Bonjour, j'ai plein de mondes dans ma tête, mais pour les mettre en forme par écrit c'est une autre histoire!
j'ai fais une tentative avec mon 2 de QI, bisou

Slatcher contempla la nouvelle feuille blanche, ou il s'était donné pour défi de noircir ce bout de papier de sa marque d'écrivain, de romancier, d'essayiste ou de nouveau malade immaginaire.
Il se disais que Dieu ou une entité extra-galactique lui avait offert par le biais de ce site une opportunité de s'accomplir dans la matrice (la vie illusoire que nous sommes en ce moment même entrain de vivre).
Il savait que des miryades de petites âmes l'accompagnaient dans ce défit alors qu'il avait décidé de relever ce défit, mais, qu'elle en serait la récompense? celle-ci, au beau milieu de cette illusion ne pouvait qu'exister dans ce monde, car, ici-bas toute action a une résultante.
il regardait l'angle droit et bas sur l'écran de son ordinateur et put constater qu'il était 07:24, que nous étions le 11/10/2021 en l'an de grâce covidienne et comprit qu'il ne s'était pas préparé du tout à ce genre d'exercice, n'avait rien rangé dans son cerveau, n'avait pas fait de sommeil profond, ou n'avait pas avaler un café ou une boisson énergétique. Il se moquait bien de la mise en forme, il se riait de l'orthographe, il nierait les regles de l'art et aujourd'hui lundi il jouerai de sa plume électronique pour retourner les esprits et tenterai par la même occasion de créer une porte entre les mondes, les dimensions.
Ce petit bonhomme vit qu'un paragraphe entier qu'il venait d'écrire s'effacait soudainement de lui même!
y avait-il un curateur quelque part au fin fond de la galaxie qui tenait les rênes, se jouait de lui ou bien l'orientait dans une direction bien définie, ou avait-il juste oublié qu'il venait de faire une fausse manip sur son clavier?
Il avait un avis bien tranché sur la question. pour lui, celà relevait de la constante de schrodïnger
ce savant qui faisait des recherches sur la physique quantique et qui décrivait l'existance d'un chat enfermé dans une boite qui était à la fois mort et à la fois vivant selon qu'un obervateur lambda l'observait ou pas. En d'autres terme tout ce qui existe ici bas, vit simultanément dans plusieurs dimensions à la fois, et, le fait d'avoir conscience ou pas de cette état de vie. Notre regard change la donne, crée ou défait une partie ou la totalité de notre illusion. Si vous vous permettez de lire les écrits d'un fou vous risquez de devenir fou à votre tour, de devenir intelligent, ultra sensible ou bien complètement en guerre contre ce genre d'urluberlut qui n'a absolument rien à expliquer de sensationnel, d'amusant ou de réaliste.
En terme médical cela se nommait: la "transformation logorrhéique" (la mise sur papier de sa pathologie verbiale). Oui, à force de vouloir toujours expliquer tout sur ma facon de penser, je fini par me perdre dans un dédale kafkaïen de récits homérique, le talent en moins.
Bon il est 8h20, cela fait une heure que j'écrit un minuscule paragraphe et je trouve ca gravissime de nullité donc il me faut aller dormir car la nuit blanche ne porte pas bon conseil et bouffe le côté cognitif de l'être humain en général.
Bonjour chez vous si vous ne vivez pas dans la rue, ou bien, si, après tout, si la rue est votre maison, dites au monde entier qu'il est en pleine mutation, qu'il change de cap et que le niveau de vibration s'oriente vers un maxicosm extra-dimensionel et que ce que l'on nomme la libération dans une religion est en faite une toute nouvelle ouverture vers un nouveau monde. Merci de me lire ou pas car sachez le vous vivez omniprésentement au moment présent.

A toi, qui aide inlassablement notre mère la terre
je dédis ces quelques mots, à ma manière
De ta folle farandole, vers elle, à jamais tu es restée
en vagues et en marées, les océans tu as bercés
De belles saisons, tour à tour, tu as crées
Nos rêves, et nos nuits, de ta grâce, ont été enchantés
Un beau jour de juillet, un dimanche soir.
Deux hommes sont venue te voir
Niels et Buzz, sur toi ont marchés. sautés et presque volés.
Tu nous les a rendu, si fiers, si beaux et si premier
Qu'un jour nous espéront aussi, tous un peu venir te visiter.
De la famille des étoiles, à jamais tu fais partie
car des rayons du soleil, tu te nourrie.
Toi la magicienne, la belle de toutes mes nuits.
Je sais que quelques part, en nous tu vie.
Et si ce poème manque de rimes des plus riches.
dans ton coeur, éternellement je resterai.
Des vers et des quatrains je m'en fiche.
car grace à toi aujourdhui je fais
Enfin, enfin, ce qu'il me plait.

