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Aboubacar Demba Sow

Aboubacar Demba Sow

Vous vous demandé bien qu'est-ce que je pourrai bien vous raconter et bien, il semblerait que je veuille vous raconter mon histoire pas genre comme dans les livres autobiographiques de je ne sais quel auteur à la con , non je compte le faire de la même manière que van Ghog s'est peint ou de la manière dont tu te prends en selfie en bandant sur ta propre image, ça te fait plaisir mais en vrai c'est aussi dégueu que deux clochards qui forniquent dans un sac poubelle, ça tu le sais pas car les clochards ne le savent pas ou du moins essayent de faire semblant . Comme toute histoire il faudra que je commence quelque part, je suis en face de mon école assis sur un de ces nombreux bancs sales recouvert par la merde de pigeons qu'on retrouve à toutes les grandes places publiques, il fait très beau, le soleil brille de mille feux la sonnette ne tardera plus à retentir, j'ai séché les cours aujourd'hui d'ailleurs ça fait quelques temps que je ne suis plus les cours avec attention comme si je me préparais mentalement pour ce grand jour. En quoi ce jour est grand ? Vous vous demandé qu'est-ce que je fais ici ? Pour vous répondre il faut faire un bond en arrière d'une semaine. Je suis en classe je regarde par la fenêtre en essayant d'imaginer des histoires folles sur toutes les personnes qui passent par la rue, chose que je trouve plus intéressant que tout le bordel que les profs aiment raconter, ces choses qu'ils ont décidé d'appeler leçon pour lesquels nos parents payent pour nous. J'en suis réduit à ça pendant trois heures. Avant imaginer des turcs sur les autres élèves de la classe était passionnant mais hélas maintenant je les cannais presque tous et les autres bha je les trouve pas intéressant. Le gas qui normalement occupe la place d'à côté n'est pas là, d'ailleurs on le voit presque jamais il semble être très occupé Hamed qu'il s'appelle. Notre classe est un ramassis de conards et de conassasse, j'aime les traiter comme ça car ça me soulage et je me sens plus important, devant moi à la première table se trouve Pathé et comme si ça suffisait pas il était très carré comme personne, jamais je ne l'est vu rigoler mais c'est le meilleur en Math, il avait ça dans le sang, je suis un peu jaloux. En regardant vers ma gauche je pourrai voir Nounou cette fille J'en était presque tombé amoureux, elle est très belle faut le reconnaître, intelligente, studieuse le genre première de la classe bref quelle bombe ! J'aimais nous imaginer nous deux dans une pièce sombre où nous serions les deux sources de lumières entrelacées et formant le ying et le yang, je sais pas pour vous mais ce symbole me fait toujours penser au sexe. Revenons à nos moutons, perdu dans mes pensées J'ai même pas remarqué qu'il y'avait une personne qui se tient debout tout près de moi : - Bob qu'est-ce que tu m’as bien l'air de quelqu’un qui est absent. Qu'est ce qui peut t'occuper de plus important que les cours, répond moi ? - Rien monsieur (j’aurais préféré lui dire la vérité mais pourrai t'il la comprendre ?) - Tu sembles distrait ces derniers temps, je crois qu'il est temps que ton père soit au courant de tes récents égarements. Je ne sais pas quoi rétorquer, me voilà punis à attendre à la porte de la direction en essayant d'imaginer ce qu'ils peuvent bien raconter à mon père sur moi, ça sens pas bon du tout. La maigre amélioration de ma relation avec mon père est entrain de partir en fumée, J'ai toujours vécu que pour qu'il soit fier de moi, mais je me rends compte que je ne suis pas l'enfant qu'il lui fallait, lui qui semble t'il est un modèle d'excellence genre tout ce que je ne suis pas, Dieu aurait il fait une erreur ? L'année dernière il m'avait sermonné sur le fait que j'ai été juste 5 ème de la classe

- Pourquoi n'est tu pas devenu premier ? -........... (Silence) -Qu'est-ce que le premier à de plus que toi ? Qu'est-ce qu'il voulait que je lui raconte ? Il pensait vraiment me motiver comme ça mais ça n'a jamais marché, faut croire que je manque de volonté ou que je suis juste un peu bebête même si j’opterais pour la seconde. J'entends le bruit de la porte qui s'ouvre, il ne m'a même pas regardé, ce qui n'augure rien de bon, il préfère m’attendre gentiment à la maison pour pouvoir mieux me cracher à la figure ? Mais il ne fut rien de telle, il ne m'en a même pas parlé comme s’il en a eu assez de moi, ce fils indigne qu'il n'a pas pu sculpter à son image, ce tableau dont tu n'es pas fier mais qui reste le seul que tu aies peint. Je suis toujours subjugué par la réaction des gens face à la vie, la plupart sont égoïstes et ne vivent que pour le boulot, pourquoi ? L'argent, ils ne mesurent la réussite qu'en chiffres, le travail rien que le travail, ils n'ont que ça à la bouche, serait-il pas mieux de vivre libre de toutes ces contraintes de vies qu’on s’ait infligées ? De pouvoir vivre au jour le jour, de voir la vie avec un