Je me dégoûte pour ce que je ressens pour lui. Je suis en colère pour tout les sentiments qu'il me fait ressentir pour lui et je suis en colère contre tout ces hommes qui touche chaque centimètre de son corps chaque nuit.Pourquoi suis-je amoureux du seul homme qui m'est interdit d'aimer?
Pourquoi a-t-il fallu que je tombe amoureux de toi alors, que je n'ai aucunement le droit de t'aimer ?

Une minute, tout va bien et la seconde d'après tout bascule. C'est le cas pour notre petit Maxime, surnommé Max. Il a tout pour être heureux : une famille, des amis, un foyer et il suit des études de littératures. Il aimerait devenir un grand romancier, mais sa vie va basculer à tout jamais. Pas seulement pour lui, mais pour toute l'humanité.

Finis le monde tel que nous le connaissons avec des enfants qui jouent dans la rue, finis d'entendre les cris et les rires aux éclats. Fini les bonnes odeurs de nourritures, les fleurs et l'herbe fraîchement tondue. Dites bonjour au silence, aux claquements de dents et aux tirs de fusil, aux bruits assourdissants des avions de chasse. Dites bonjour aux odeurs nauséabondes de : chair, de sang, de pisse et de mort.

Adieu monde merveilleux et bonjour paysages apocalyptiques.

Sais-tu ce que c'est de vivre chaque jour en pensant que celui-ci pourrait être le dernier ? Sais-tu réellement ce qu'est vraiment la peur ? De t'endormir sans savoir si demain, tu seras encore en vie ? Moi oui, je sais toutes ses choses. Je m'appelle Brandon et j'ai étais kidnappé pour travailler afin de rembourser les dettes de mon frère. Chaque jour, j'ai peur de ce qui pourrais m'arriver. Je vis dans l'angoisse, j'ai peur de faire de travers et de m'en prendre une. Je suis devenu la boniche de service pour de ce connard qui n'hésite pas à me frapper si les choses ne sont pas faites comme monsieur la demander.

À tout juste dix-neuf ans, Lucas est un jeune auteur auto-édité. Sa passion, écrire des romans d'amour entre deux hommes. Cela lui permet de s'évader durant quelques heures de la vraie vie. Il vit avec son meilleur ami, Louis avec qui il partage un petit appartement de deux chambres qu'ils sont décorés à leur guise. Mais Lucas aimerait explorer d'autres horizons en l'occurrence, le monde du bdsm et grâce à Louis, qui fait parti d'un club de dominant/soumis, il rencontra le beau et séduisant maître Juan. Lucas apprendra ce qu'est une relation dominant/soumis aux côtés de maître Juan, mais aussi le plaisir et l'obéissance.

Anthony est riche et vie dans un très bel appartement.
Sebastian est pauvre et vie dans la rue.
Anthony est laid à cause d'un puissant sortilège qu'une sorcière lui à jeté dessus pour avoir refusé d'épouser sa fille parce qu'il aime les hommes.
Sebastian lui, est très beau.
Le destin va faire qu'ils vont se rencontrer. L'un a besoin d'un logement et l'autre à besoin d'un simple baissé pour redevenir l'homme qu'il était autre fois.

