Relever le défi de la ou des nuances tel un magicien qui cache tout son art au fond de sa manche
je l'ai fait un jour calme, un jour serein, un jour qu'on nommait Dimanche, car je n'avais rien de mieux à faire que de m'amuser rêverie glandage ou badinerie, et comme mon cher réseaux, Monsieur Orange s'était fait la malle et était partie en vacances en me privant de la toile dominicale, je me suis rabattue sur mon smartphone et son partage de connection car, lorqu'il sagit
d'internet et qu'on est pas si bête, alors, on sait que dans notre domaine rien ne nous arrete, ni pour relever un défi ni pour renier son dénit, ni pour faire rigoler Bibi.
Après tout, n'étions nous pas à Paris, le centre du monde, l'éclat de la galaxie et l'interet même de notre vie?
A ma droite un pain au chocolat fraichement sortie de la boulangerie
et à ma gauche une belle pomme qui me rendra complètement happy
et comme tous les matins j'avais ma petite habitude chronologique,
chercher mes lunettes un bout de papier et mon stylo bic
Pour, au réveil, ne rien rater des souvenirs nocturnes. Tout inscrire, tout rédiger, tout mémoriser
tout analyser, rien ne devait au petit matin s'envoler!
j'avais survolé Gizeh et ses pyramydes, échappé à un attentat au gaz sarin à Tokyo, j'étais tombé amoureux d'une Romancière qui était fille de président de la rébublique francaise et j'étais le Sioux qui avait tué le général Custer à la bataille de Little Big Horn. J'avais au final décidé de rejoindre mon vaisseau spacial interdimentionnel et réincorporer mon véhicule terrestre qu'on nommait ici bas: "Human body".
Je songeais soudain qu'il serait de bon ton d'écrire le mot "FIN"
sur mon numérique parchemin.
qui en fait était l'abreviation de :
"FONDATION INFINIE de la NOUVEAUTE".