…
Réfléchis bien, tous les choix sont entre tes mains à présent. Excuse-moi pour les fautes d’orthographes qui doivent être nombreuses.
Je reprendrai de tes nouvelles mais je ne pourrai être le premier à te recontacter, écrire ses dernières lignes me déchire quelque peu. Je ne veux rien oublier et mon cœur restera grand ouvert. Ton bonheur m’importe au-delà du reste.
Je t’aime.
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Riviere1
Rodrigue, jeune homme de 23 ans vit paisiblement. Les choses sont en ordre pour lui, mais seront vite bousculées dans un futur proche.
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Défi
Riviere1

Et donc la solution la plus évidente était de casser ce truc ?
Tout était parfait et toi tu décide comme ça de tout envoyer valser? Et puis quoi le bonheur ça te fait peur? Ou alors tu veux simplement être libre de vivre d'autres choses? Alors pourquoi tu m'as fais espérer comme ça, pourquoi tu m'as promis tout ça, pourquoi tu m'as parlé d'avenir. Je t'avais dis que ma confiance était limitée, et toi tu en joues encore plus. Est-ce que au moins une fois t'as été sincère avec moi? Je suis à bout et j'en reviens pas que tu casses ce qu'il y avait entre nous, c'était presque parfait malgré des petites vagues, on était bien tout les deux. Je sais plus quoi te dire alors je préfère la fermer et m'en aller, plutôt que de regarder ce qui est arrivé, alors oui tu peux me dire que t'es désolé, mais on pourra plus jamais rien réparer et ça c'est ce qui me fait mal.
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Défi
Riviere1

Les nuits sont compliquées. J'aime dormir, c'est revitalisant, relaxant, agréable. En revanche j'aime également vivre et profiter des minutes, c'était alors l'une des raisons de mes premières insomnies. Je restais alors sur les réseaux, devant la télé, la console et le temps filait à une vitesse folle; bien plus que lors d'une journée. Le fait d'être seul dérangeais pas, de plus je ne me sentais pas coupable car la nuit on ne peut rien faire de plus, c'est ce que je me disais.Je me suis vite retrouvé dans un cycle infernale ou je ne pouvais plus m'endormir la nuit, et je me retrouvais épuisé durant la journée.
Ma deuxième cause d'insomnie à été suite à une rupture, je me suis renfermé sur moi même, je passait beaucoup de temps dans mon lit, à écouter de la musique, à penser et surtout à regretter. Je me disais que je m'endormirai avec le temps mais le sommeil ne venait pas, mes idées fusaient dans ma tête au point que j'avais l'impression qu'elle allait exploser. Pour le peu de temps ou mes yeux se fermaient et ma conscience s'arrêtait j'étais rattrapé par mes rêves, ou des cauchemars. Soit je revoyais des moments passés, ou des moments imaginés. Parfois ils etaient beaux parfois horrible, et ces rêves rapides me revaillaient. L'affreuse réalité m'avait rattrapé et je ne pouvais plus dormir, de plus mon était encore pire au reveil de cette micro-sieste.
Les choses ne sont pas encore passées, mon sommeil est encore déréglé mais j'essaye de retrouver un rythme de vie, et je me dépense plus pour être fatigué. Moi qui aimait dormir, je fuis cela pour ne plus réver.
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