Je m'en rappelle comme si ça c'était passé hier, mon ami Adrien m'avait invité à une soirée qu'il avait organisée pour sa femme Laura, avec qui il était en couple depuis plus de 10 ans.
Bien sûr, grand solitaire comme je l'étais, je ne connaissais pratiquement personne.
Pourtant je me rappelle de ce grand lézard baraqué, très musclé et recouvert d'écailles avec plusieurs nuances de verts.
Il portait un costume noir et une chemise blanche. Ça lui allait comme un gant. Il avait l'apparence d'un être humain, se tenait debout comme un humain, parlait comme un humain et se comportait comme un humain.
Durant toute la soirée, il n'avait cessé de me regarder tel un animal prêt à bondir sur sa proie.
J'aurais dû avoir peur, m'enfuir en courant, mais je me sentais attiré par lui. Il dégageait un charme qui aurait pu faire tomber n'importe qui à ses pieds que ce soit hommes ou femmes, mais c'était moi qui l'attirais, c'était moi qu'il avait regardé durant des heures et des heures.
Ce soir-là, lorsque la soirée fut terminée, j'étais sorti pour rejoindre ma voiture pour rentré au plus vite chez moi.
Quelle ne fût pas ma surprise lorsque je l'ai vu appuyé contre un mur. Il avait l'air si... Décontracté. Il était vraiment très séduisant dans ce costume taillé sur mesure.
Lorsqu'il avait relevé son regard sur moi, je ne savais pas si je devais m'enfuir en courant ou si je devais rester planté là.
Il avait dû certainement ressentir mon hésitation car au bout d'un moment, il s'était écarté du mur et s'était mis à avancer dans ma direction.
Il avait l'air si sûr de lui lorsqu'il marchait dans ma direction. Quant à moi, j'avais baissé la tête pour ne pas avoir à le regarder dans les yeux.
Cela n'avait certainement pas dû lui plaire car dès qu'il fût devant moi, il avait pris mon menton entre son pouce et son index et avait relevé la tête jusqu'à ce que mon regard plonge dans le sien.
Ses yeux étaient d'un bleu ciel, j'aurais cru voir l'océan devant moi, j'aurais pu le regarder durant des heures, ses doigts qui me touchaient encore le menton étaient d'une extrême douceur contrairement à ce que je m'imaginais. Je m'attendais à ce que ses doigts soient rêches et désagréables, mais c'était tout le contraire.
Son toucher était non seulement doux, mais aussi agréable.
J'étais tellement hypnotisé par ses yeux que j'avais sursauté lorsqu'il avait brisé le silence qui nous entouré.
- J'ai passé une excellente soirée, mais je n'ai pas envie qu'elle se termine. Accepterais-tu de venir boire un verre chez moi ?
Sa voix m'excitait comme je ne l'ai jamais été. Elle était grave et autoritaire, mais douce à la fois. Mon cœur battait très fort contre la cage thoracique, j'avais des papillons dans le ventre, je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait. Je ne comprenais pas pourquoi mon corps réagissait comme ça en sa présence.
Je pris conscience qu'il attendait toujours une réponse de ma part et avant même que je puisse me rendre compte ma bouche avait parlé sans que je lui ai donné la permission.
- J'accepte volontiers. Je te suis avec ma voiture.

Lui, c'est Zeus. Le chef de clan des arachnides. Un adversaire redoutable pour celui qui se trouve dans le clan ennemi. Les gens ont peur lorsqu'ils voient une armoire à glace arriver tout droit dans leur direction, mais ils sont carrément traumatisés lorsque celui-ci prend sa forme araignée.

Trinity est un Oméga. Il est jeune et veut profiter un maximum de la vie avant de se caser avec qui que ce soit, mais voilà que cet homme arrive et change le cour de sa vie. Cet homme qui se révèle être son compagnon réduisant ainsi tout ses plans.

Tout a commencé le vingt et un mai deux-mille six. Un objet non identifié s'est immobilisé au-dessus de la ville de Frameries, une petite ville située au Hainaut en Belgique. Suite à ça, plusieurs choses inexpliquées se sont dérouler durant les jours qui ont suivi. Jusqu'au jour où, les autres comme nous les avons surnommé, c'est manifesté. À partir de ce moment-là, je savais que plus rien ne serait comme avant.

Annaria est une lycéenne de dernière année.

Joshua est policier.

Elle rêve de devenir romancière.

Il parcourt les rues, les villes et les chaussées afin d'assurer la sécurité des citoyens.

Un club. Une rencontre. Un simple regard et leurs destins étaient sellés, mais leur différence d'âge serait elle un frein ou arriveront ils a passaient au-dessus ?

Viktor Roch est un jeune homme métamorphe loup de 23 ans à la carrière très prometteur.

Développeur d'applications indépendant, il a tout pour être heureux ou presque. Depuis plusieurs années, il cache un secret qui est devenu trop lourd à porter. Il décide finalement d'en parler lors d'un repas de famille.

Que peut-il lui arrivé ? Ce sont ses parents, ce n'est pas n'importe qui. De plus, il sait que ses parents l'aimeront toujours peut importe ce qu'il est ou qui il est.

L'aimeront-ils assez pour accepter sa différence ?

Alexander Clovis est l'alpha de la meute Monseland. Il gère les membres de sa meute d'une poigne de fer. Tout le monde le respect et Alexander n'est jamais seul. Enfin jamais seul... Il n'a toujours pas trouvé son compagnon, mais il est toujours entouré des membres de sa meute.

Un événement va tout changer et la vie de chacun va être chamboulé. Pour certain, cet événement sera une très bonne surprise, alors que pour d'autres, ce sera douloureux.