regard de gamin ? Loin de toute figure humaine, je me retrouve dans mon petit coin à moi à observer les étoiles comme toutes les nuits avant d'aller me coucher, aujourd'hui il y'a plein d'étoiles mais une attire plus mon attention par sa beauté, elle est très lumineuse et donne l'impression d'être rouge, je suis pas astrologue donc je ne saurais vous en dire plus, maman, elle me fait penser à ma mère, elle avait un sourire aussi rayonnant que cette étoile, je me retrouve submergé de mélancolie mais j'arrive plus à pleurer peut être que je me suis résigné à ne plus la revoir, ça me chagrine moins qu'avant, J'ai peut-être finalement fais mon deuil. Après ma dose de mélancolie il me reste à aller me décharger, le porno youporn, pornhub et enfin jackie et Michel la sainte trinité, elle permet de pimenter la branlette, depuis un moment j'arrive plus à la faire sans, ces corps parfaits aux allures angéliques, aux culs magnifiques font leurs effets sur le petit puceau que je suis, la branlette est devenu ma dose, elle me permet de passer le temps et la déprime, une activité qui me plait car C'est la seule qui me fait plané à défaut d'avoir une copine à 17 ans elle me permet de goûter aux plaisirs de la chair, même la peur d'être découvert la queue à l'intérieur de la main ne pourra m'y faire renoncer. Ouais les putes c'est quelque chose, j'ai jamais eu le déclic pour ça, peut être que j'aime trop rester dans ma zone de confort, pourtant c'est pas faute d'écouter ces arnaqueurs de coachs love sur YouTube. Notre société sacralise énormément le vagin, tu chopes pas de meuf donc t’es pas un homme. Déjà on n’arrête pas de nous rabattre les mêmes phrases « Derrière un grand homme, il y’a une grande femme », « Un homme a besoin d’une femme pour s’accomplir », loin de moi l’idée de dénigrer la chatte mais f’aut pas abusé non plus !!! Ma plus grande peur c'est de mourir puceau, juste le dire me donne des frissons, j’ai finalement été contaminé. Après une courte séance et, je me sens obligé d'aller me laver pour ensuite dormir car J'ai peur de dormir ainsi sinon demain j'aurais la flemme de me laver et au finish j'écoute 'no surprises' pour essayer de dormir.’ Mon réveil sonne, je l’entends, J'ai la corp tout engourdi, confotably numb quoi !! que C'est dure de se réveiller le matin surtout si C'est pour partir à l'école, durant un bon moment qui me parurent brefs des milliers de pensées aussi connes les unes que les autres me viennent en tête comme pourquoi ils ont créé l'école des trucs comme ça. Comme d'habitude je ne peux rien avaler avant 10h, d’ailleurs je ne sais pas pourquoi !! Le chemin vers l'école est assez long environ 20 minutes de marche, le chemin de la vie comme ils l'appel. Autant je déteste l'école autant je kiffe marché, plonger dans mes pensées, chantant de la musique, aujourd'hui C'est la tournée de 'Since i' been loving you' et 'across 110 street', l'ambiance cool ! À 10 mètres de moi se trouve un enfant très sale, venant de la bouche de quelqu’un qui n'est pas un modèle dans le domaine, rembobiner sur lui-même, même si je ne vois pas son visage il n'y a aucun doute qu'il soit triste car la tristesse se sent plus qu'elle ne se voit. Je veux lui parler, lui demander ce qui ne va pas, lui proposer mon aide. Comment peut-on laisser un enfant dans un état pareil ? Pourquoi personne ne s'arrête juste un instant pour lui parler ? Ils lui laissent juste une pièce comme si ça réglerait tous ses problèmes. Je lui touche un peu la main, le gamin lève sa tête, son regard me remplit de tristesse, comme si je ressens une partie de cette sensation de tristesse, de misérabilisme qui l'empli, des mots trottent mes lèvres mais sont à peine audibles, disons pas du tout, à la dernière minute je lui donne mon argent de poche et m'enfui Comme un lâche pourquoi ne lui ai-je pas parlé ? L'arrivée à l'école semble plus brutale que d'ordinaire car je n'ai pas pu me désintéresser de ce gamin le rêverai je ? Je suis à l'école comme un bouc dans l'eau, complètement en déphasage avec le monde qui m'entoure, les bruits incessants des élèves, c'est peut-être pour ça que ma chanson préférée est 'out of time man ', leurs embrouilles et la façon dont ils ont pour manifester leur joie me répugne, suis-je malheureux ? Ou juste que je suis différent de ces brebis qui prennent leurs aises à la ferme. Pourquoi dois-je venir à l’école ? Surement pour apprendre des choses qui me permettront de servir la société comme ils le disent c'est peut-être vrai. Pourquoi vivons-nous ? Quel est le but de notre existence si elle en a ? Comme le dit un sage dont j'ai oublié le nom y'a-t-il une vie avant la mort ? Le son de la sonnette vient de souffler en moi un sentiment de délivrance qui encore est un euphémisme. Nous sommes une génération dont l'enfance a été bafouée, on nous enferme dès l'âge de 3 ans au jardin d'enfant pour nous cultiver. Depuis plus de répits pour nous pauvres enfants, à l'époque ont avaient un ami qu'ont