Je serais ton maître

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Seigneur comment me suis-je mis dans une situation pareille? Non ! C'est bon ! Ne me dit rien, je sais ce que j'ai fait pour me retrouver ici aujourd'hui.

Mais sérieusement, qu'est-ce qu'il m'a pris de prier Satan pour qu'il me prenne brutalement? Ouais, c'est bon je m'en rappelle. Dans ma tête, pour moi ce type n'exister pas et je pensais que c'était un personnage qu'on avait inventé de toutes pièces pour que l'homme se tienne à carreau s'il ne voulait pas aller en enfer une fois son heure venue.

Je me rappelle que j'étais dans ma chambre allongé dans mon lit quand j'ai commencé à me posé un tas de question. Je me suis demander si Dieu existé et si le diable existé lui aussi. A ce moment-là, tout ce que je voulais c'était avoir une confirmation et c'est donc sans réfléchir que j'ai prié Satan en lui disant que s'il était vraiment réelle, qu'il vienne me prendre brutalement.

Cependant, après plus d'une semaine d'attente, je n'avais toujours reçu aucun signe de sa part. Pas de visite paranormal la nuit ni même une réponse. Dans ma tête, la réponse à la question était claire. Satan ou peut importe comment vous l'appeler n'exister pas.

Mais voila qu'un soir alors que j'étais sur le point de manger mes spaghetti bolognaise deux hommes à la peau rouge et aux ailles noires dans le dos se sont retrouvés dans ma cuisine et m'ont amener tout droit aux portes de l'enfer.

Nous avons traverser un long couloir sombre éclairé seulement par quelques loupiote accroché au plafond. J'étais totalement nu et le tapis d'un rouge vif sous mes pieds était vraiment très doux. Les murs étaient d'un noir sombre et la température avec augmenter de plusieurs degré par à port à l'extérieur.

Les deux colosses qui m'ont escorter de chez moi à ici me font rentrer dans une pièce et me demande d'attendre quelques instant que quelqu'un ne tarderais pas à venir me chercher dans quelques minutes.

Alors qu'il referme la porte derrière eux, un tas de questions se bouscules dans ma tête. Où suis-je? Qu'est-ce qu'il attende de moi? Que me veulent-ils? Combien de temps compte-t-il me garder ici

Quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre et un homme pénètre dans la pièce.

— Retourne toi !

Je m'exécute et très vite, je le sens s'approcher. Je peux sentir son souffle chaud dans mon dos. Il prend mes poignets et va les mettre derrière mon dos. En quelques minutes, mes poignets sont attachés ensemble.

L'homme referme un bracelet autour de ma cheville droite et un autre autour de celle de gauche. Les bracelet sont relié par un longue et fine barre de fer.

— Avance jusqu'à la porte la tête baisée.

— Je ne baisserai les yeux devant personne. Dis-je sur la défensif.

— On verra si plus tard tu diras toujours la même chose. En attendant, fait ce que je t'ai demandé de faire et ne discute pas.

J'avance doucement vers la porte indiqué, mais ce n'est pas chose facile en ayant les pieds lié. J'ai peur de tomber et de me ridiculiser devant tous le monde.

— Tu ne devrais pas t'inquiètes pour des choses aussi futiles. A ta place, je serais plus inquiet pour ce qui va arriver.

Je décide d'ignorer sa remarque. Je ne vois pas ce qui peut être plus humiliant que tomber devant des personnes.

Lorsqu'il ouvre la porte, nous arrivons dans une pièce plongé dans l'obscurité. Seul nos pas se font entendre. L'homme me conduit au milieu de la pièce et disparaît tout aussi vite.

je regarde tout autour de moi, mais il fait tellement noir que je ne peux rien voir du tout. Alors que je m'apprête à m'asseoir sur le sol, une main m'attrape le poignet.

Je sursaute et crie comme une fille. Mon cœur bat la chamade et ma respiration est chaotique. Cependant, je ne suis pas au bout de mes surprises.

Tout à coup, les lumières s'allume et je me retrouve devant une vingtaines d'hommes à la peau rouge avec des ailles noires dans le dos. Certains ont des yeux mauves, d'autres noirs et quelques uns ont des yeux rouges sang.