Seigneur comment me suis-je mis dans une situation pareille? Non ! C'est bon ! Ne me dit rien, je sais ce que j'ai fait pour me retrouver ici aujourd'hui.
Mais sérieusement, qu'est-ce qu'il m'a pris de prier Satan pour qu'il me prenne brutalement? Ouais, c'est bon je m'en rappelle. Dans ma tête, pour moi ce type n'exister pas et je pensais que c'était un personnage qu'on avait inventé de toutes pièces pour que l'homme se tienne à carreau s'il ne voulait pas aller en enfer une fois son heure venue.
Je me rappelle que j'étais dans ma chambre allongé dans mon lit quand j'ai commencé à me posé un tas de question. Je me suis demander si Dieu existé et si le diable existé lui aussi. A ce moment-là, tout ce que je voulais c'était avoir une confirmation et c'est donc sans réfléchir que j'ai prié Satan en lui disant que s'il était vraiment réelle, qu'il vienne me prendre brutalement.
Cependant, après plus d'une semaine d'attente, je n'avais toujours reçu aucun signe de sa part. Pas de visite paranormal la nuit ni même une réponse. Dans ma tête, la réponse à la question était claire. Satan ou peut importe comment vous l'appeler n'exister pas.
Mais voila qu'un soir alors que j'étais sur le point de manger mes spaghetti bolognaise deux hommes à la peau rouge et aux ailles noires dans le dos se sont retrouvés dans ma cuisine et m'ont amener tout droit aux portes de l'enfer.
Nous avons traverser un long couloir sombre éclairé seulement par quelques loupiote accroché au plafond. J'étais totalement nu et le tapis d'un rouge vif sous mes pieds était vraiment très doux. Les murs étaient d'un noir sombre et la température avec augmenter de plusieurs degré par à port à l'extérieur.
Les deux colosses qui m'ont escorter de chez moi à ici me font rentrer dans une pièce et me demande d'attendre quelques instant que quelqu'un ne tarderais pas à venir me chercher dans quelques minutes.
Alors qu'il referme la porte derrière eux, un tas de questions se bouscules dans ma tête. Où suis-je? Qu'est-ce qu'il attende de moi? Que me veulent-ils? Combien de temps compte-t-il me garder ici
Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre et un homme pénètre dans la pièce.
— Retourne toi !
Je m'exécute et très vite, je le sens s'approcher. Je peux sentir son souffle chaud dans mon dos. Il prend mes poignets et va les mettre derrière mon dos. En quelques minutes, mes poignets sont attachés ensemble.
L'homme referme un bracelet autour de ma cheville droite et un autre autour de celle de gauche. Les bracelet sont relié par un longue et fine barre de fer.
— Avance jusqu'à la porte la tête baisée.

— Je ne baisserai les yeux devant personne. Dis-je sur la défensif.

— On verra si plus tard tu diras toujours la même chose. En attendant, fait ce que je t'ai demandé de faire et ne discute pas.
J'avance doucement vers la porte indiqué, mais ce n'est pas chose facile en ayant les pieds lié. J'ai peur de tomber et de me ridiculiser devant tous le monde.
— Tu ne devrais pas t'inquiètes pour des choses aussi futiles. A ta place, je serais plus inquiet pour ce qui va arriver.
Je décide d'ignorer sa remarque. Je ne vois pas ce qui peut être plus humiliant que tomber devant des personnes.
Lorsqu'il ouvre la porte, nous arrivons dans une pièce plongé dans l'obscurité. Seul nos pas se font entendre. L'homme me conduit au milieu de la pièce et disparaît tout aussi vite.
je regarde tout autour de moi, mais il fait tellement noir que je ne peux rien voir du tout. Alors que je m'apprête à m'asseoir sur le sol, une main m'attrape le poignet.
Je sursaute et crie comme une fille. Mon cœur bat la chamade et ma respiration est chaotique. Cependant, je ne suis pas au bout de mes surprises.
Tout à coup, les lumières s'allume et je me retrouve devant une vingtaines d'hommes à la peau rouge avec des ailles noires dans le dos. Certains ont des yeux mauves, d'autres noirs et quelques uns ont des yeux rouges sang.
La main qui c'est emparer de la mienne se resserre légèrement autour de ma main m'obligeant à tourner ma tête sur la droite.
La première chose que je vois, ce sont deux pieds nu de couleur rouge. Je laisse mes yeux remonter tout doucement et plus je parcours le corps devant moi, plus je me sens excité. Des jambes musclés, des cuisses tout en muscles, une queue... Quoi?? Je rêve le mec est à poil et ça ne le gêne pas qu'un inconnu le mate?
Bref ! Son anatomie est très bien proportionné. Une longue et grosse queue de couleur rouge, pendouille entre les jambes de l'inconnu. Des bourses lisses reposent lourdement sur les cuises de l'homme.
Je continue d'explorer le corps qui est exposé devant moi. Des abdominaux parfaitement dessiner, un torse divinement musclé, de larges épaules, des lèvres pulpeuses, un petit nez et des ...
Clac....
— Tu n'aie pas autorisé à me regarder dans les yeux humain!