enviaient tous, Jo qu'il s'appelait, ces parents ne l'on pas envoyé à l'école je sais pas pourquoi d'ailleurs, peut-être la pauvreté ou juste parce qu'ils ne croyaient pas à la soi-disante éducation qu'on y prônait, il était libre comme Huck Fin mais avec des parents. Bizarre à l'époque j'avais tout plein d'amis Bah, Dra, Papi, Vacou, Drissa, cheik ......... impossible de les citer tous, qu'est-ce qu’on s’amusait !! Après les cours et pendant les week-ends, ont passaient des heures à jouer à un but goal, un but gnengo j'adorai ce jeu, cache-cache, Touninbala, la nuit c'était Kara ou taquiner les filles et se montrer grossier envers elles juste parce qu’ont étaient amoureux d’elles, à se battre puis à redevenir ami, oh la belle époque !!! Tout ça a pris fin avec les cours de soutiens à la maison qu'on m'a fait suivre j'étais obligé d'apprendre après les cours et pendant les week-ends, qu'est-ce que je détestais ces profs qui se pointaient chez nous pour me faire une longue séance de torture qui étaient interminables. Après on a grandis et j'ai plus d'amis pourquoi ? Sur le chemin du retour Je n'ai pas aperçu le gamin il est certainement parti pètre d'autres prairies bien verdâtres, la maison est calme comme d'habitude papa est au boulot, comme d'habitude je me fais une série ou un film finalement ce sera breaking bad, 'face off' s'annonce mortel. Toc Toc (j’imite pas bien le bruit de la porte), je lance à la personne qui frappe le fameux c'est ouvert. - Bonjour papa - Bonjour bob puis je m’asseoir ? Il a le visage encore plus sérieux que d'ordinaire - Oui (même si je sais que c’était pas une demande) - Il faut qu'on parle de tes études, tu fais cette année le bac qui n'est pas facile, tu manques de sérieux et d'application et pour remédier à celà je suis contraint de te confisquer ton portable et ton pc. Tu passes ton temps à regarder des films ou des vidéos de femmes nues (je me demande comment il l'a su ?), il faut que ça cesse, tu dois prendre tes études au sérieux. Je m'exécute puis un long silence prend possession de la pièce jusqu'à ce que mon père décide de parler - Bob je veux que tu saches que je t'aime, je fais ça pour ton bien. Il se dirige vers la porte l'empoigne puis lance - Je n'ai que toi tu le sais ? - Papa j'aurais voulus que ça soit autrement. J'avais envie de lui dire ce que J'avais au fond du cœur mais non je ne l’ai pas fait car malgré tout je l'aime et je veux pas prendre chers. Le reste de la semaine reste non moins mémorable jusqu'au dimanche où mon père pour une raison m'envoie prendre de l'argent dans son placard, malgré le fait qu'il avait l'habitude de me confier cette tâche que j'ai toujours considéré comme une marque de confiance qui me faisait chaud au cœur mais cette fois j'eus l'impression d'avoir un déclic lequel ? Pourquoi ais je cette sensation de liberté qui s'empare de moi ? En remettant l'argent à mon père j'eus envie d'entamer une conversation avec lui mais... - Tu veux me dire quelque chose ? - Papa - Oui Bob - Je t'aime aussi lui dise je, il se contenta de dire je sais. J'aurais voulu le prendre dans mes bras mais j'y renonça, je ne l'ai jamais embrassé mon père ni même ma mère. Peu de temps dans ma chambre perdu dans les méandres de mes pensées à me poser le pour et le contre, je finis par me décider. Dès le lendemain après un tour dans le placard de papa j'ai collé une lettre sur la porte de sa chambre pour lui prévenir, elle contenait : << Papa je veux que tu saches que ce fut un choix très difficile pour moi mais j'ai finalement décider de partir loin de tous ce qui m'empêche de m'épanouir, j'aimerais vivre comme je veux, vivre pour moi et non pour les autres. Peut-être que je fais une erreur, peut-être je serais SDF, peut être j'aurais faim, froid, mais j'aimerais que tu saches que cela me plait plus que d'être enfermer dans le rêve de quelqu'un ou de me conformer aux règles de notre société, peut-être je suis un lâche, je sais que tu n'es pas fier de moi mais tu dois savoir que toute ma vie j'ai fait de mon mieux pour que tu le sois mais je ne suis pas ce que tu veux que je sois, n'ait aucune crainte car je ne veux pas me suicider, f'aut croire que j'aime vivre mais pas comme les autres l'entendent. J'aimerais que tu saches que je t'aime plus que n'importe qui et que tu es la seule personne qui vas me manquer, a plus papa ne me cherche pas >>. Le bâtiment de l'école me paraît bizarrement beau j'arrive même à apprécier ce subtil mélange de blanc avec des rayures noires dans certains compartiments et le nom de l'école en noire et rouge mais malgré tout ça, je ne me sens pas triste de lui dire Adieu même si je me rends compte que j'y ai pas passé que de mauvais moment, des brides de souvenirs me viennent en tête comme s'ils voulaient me retenir mais rien n'y peut. Le premier bus qui quitte la ville va pour Tanbactou, la ville de mes fantasmes Le paradis des touristes et en plus elle est très éloignée d'ici tout ce qu'il me faut.