Comme tu le sais je ne connais rien de toi, juste que tu es de source sûr, d'origine Vietnamienne et que tu as connue la guerre qui a opposé ton pays aux états Unis, j'ignore également qui est mon père géniteur car j'ai quitté mon domicile natal un jour de Mai 1968 pour un pays lointain qui s'apelle la France. Je ne suis pas la pour prendre partie, ni d'une religion, ni d'une patrie mais pour parler d'humanité de chance et de vécu.
J'ai eu des parents de substitution qui ont fait le job comme ils ont put, j'ai grandi dans le confort en fils unique et fait assez d'étude pour avoir cette posibilité de maitriser une belle langue, aussi bien à l'écrit qu'à l'oral, aucun frere et aucune soeur ne m'a concurencé dans la recherche de la vie et je n'ai manqué que tres peu en abondance matériel.
L'amour m'a été offert par bien des manières dans ce pays qui m'a adopté, j'ai eu à mon tour femme et enfants, joies, peines et surprises.
les détails de mon existences ne seront utiles que lorsque d'une facon ou d'une autre tu me demandera de te les raconter.
Je ne sais pas non plus si quelques part ailleurs j'ai eu une fratrie. La seule information qui m'a été donnée par personne interposée est, que j'aurai été découvert tout bébé dans une poubelle avant même de me retrouver à l'orphelinat ou on m'a nommer "NGUYEN VAN TRUONG", mais mon nom actuel est "Christophe Dunand" un savant mélange Franco-suisse qui me vas pas si mal.
Bien que tout m'est semble t-il réussit à la perfection, je me suis toujours senti isolé, solitaire ou incompris, j'aurais aimé me confier à ma vraie maman et lui demander conseil.
Ma mère adoptive a essayer de te remplacer à sa facon mais ce fut peine perdue car j'avais un manque interieur que personne ne peut comprendre à part Dieu. Mon père adoptif n'a lui fait que de la figuration car j'étais devenu en quelques sortes un rival déloyal, qui lui avait volé la femme de sa vie, son voeux à lui n'était pas d'avoir projéniture mais de rendre heureuse sa bien aimé qui était
en mal d'un enfant sans pouvoir en féconder un par ses propre moyen. Le choix de l'adoption fut ainsi fait. j'ai donc été éduqué dans une religion Chrétienne d'amour et de respect.
Mais je savais au fond de moi que quelques part les humains ont une valeur commune qui s'appelle
l'humanité, qu'il n'y a ni race ni politique de mis en avant mais que la source du vivant est unique et la même pour tous.Je sais aussi qu'un jour nous nous retrouverons sous d'autres cieux en d'autres temps. qu'il n'y aura ni jugement ni regret. J'ai la chance inestimable de vieillir anormalement tres lentement, de ressentir ce que l'on nomme l'empatie assez facilement et de savoir me dissocier des querelles et des conflits de la vie. De ne pouvoir dire que la pure vérité à tout ceux que je rencontre et de comprendre que les fautes que je commets ou que d'autre font ne sont dûe qu'a une mécanique imparfaite de la pensé humaine et qu'il ne faut jamais désespérer de la bonne évolution des êtres humains.
j'ai fais quelques recherche auprès de l'association "Terre de Hommes" qui s'occuppait de l'orphelinat
au Vietnam à l'époque, mais rien a aboutit car les archives ne sont plus là et les personnes en charge des enfants sont décédés ou ont disparues elle aussi.
j'ai toujours sus que tu me parlait avec tes mots bienveillants qui sont accompagné d'une tristesse et d'un grand regret mais sache que ce que tu as choisi de faire a été la meilleurs décision alors que l'environnement de la guerre était bien sur incertain et critique. Je ne sais pas si tu es encore en vie ou bien en voyage subtile au fin fond du cosmos mais je sais et c'est certain, qu'il n'existe aucune fin ultime mais plutot une vie d'amour de paradis et de vérité ou ma main dans la tienne nous saurons bientot nous retrouver.
Ton Fils qui t'aime.

Relever le défi de la ou des nuances tel un magicien qui cache tout son art au fond de sa manche
je l'ai fait un jour calme, un jour serein, un jour qu'on nommait Dimanche, car je n'avais rien de mieux à faire que de m'amuser rêverie glandage ou badinerie, et comme mon cher réseaux, Monsieur Orange s'était fait la malle et était partie en vacances en me privant de la toile dominicale, je me suis rabattue sur mon smartphone et son partage de connection car, lorqu'il sagit
d'internet et qu'on est pas si bête, alors, on sait que dans notre domaine rien ne nous arrete, ni pour relever un défi ni pour renier son dénit, ni pour faire rigoler Bibi.
Après tout, n'étions nous pas à Paris, le centre du monde, l'éclat de la galaxie et l'interet même de notre vie?
A ma droite un pain au chocolat fraichement sortie de la boulangerie
et à ma gauche une belle pomme qui me rendra complètement happy
et comme tous les matins j'avais ma petite habitude chronologique,
chercher mes lunettes un bout de papier et mon stylo bic
Pour, au réveil, ne rien rater des souvenirs nocturnes. Tout inscrire, tout rédiger, tout mémoriser
tout analyser, rien ne devait au petit matin s'envoler!
j'avais survolé Gizeh et ses pyramydes, échappé à un attentat au gaz sarin à Tokyo, j'étais tombé amoureux d'une Romancière qui était fille de président de la rébublique francaise et j'étais le Sioux qui avait tué le général Custer à la bataille de Little Big Horn. J'avais au final décidé de rejoindre mon vaisseau spacial interdimentionnel et réincorporer mon véhicule terrestre qu'on nommait ici bas: "Human body".
Je songeais soudain qu'il serait de bon ton d'écrire le mot "FIN"
sur mon numérique parchemin.
qui en fait était l'abreviation de :
"FONDATION INFINIE de la NOUVEAUTE".