— Putain tu m'as frapper ! Dis-je en regardant l'homme devant moi.

Clac
— Baisse les yeux humain.

— Mais tu es qui toi pour me donner des ordres?

Clac
— Baisse les yeux je t'ai dit.

Malgré la colère qui se manifeste en moi, je baisse les yeux comme il m'a était demandé de le faire.

— Voila qui est mieux. Tu découvriras bien assez tôt qui je suis.
Je suis debout pied et main attaché complètement nu devant une vingtaines d'homme que je n'ai jamais vu de ma vie.
Je peux sentir le regard parcourir mon corps et au lieu de me sentir gêne, je suis excité. Que m'arrive t-il? Ouais, je n'ai jamais était du genre pudique, mais delà à me tenir nu devant des gens que je ne connais pas et me sentir à l'aise en leur présence, je ne pensais pas me sentir autant à l'aise.
— Bien, mon nom est Ball, mais peu importe pour toi, se sera monsieur et rien d'autre. C'est compris?

— Ouais. Dis-je avec hargne.

Clac.
— On dit oui monsieur.

Et puis quoi encore. C'est quoi ce bordel? Pourquoi voudrait il que je l'appelle monsieur? Hors de question que je l'appelle monsieur. Il a un nom et je compte bien m'en servir.
— Oui Ball.

Clac.
— C'est oui monsieur.

— Oui Mon... Monsieur

— Maintenant que c'est clair, laisse moi t'énumérée les règles que tu ne pourras jamais transgresser.

— 1) Tu ne me regarderas pas dans les yeux sans que je t'en ai donner la permission.

— 2) Tu devras me servir

— Et puis quoi encore. Je ne suis pas un esclave, mais un humain abruti.

Clac. Clac.
J'encaisse les coups sur mes joues sans émettre le moindre son. Je ne lui accorderais jamais ce plaisir de savoir qu'il me fait mal.
— Manque moi encore une fois de respect et je vais te montrer à quel point tu es un esclave. C'est compris?
.....
— Répond

— Oui monsieur

— Soumis tu seras, ton maître je serais.

— Oui monsieur

— Dans la chambre tu m'attendras, à genoux tu seras.

— Oui monsieur

— Les yeux baissé tu auras, bon garçon tu seras.

— Oui monsieur

— Attaché tu seras, les coups de fouet tu encaisseras. La douleur tu subiras, le plaisir tu ressentiras. La jouissance tu atteindras, le sous espace tu connaîtras.

Un gémissement se fait soudainement entendre. Mais c'est moi qui vient de faire ça. Une main s'enroule autour de ma queue et ma tête par en arrière exposant ainsi ma gorge à l'homme devant moi.
Celui-ci passe sa langue entre ses lèvres et lèche mon cou jusqu'à mon lobe qu'il aspire entre ses lèvres.
— Oh mon dieu !!!!

— Non, moi c'est Ball.

Sa main descend et remonte sur ma queue. Mes jambes tremble, j'oublie que nous ne sommes pas seul dans la salle et que plusieurs personnes ont leur yeux rivés sur nous en ce moment même.