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Aboubacar Demba Sow

Il y'a très longtemps de cela, quelques milliers d'années après que le Dieu Amma eut créer les humains pour administrer le monde. Pour aider les humains dans leur tâche il leur donna une partie de sa puissance le Nyiama, ou force vitale permet à ceux qui la maitrise de réaliser des prodiges incroyables. Yourougou premier né du Dieu Amma jaloux de l'attention et l'affection dont fait preuve ce dernier envers les humains sema les graines de la discorde dans leurs cœurs. Les hommes s'enfoncèrent alors dans une spirale de violences qui plongeât le monde dans le chaos, c'est dans ce chaos que naquit un beau petit bébé .....

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Une odeur de chair brulée planait dans l'air, rien ne semblait être vivant, tous en cendre, même le sol était entièrement brulé, plus de vie. Un vieillard et sa vieille femme accompagné de leur chien passaient par là, malgré leurs âges avancés ils n'avaient jamais vu une telle désolation. A la vue de ce spectacle macabre la femme emplit de tristesse fondit en larmes, ses larmes d'une pureté absolue coulèrent comme une source abondante, ses larmes étaient sincères car le cœur de cette dame était pur aussi pur que peu l'être celui d'un homme. Elle dirigeât son visage humide vers le ciel et prononça ces mots: -Nul ne mérite ça, pourquoi ont ils fait ça, tant de mort? Pourquoi? Pourquoi Amma laisse t-il les hommes s'entre tué? -Chérie, on y peut rien, Amma a un dessin plus grand que nous ne pouvons comprendre, il fait ce qu'il veut et ne pouvons que l'accepter. -Rien à sauver, rien du tout. Soudain un cri, deux, trois puis des cris de bébé se firent entendre dans ce chaos, un bébé avait survécu, le seul survivant de ce massacre. Le vieux couple et leur chien se précipitèrent pour chercher la source de ces cris, ils soulevèrent un tas de décombres et découvrirent le petit miraculeux, il était beau le bébé, comme tous les autres innocent. A la vue du nourrisson ils furent foudroyés par une sensationnelle émotion qui était un mélange de joie et de tristesse. Seul survivant, c'était un miracle, oui un miracle c'est ce qu'a dit la femme en voyant le bébé, alors elle le nomma Kabako. L'enfant grandit normalement, dans une famille aimante, la vieille Gnouman et son mari Nisondya donnèrent beaucoup d'amour au petit Kabako qui avait déjà atteint ses 10 ans. Le jeunes garçon passait toute sa journée à joué avec son vieux chien et aimait courir, grimper sur les collines, se baigner ou pêcher du poisson, Nisondya l'y amenait souvent. Le petit Kabako était fougueux, plein d'énergie avec un sourire angélique, il rayonnait de joie. La petite famille vivait à un rythme monotone isolé du reste du monde. Ils vivaient de pêches et des petites récoltes de la ferme dont le surplus était troqué au marché de Sougou, la cité la plus proche. Un jour Nisondya proposa d'amener Kabako avec lui à Sougou, occasion pour le petit de voir la citée et d'apprendre beaucoup de choses. Kabako tout excité à l'idée d'aller en ville ne peut contenir sa joie et se précipita vers sa mère: -Maman, maman je vais en ville avec papa. -Oui mon petit brin d'amour, mais avant il faut que tu te lave et porte ton jolie boubou que j'ai faites pour toi. -Maman, il est jolie tu dis? -Oui très jolie. Gnouman lava le petit avec beaucoup d'amour mais ne s'imaginait que ce serait pour la dernière fois, elle le coiffa avec tout autant d'amour en démêla délicatement ses cheveux puis lui imbiba le corps avec du beurre de karité pour le rendre lumineux et pour finir lui mis un peut de son parfum Geny et le boubou comme touche finale il n'a jamais été aussi beau. Le sourire du garçon et celle de sa mère était au moins aussi magnifique que le ciel. Elle leurs dit au revoir en les regardant s'éloigner sur une charrette attaché au à une ânesse qu'ils avaient échangé il y'a très longtemps contre trois sacs de mil. Le vieux profita de la route pour pour apprendre beaucoup de choses à kabako. -Tu vois cet grand arbre là bas, le plus grand, kabako tu le vois? -Oui papa -C'est le Baobab, le plus majestueux d'entre tous, il est un des rares à pouvoir survivre dans cette région et pour cela, il laisse tomber ses feuilles et enfonce bien profondément ses racines dans le sol à la recherche de l'eau source de la vie. On raconte que le Baobab repousse même âpres avoir été abattus, déraciné et peut vivre jusqu'à 400 ans, tu dois être un Baobab -Comment ça être un baobab? -Tu comprendra mon fils, le moment venu. -Je serais un Baobab. Le vieil homme regarda le petit avec un de ses sourire dont il a le secret puis de sa main fit une petite tape pleine d'amour sur la tête de Kabako qui lui sourit en retour. Ils avancèrent lentement et et profitaient du chemin et du paysage qui changeait très souvent et donnait à voir plein de choses intéressante. Deux jours plus tard, ils atteignirent la citée marchande de Sougou, Qu'elle etait belle Sougou!!!! Sougou était un grand marché à ciel ouvert, les gens venaient de partout et on y trouvait des fruits légendairement délicieux de Yiridjou, du poisson en provenance de la ville balnéaire de Djegè, les bétails de Bagandougou, les artisants de partout y allaient pour présenter leurs œuvres Le vieux Nisondya accompagné du petit Kabako se fofilaient à travers la foule de gens, l'enfant n'avait jamais vu autant de monde mais était subjugué par la hauteurs des tours