La main qui c'est emparer de la mienne se resserre légèrement autour de ma main m'obligeant à tourner ma tête sur la droite.

La première chose que je vois, ce sont deux pieds nu de couleur rouge. Je laisse mes yeux remonter tout doucement et plus je parcours le corps devant moi, plus je me sens excité. Des jambes musclés, des cuisses tout en muscles, une queue... Quoi?? Je rêve le mec est à poil et ça ne le gêne pas qu'un inconnu le mate?

Bref ! Son anatomie est très bien proportionné. Une longue et grosse queue de couleur rouge, pendouille entre les jambes de l'inconnu. Des bourses lisses reposent lourdement sur les cuises de l'homme.

Je continue d'explorer le corps qui est exposé devant moi. Des abdominaux parfaitement dessiner, un torse divinement musclé, de larges épaules, des lèvres pulpeuses, un petit nez et des ...

Clac....

— Tu n'aie pas autorisé à me regarder dans les yeux humain!

— Putain tu m'as frapper ! Dis-je en regardant l'homme devant moi.

Clac

— Baisse les yeux humain.

— Mais tu es qui toi pour me donner des ordres?

Clac

— Baisse les yeux je t'ai dit.

Malgré la colère qui se manifeste en moi, je baisse les yeux comme il m'a était demandé de le faire.

— Voila qui est mieux. Tu découvriras bien assez tôt qui je suis.

Je suis debout pied et main attaché complètement nu devant une vingtaines d'homme que je n'ai jamais vu de ma vie.

Je peux sentir le regard parcourir mon corps et au lieu de me sentir gêne, je suis excité. Que m'arrive t-il? Ouais, je n'ai jamais était du genre pudique, mais delà à me tenir nu devant des gens que je ne connais pas et me sentir à l'aise en leur présence, je ne pensais pas me sentir autant à l'aise.

— Bien, mon nom est Ball, mais peu importe pour toi, se sera monsieur et rien d'autre. C'est compris?

— Ouais. Dis-je avec hargne.

Clac.

— On dit oui monsieur.

Et puis quoi encore. C'est quoi ce bordel? Pourquoi voudrait il que je l'appelle monsieur? Hors de question que je l'appelle monsieur. Il a un nom et je compte bien m'en servir.

— Oui Ball.

Clac.

— C'est oui monsieur.

— Oui Mon... Monsieur

— Maintenant que c'est clair, laisse moi t'énumérée les règles que tu ne pourras jamais transgresser.

— 1) Tu ne me regarderas pas dans les yeux sans que je t'en ai donner la permission.

— 2) Tu devras me servir

— Et puis quoi encore. Je ne suis pas un esclave, mais un humain abruti.

Clac. Clac.

J'encaisse les coups sur mes joues sans émettre le moindre son. Je ne lui accorderais jamais ce plaisir de savoir qu'il me fait mal.

— Manque moi encore une fois de respect et je vais te montrer à quel point tu es un esclave. C'est compris?

.....

— Répond

— Oui monsieur

— Soumis tu seras, ton maître je serais.

— Oui monsieur

— Dans la chambre tu m'attendras, à genoux tu seras.

— Oui monsieur

— Les yeux baissé tu auras, bon garçon tu seras.

— Oui monsieur

— Attaché tu seras, les coups de fouet tu encaisseras. La douleur tu subiras, le plaisir tu ressentiras. La jouissance tu atteindras, le sous espace tu connaîtras.

Un gémissement se fait soudainement entendre. Mais c'est moi qui vient de faire ça. Une main s'enroule autour de ma queue et ma tête par en arrière exposant ainsi ma gorge à l'homme devant moi.

Celui-ci passe sa langue entre ses lèvres et lèche mon cou jusqu'à mon lobe qu'il aspire entre ses lèvres.

— Oh mon dieu !!!!

— Non, moi c'est Ball.

Sa main descend et remonte sur ma queue. Mes jambes tremble, j'oublie que nous ne sommes pas seul dans la salle et que plusieurs personnes ont leur yeux rivés sur nous en ce moment même.

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