Je l'ai répété mainte et mainte fois, mais non ! Les gens ont tout simplement préféré ignoré mes mises en garde ou tout bonnement faire la sourde oreille.
Toutefois, tout ce que j'ai prédit deux ans auparavant est sur le point de se produire. Il n'y aura pas de retour en arrière, pas de seconde chance !
L'humanité est sur le point de connaître une catastrophe sans précédent. Il ne restera plus rien sur terre et probablement personne qui survivra pour raconter ce qui est sur le point de se produire.
L'armée se croit invincible avec leurs armes de guerre, mais ils vont vite déchanter face à leurs adversaires. Les extra-terrestres sont bien plus avancés que nous le sommes et pas seulement niveaux armement.
Croyez-moi, je les ai assez observés pour dire que nous ne sommes vraiment pas prêt à faire face à ça. Les gens me prenaient pour un détraqué quand je leur disais que plus tard, la planète subirait une invasion.
Aujourd'hui, ça me fait rire quand je les vois faire la queue devant ma porte à attendre sagement que je vienne leur afin que je leur dise quoi faire. Cependant, il est trop tard pour dire ou faire quoi que ce soit.
Ce n'est pas maintenant qu'il fallait m'écouter, mais bien avant. Ce n'est plus l'heure de parler, mais il faut agir. J'ai pourtant essayé à de nombreuses reprises, mais personne et je dis bien personne n'a voulu entendre raison. Maintenant, aller tous au diable !
Je ne me rappelle plus le nombre d'heures que j'ai passé derrière mon télescope à observé ces lumières étranges qui bougeaient dans le ciel la nuit. J'ai vu des drôles d'objets survolaient la ville. Et croyez-moi, je sais que ce n'était pas des avions.
Non ! Ces objets étaient métalliques de couleur très foncée. Parfois, ils s'immobiliser au-dessus des habitations des habitants.
Oui ! J'ai pris des photos afin de leur apporter des preuves de ce que j'avancer. Cependant, les gens m'ont répondu que j'aurai très bien pu utiliser le logiciel Photoshop pour leur faire croire des choses qui n'existaient pas selon eux.
Alors, j'ai fini tout bonnement abandonné. Je ne leur disais plus rien de ce que je voyais.
Dans mon coin, j'ai continué à regarder ce qui se déroulait dans le ciel une fois la ville endormie et je garder tout pour moi. Bien sûr, pendant ce laps de temps, j'en ai profité pour me construire un abri souterrain.
Quand j'allais faire les courses, je prenais toujours un peu plus de nourriture en conserve que je mettais dans mon abri.
Ainsi, quand le moment sera venu d'aller s'abriter, j'aurais de quoi tenir plusieurs voir même quelques années.
Toutefois, le jour est arrivé et je n'arrive pas à me décider entre aider tout ces gens ou tout simplement les ignoré comme eux l'ont fait avec moi durant ces deux dernières années. Finalement, je décide de les ignorer et de faire la sourde oreille.
Aujourd'hui, ils sont obligés de croire à tout ce que je leur ai raconté. À moins qu'ils viennent frapper à ma porte pensant que j'ai créé un décor apocalyptique qui englobe tout le monde. S'ils pensent ça, je me demande qui est le plus fou entre nous.
Je me dirige vers la porte arrière de la maison, je sors et me dirige vers le fond du jardin. Je retire le faux tapis d'herbe que j'ai installé et une planche en bois avec une trappe apparaît. J'ouvre l'entrée et je referme avec le verrou que j'ai installé.
Je descends les quelques marche et j'arrive dans une petite pièce. J'ai installé l'électricité, un grand divan avec une petite télé posé sur un petit meuble. J'ai construit une autre petite pièce où j'ai installé un grand frigo et deux grandes armoires pour les conserves, les pâtes, le riz et le boulgour.
J'ai pris plusieurs bacs d'eau, mais j'ai également installé une pompe pour filtrer l'eau. Juste à côté de la télé, un matelas est posé sur le sol avec une couverture.J'ai tout ce dont j'ai besoin pour tenir quelques années. Je m'installe dans mon divan et allume la télévision.
- Mes dames et messieurs, si vous venez de nous rejoindre, sachez que l'heure est grave ! Nous sommes attaqué. Depuis plusieurs heures, des lumières étranges apparaissent au-dessus des villes un peu partout dans le monde. Nous avons envoyé des avions de l'armée en reconnaissance, mais tous nous rapporte la même chose. Les objets qui sont immobiliser au-dessus des villes sont dépourvu de fenêtre donc impossible de voir qui est à l'intérieur. Nous demandons à la population de rester enfermer chez eux jusqu'à nouvel ordre. Attendez, il y a du nouveau.
Le présentateur porte sa main à son oreille et son visage devient de plus en plus pâle au fur et à mesure qu'il écoute son interlocuteur. Il tremble et son regard est lointain. Au bout de plusieurs minutes, il reporte le micro devant sa bouche.
- Nous venons d'apprendre qu'un avion de l'armée vient d'être abattu par un de ces objets métalliques. L'armée riposte et c'est devenu un vrai champ de bataille juste au-dessus de nos têtes. Des avions tombent toutes les deux minutes. Oh mon dieu ! Le présentateur regarde en l'air et quelques instants plus tard, le journal coupe.