de cent pieds de hauteurs, les sanctuaires à la taille démesuré qui abritent des Totems à l'effigie du Lebe qui conduisit les hommes a cette région de la terre. Le vieil homme arrêta son chariot là où il avait coutume de s'arrêter, il avait la parole douce et agréable pour attirer les gens à s'intéresser aux sacs du vieux. Babako émerveiller par l'habilité et la candeur de son vieux père, il n'arrêtait pas de lui poser des questions sur tout et n'importe quoi. Ils échangèrent leurs sacs de mils et de sorgho contre plein de choses. Les gens passaient, des fois s'arrêtaient pour saluer le vieux et lui demandais<> et le vieux leurs répondais que c'était son fils, les passant en rigolaient puis passaient, l'ambiance était gai jusqu'à...... Le ciel s'assombrit, les éclairs s'abattirent sur la ville, des éclairs aveuglantes et effrayantes. Tout le monde s'affolait et cherchaient abris dans les sanctuaires, Nisondya pris son fils et monta sur la charrette pour se frayer un chemin, la foudre s'abattit sur des gens qui étaient à coté, décima des familles et fit s'écrouler les sanctuaires. Des sanglots, des pleures, des cris de panique. Nisondya recouvrit les yeux de son fils, le pauvre était perdu et désemparé, il ne comprenait rien à ce qui arrivait d'ailleurs personne n'eut le temps de comprendre quoique ce soit. Le vieil homme s'abritât avec son fils sous le chariot dont l'ânesse c'était détaché et avait pris la fuite pour ne pas être écraser par la foule en panique, de l'animal il en restait rien, il gisait non loin brulé au dernier degré. Kabako qui était courageux ne pleurait pas et était réconforté par les mots de son père. La tempête s'intensifia et la charrette fut balayé non sans écraser les jambes du vieil homme qui lança un cris de douleur qui marquera son fils à jamais. Soudain apparut dans le ciel une silhouette d'homme, c'était Samprin un homme puissant qui avait un Nyiama puissant et le maitrisait avec une dextérité redoutable, son Nyiama se manifestait par la maitrise de la foudre. Il planait dans le ciel et s'approcha doucement du sol, il y posa pieds. Il était habillé en boubou blanc et un turban bleu qui flottait par l'effet du vent et un bâton à la main. Il était sans âge mais avait le visage marqué par le temps, froid et terrifiant. Kabako parlait à son père et l'incitait à se lever et le vieux lui rétorquait de se sauvé avant que la foudre ne s'abattit sur lui et projeta Kabako à plusieurs mètres. Il n'était pas mort mais ne sentait plus son corps qui était comme paralysé mais avait les yeux grand ouverts pour voir son père carbonisé, les larmes coulèrent de ses yeux, il vit Samprin déambuler en foudroyant les à tous va. Kabako pris par un élan de haine, la première fois de sa vie qu'il expérimentait ce sentiment eut la force de se lever pour s'emparer d'un bâton qui trainait non loin, se lança sur Samprin et lui assena un coup. L'homme pris de colère car frappé dans son orgueil d'avoir été frappé par un enfant donna un coup de pied violent à Kabako qui lui brisa plusieurs cotes et toussait du sang mais se releva encore et essaya encore une fois de revenir à la charge mais n'eut pas le temps car foudroyé par un éclair. Samprin ne voulant pas que cette histoire de gamin qui lui teint tête ne s'ébruite montât dans le ciel et d'un coup d'éclair surpuissant anéantit toute la ville. Deux jours plus tard ont passé et Sougou n'est que le vestige de ce qu'il était autrefois, trois moines adorateurs du Dieu Amma qui avaient entendu la nouvelle de la bouche d'un pasteur qui conduisait ses brebis, décidèrent de se rendre sur les lieux histoire de sauvé quelque chose même s'il savaient que la probabilité était presque nulle mais leurs principales but était d'offrir aux morts un enterrement digne et prier pour leurs âmes. Ils commencèrent par prononcé des des prières en Sigi-so, la langue des prêtres. Ils se promenèrent à travers les décombres et énonçaient des prières quand soudain quelque chose attrapa la jambe d'un des prêtre qui s'arrêta pour voir, une petite main toute calciné et tremblotant. -Il est vivant s'écria t-il Ils se précipitèrent de l'amener au temple, la résistance et la capacité de guérison impressionnèrent les prêtres qui pensèrent alors que le petit était un bien aimé du Dieu Amma. Quelques instants après le départ des prêtres avec Kabako, Gnouman inquiet du fait que son mari et son fils ne soit pas rentré quatre jours après leur départ décida de partir à leurs rencontre avec comme seul compagnon son vieux chien. La route fut difficile mais rien ne pouvait la préparé à ce qu'elle découvrira. Quand la ville lui apparut de loin elle pensa à un mirage puis se dit que c'était ses vieux yeux qui lui jouaient des tours mais hélas pour elle. arrivé dans la cité elle y passa des jours à fouiller les décombres et les cendres sans apercevoir rien de vivant, pas de Nisondya ni de Kabako rien que des maisons en ruines et des cendres alors se mis alors sur ses genoux et pleura, pleura, pleura puis se leva et erra sur terre sans but, elle était devenu folle pour pouvoir supporter le chagrin. Kabako rétablit, retourna chez lui accompagné d'un des prêtres espérant y trouver sa mère mais ne trouva qu'une maison vide en état de délabrement, ils décidèrent d'y rester quelques jours au cas la vieille femme serait partie à la recherche de Kabako et Nisondya et retournerait mais il n'en fut rien, ils attendirent encore et encore. et encore et encore.........
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Aboubacar Demba Sow

Il descendait de sa Tarfom luna rouge, modèle dont la production, c'est arrêter à l'an 2030. Il lança un coup d'œil aux autos qui était sur la plateforme de stockage automatisé comme pour voir quelque chose de particulier. Il marcha à pas délicat vers le saloon du coin. Il n'est du genre à prendre du plaisir dans des endroits pareils mais le travail, c'est le travail ce dit il.
La porte s'ouvrit devant lui et se referma aussitôt après, l'odeur de l'alcool et la fumée des cigarettes chatouilla ses narines. Les gens s'arrêtèrent de discuter un moment et regardèrent vers la porte, les mains posées sur leurs revolvers puis continuèrent les activités.
Il se dirigea vers le restaurateur qui mâchouillait un cigare qui n'était pas allumé. Le gérant le regardant avec un regard sévère et l'air interrogateur. L'inconnue s'assied sur un des tabourets inoccupés.
-Vous désirez monsieur ?
-Une pinte de blonde avec beaucoup de mousses s'il vous plait ? L'inconnue tourna ensuite sa chaise et fit face aux clients assis sur les tables.
Les yeux se tournèrent à nouveau vers lui et un silence insistant s'installa, l'inconnu se décida alors de se retourner et les causeries et éclats de rires reprirent de plus belle.
-Voici votre pinte dit le gérant en la déposant en face de l'inconnu.
Il se saisit de sa pinte et essaya de le faire parvenir à sa bouche, mais fut arreter par le gérant.
-Ne fout pas la merde monsieur, je n'aimerais pas mon établissement soit ce genre d'endroit.
L'inconnue enleva la main du gérant avec vigueur ce qui fit verser une petite quantité du contenu du verre. Il prit une gorgée puis lança un léger sourire au gérant et se leva de son siège, il se faufila à travers les tables s'arrêta près d'une table sur laquelle était assis trois hommes habillés en imperméables et chapeaux noirs qui buvaient un grand verre de wiski. Il prit une chaise vide d'une table voisine et s'assied près d'eux. Les trois enlevèrent doucement leurs mains de la table.
-Qu'est-ce que vous vous cherchez ? Dit le moustachu des trois avec une voie intimidante
-Disons trois mille dollars, c'est une belle somme.
-Trois contre un, c'est pas cher payé j'imagine ?
- Qui ne tente rien n'a rien m'a t'ont dit.
Le silence s'installa à nouveau, les regards se crispèrent et la sueur dégoulinait des visages. Le bruit du vieux ventilateur qui trottinait lentement aux dessus des têtes se fit entendre et grinçant. Les regards se firent encore plus insistants et restèrent figés tout comme le reste du corps, personne n'osait bougés même l'air semblait ne plus circuler à travers le nuage de fumés suspendu.
Soudain l'inconnu donna un coup de pied à la table qui frappa le gars d'en face et d'un geste rapide sortit ses deux M93R de ses portes flingues et abattit les deux d'à côté qui furent projetés de leurs chaises sous l'impact. Il se leva de son siège et marcha vers le dernier qui avait le nez casser et peinait à sortir son flingue. Il l'abattit d'une balle en plein cœur puis sortit son appareil enregistreur et scanna l'œil du défunt puis celui de ses trois comparses morts, un "Validated" s'afficha en vert à chaque fois puis on pouvait voir trois mille dollars s'afficher. Il se dirigea ensuite vers la table du gérant et finit d'une traite sa pinte.
-Je vais vous faire un versement pour le verre et les dégâts causés
-Ne mettez plus jamais les pieds dans mon établissement
-Ça ne dépend pas de moi, le travail, c'est le travail. Répondit-il en se levant de sa chaise et franchit la porte sans se retourner.
Il bondit sur sa bécane mis sa main pour débloquer le contact et d'un coup du pied l'alluma et voguait à toute vitesse vers l'horizon.
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Défi
Aboubacar Demba Sow

Aujourd’hui c’est le bon jour, je me suis mis sur mon 31. Le tramway est bondé les samedi soir, tout le monde profite de son week-end après une semaine rude et chargé pour décompresser. Les gens sortent en famille où avec un amoureux, les diner au restaurant, les promenades au parc et tout le tralala. Les gens sont bien entassés les uns sur les autres, ils discutent, des fois rit aux éclats. Moi je suis seul et isolé au petit coin, le trajet va prendre environ une demie heure et je s’est me montrer patient. Le fait de penser à ce que je pourrais faire arriver là-bas suffit à me faire bander, je me réjouis d’avance. Entre les nombreux arrêts à chaque stations le tram avait déjà saturé, je devais me tenir bien droit et la tête bien lever vers le plafond pour me sentir bien. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le mal de la foule, ça me donne la nausée et l’envie de vomir. Je me rappelle avoir vécu un enfer la première fois que j’ai pris un tram, deviner quoi ? J’ai fini par vomir, mais depuis un certain temps je m’y suis adapté même si le déplaisir est toujours là. Perdu dans mes pensées je n’avais pas remarqué une chose qui était à prévoir, ma bite avait bander dur et c’était logé au niveau du cul de la fille qui était devant moi. Elle avait un gros cul, très serrer dans son leggins noir moulant, elle se retourna un moment et me regarda fixement dans les yeux. Les filles ne s’attendent pas à ce que les mecs ne bronchent pas dans une situation pareille mais j’ai pour principe de ne jamais fuir un regard surtout si c’est celle d’une fille. Finalement elle se contenta juste de m’envoyer un sourire puis continua à tripoter son téléphone. J’ai du être à son gout et surtout en ce qui concerne mes proportions. Il y’a trois mois de cela j’aurais peut erre pris un rendez-vous avec elle mais mes gouts se sont bien plus affinés et je n’ai plus beaucoup de temps à perdre avec les damoiselles de son genre. Le bus est arrivé au terminus, c’est là que je descends. Je reste un moment à attendre que le tram se dépeuple rapidement. Enfin je peux sortir, l’air de l’extérieur me manquait énormément. Le lieu de mon rendez-vous se trouve à quelques pâtées de maison de là. Je regarde mon téléphone pour voir la localisation de l’appartement. J’ai marché le long d’une aller sombre qui est quasiment déserte à part les quelques chats qui abandonnés qui circulent dans les poubelles en compagnies des rats et des petits verts blancs bien dégelasse. L’odeur est immonde mais ne me dérange guerre, je ne suis pas très tatillon sur ces choses. Je suis enfin arrivé au niveau de l’immeuble, j’ai sonné l’appartement neuf comme il m’a été conseiller puis j’ai dit <> et le bruit de la porte retentit. Le hall c’était éclairer subitement et laissait entrevoir les nombreuses boites aux lettres accrochées au mur et l’ascenseur droit devant mais je préfère les escaliers. J’ai finalement trouvé l’appartement neuf au niveau du deuxième étage. J’ai frappé à la porte et elle s’entre ouvrit légèrement, juste assez pour pouvoir voir qui était à la porte. Il était déjà en peignoir rose, ls cuisses qui dépassaient un peu. Il me fit signe d’entrer puis referma aussitôt derrière moi. Il sentait bon donc c’était lavé, son petit visage mignon ressemblait à celui d’un jeune garçon avec la petite mèche qui déborde sur son visage.
-Tu peux t’asseoir ici, me dit il en indiquant son canapé avec une voix très efféminer.
-Non je ne crois pas que ce serait nécessaire, lui répliquais je
-Oh tu es un homme presser
Je le pris alors par la main et le rapprocha près de moi, il se mit alors à m’embrasser fougueusement. Il me regarda souriant un moment puis s’agenouilla devant moi, il toucha délicatement ma queue à travers le pantalon puis déboutonna mon jeans et fit descendre la braguette. Il se saisit de ma virilité d’une main et une l’autre qui titillait mes boulles puis fit tourner sa langue sur le bout et l’anneau de mon gland et pour finir l’enfonça doucement dans sa bouche. Il s’y appliquait avec beaucoup de dextérité, il me jetait de temps en temps un regard bien enjoué. Je le pris alors par les cheveux et l’écarta de ma bite. Une énorme quantité de salive mélangé à du liquide séminale dégoulina sur le tapis. Je l’ais ensuite jeter sur le sofa puis enleva mon tee-shirt et lui jeta son peignoir qui découvrit un corps nu toute blanche avec des petites traces de rousseur. Il était assez fin avec une absence totale de poil et une petite bite non circoncise qui semblait être en érection. F’aut croire que sa croissance c’est arrêter au début de l’adolescence mais ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Je saisis une capote qui se trouvait dans mes poches et l’enfila illico presto, les gens comme lui sont bons amis avec le VIH, puis j’écarta ses jambes et l’encula bien profondément, comme prévu il émit un léger gémissement qui est une musique agréable à mes oreilles alors je mis du cœur à l’ouvrage et lui utilisait ses petites mains pour se masturber. De temps en temps je l’étranglais jusqu’au point de lui faire rougir sa nuque mais je me reprenais juste à temps même si cela semblait lui faire plaisir mais ça pourrait gâcher tout. Contrairement à beaucoup de personnes moi je préfère le trou du cul à la chatte, il y’a une plus grande résistivité ce qui provoque chez moi un plaisir plus intense. Ma copine n’aime pas l’anal elle trouve ça dégelasse et dégradant. L’orgasme est un moment de grâce qui ne dure que quelque secondes, laps de temps qui nous transporte dans une autre dimension où tout notre être est soumis à un plaisir intense et sans pareil. Le cul bien poutré, la prostate bien titiller et le pénis ramollit au milieu d’une flaque de sperme, le femboy était tout sourire. Il me toucha le visage avec ses mains puis retira mon préservatif et commença à en avaler le contenu. Nous avons alors terminé le reste de la soirée dans sa chambre sur son lit. Il c’était endormit sur son lit, allongé sur son dos, les jambes écartées. Je le regarda un moment dans le noir. Il devait être fatigué de se faire chauffer le cul. C’était le bon moment, il commençait à ressembler à ce que je préfère le plus, je me suis alors approché de lui puis je pris place sur sa poitrine. Il se réveilla le sourire aux lèvres mais son sourire s’effaça aussitôt que je lui plaça l’oreiller sur son visage. Il se débattit de toute ses forces, s’agita, essaya de me repousser avec les mains mais il ne pouvait pas faire grand-chose. J’ai maintenu plusieurs minutes l’oreiller sur son visage pour être sûr à cent pour cent. Une fois j’avais retiré le truc un peu tôt et j’ai dû me rattraper à deux fois. La première fois j’avais essayer avec l’étranglement mais c’est assez physique d’étrangler une personne surtout si la victime s’agite dans tous les sens en plus une personne ne meurt pas à la seconde et laisse des traces au niveau du cou.
IL avait les yeux remplit de désespoir et avait même une perle de larme au niveau de l’œil gauche. Mon érection était vite montée dix sur une échelle de dix. Faire l’amour à un mort est très spécial, le fait de voir un corps inerte avec des expressions figées est très stimulant. Après une bonne séance bien remplit je l’amena dans sa salle de bain pour prendre un bain avec lui. Nous y passâmes un assez agréable moment. J’ai ensuite fouillé dans ses affaires pour lui prendre des habits, son pyjama que je le fis porter puis je lui ai dit au revoir avant de partir. Les gens mettront du temps avant de découvrir le corps et il n’y aura pas d’enquêtes, on conclura à une mort naturelle comme toujours dans les cas comme ça. En générale les gens s’en foutes des pédales surtout s’il est en plus efféminé même sa famille sera soulagé, ils l’auraient lynché eux même s’il n’y avait pas la loi.
Je descends lentement les escaliers, tout le monde dort profondément a cette heure, je ne risque de croiser personne. Je marche à nouveau dans cette allée sombre l’esprit soulagé, je devrais de nouveau refaire la même chose dans pas longtemps pour satisfaire cette pulsion qui est en moi. Je me rappelle que ma première fois c’était au travers d’une discussion avec un ami dans un café quand on s’est amusés à utiliser une application de merde qui te fais rencontrer les gens de manière aléatoire. Ont étaient tombé sur un garçon bien efféminé, il me trouvait beau et voulait coucher avec moi. Au début je trouvais ça dégoutant au point ou j’ai quitté la discussion. Mais j’ai passé tout le reste de la journée à penser à ce qu’il m’avait dit et je me suis rendu compte que ça m’excitait. Le porno fit le reste du travail, du porno au sites de rencontre pour des coups d’un soir. J’ai sauté le pas, premier rendez-vous avec un garçon très mignon de 22 ans, il était brun avec des cheveux court et coupées, il m’a dit qu’il aimait bien les noirs et que j’avais de jolies proportions ce qui pour lui était un complément mais moi à l’époque ça me rendait mal à l’aise. En l’enculant j’ai eu envi de l’étrangler, j’ai hésité un moment avant de le faire. Au début il prenait son pied tout comme moi mais je voulais plus alors je suis aller très loin. Il s’est débattit et je l’ai lâché, il toussa en se prenant la gorge puis commença à me casser les couilles alors je m’y suis reprit pour en finir une bonne fois pour toute. En panique je ne savais pas quoi faire, je me suis enfui de l’appartement. Sur la route je me suis dit qu’il fallait faire demie tour. En le voyant gisez nu dans son lit ça m’a donné des idées que vous devez connaitre maintenant. C’est là que mon modus operandi était né sauf que maintenant j’évite de les étrangler car me prend du temps d’essayer de faire disparaitre les hématomes en y appliquant de la glace. De retour à la maison je me suis jeter sur mon lit et me suis adonné à un sommeil très agréable empreint de rêves érotiques teinté de souvenirs de ma soirée.
Oh j’allais oublier, moi c’est Bernie le type qui vit au neuvième appartement du bâtiment en face de la gare.
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