Bernie

de Image de profil de Aboubacar Demba SowAboubacar Demba Sow

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Aujourd’hui c’est le bon jour, je me suis mis sur mon 31. Le tramway est bondé les samedi soir, tout le monde profite de son week-end après une semaine rude et chargé pour décompresser. Les gens sortent en famille où avec un amoureux, les diner au restaurant, les promenades au parc et tout le tralala. Les gens sont bien entassés les uns sur les autres, ils discutent, des fois rit aux éclats. Moi je suis seul et isolé au petit coin, le trajet va prendre environ une demie heure et je s’est me montrer patient. Le fait de penser à ce que je pourrais faire arriver là-bas suffit à me faire bander, je me réjouis d’avance. Entre les nombreux arrêts à chaque stations le tram avait déjà saturé, je devais me tenir bien droit et la tête bien lever vers le plafond pour me sentir bien. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le mal de la foule, ça me donne la nausée et l’envie de vomir. Je me rappelle avoir vécu un enfer la première fois que j’ai pris un tram, deviner quoi ? J’ai fini par vomir, mais depuis un certain temps je m’y suis adapté même si le déplaisir est toujours là. Perdu dans mes pensées je n’avais pas remarqué une chose qui était à prévoir, ma bite avait bander dur et c’était logé au niveau du cul de la fille qui était devant moi. Elle avait un gros cul, très serrer dans son leggins noir moulant, elle se retourna un moment et me regarda fixement dans les yeux. Les filles ne s’attendent pas à ce que les mecs ne bronchent pas dans une situation pareille mais j’ai pour principe de ne jamais fuir un regard surtout si c’est celle d’une fille. Finalement elle se contenta juste de m’envoyer un sourire puis continua à tripoter son téléphone. J’ai du être à son gout et surtout en ce qui concerne mes proportions. Il y’a trois mois de cela j’aurais peut erre pris un rendez-vous avec elle mais mes gouts se sont bien plus affinés et je n’ai plus beaucoup de temps à perdre avec les damoiselles de son genre. Le bus est arrivé au terminus, c’est là que je descends. Je reste un moment à attendre que le tram se dépeuple rapidement. Enfin je peux sortir, l’air de l’extérieur me manquait énormément. Le lieu de mon rendez-vous se trouve à quelques pâtées de maison de là. Je regarde mon téléphone pour voir la localisation de l’appartement. J’ai marché le long d’une aller sombre qui est quasiment déserte à part les quelques chats qui abandonnés qui circulent dans les poubelles en compagnies des rats et des petits verts blancs bien dégelasse. L’odeur est immonde mais ne me dérange guerre, je ne suis pas très tatillon sur ces choses. Je suis enfin arrivé au niveau de l’immeuble, j’ai sonné l’appartement neuf comme il m’a été conseiller puis j’ai dit <<c’est pour le rdv>> et le bruit de la porte retentit. Le hall c’était éclairer subitement et laissait entrevoir les nombreuses boites aux lettres accrochées au mur et l’ascenseur droit devant mais je préfère les escaliers. J’ai finalement trouvé l’appartement neuf au niveau du deuxième étage. J’ai frappé à la porte et elle s’entre ouvrit légèrement, juste assez pour pouvoir voir qui était à la porte. Il était déjà en peignoir rose, ls cuisses qui dépassaient un peu. Il me fit signe d’entrer puis referma aussitôt derrière moi. Il sentait bon donc c’était lavé, son petit visage mignon ressemblait à celui d’un jeune garçon avec la petite mèche qui déborde sur son visage.

-Tu peux t’asseoir ici, me dit il en indiquant son canapé avec une voix très efféminer.

-Non je ne crois pas que ce serait nécessaire, lui répliquais je

-Oh tu es un homme presser

Je le pris alors par la main et le rapprocha près de moi, il se mit alors à m’embrasser fougueusement. Il me regarda souriant un moment puis s’agenouilla devant moi, il toucha délicatement ma queue à travers le pantalon puis déboutonna mon jeans et fit descendre la braguette. Il se saisit de ma virilité d’une main et une l’autre qui titillait mes boulles puis fit tourner sa langue sur le bout et l’anneau de mon gland et pour finir l’enfonça doucement dans sa bouche. Il s’y appliquait avec beaucoup de dextérité, il me jetait de temps en temps un regard bien enjoué. Je le pris alors par les cheveux et l’écarta de ma bite. Une énorme quantité de salive mélangé à du liquide séminale dégoulina sur le tapis. Je l’ais ensuite jeter sur le sofa puis enleva mon tee-shirt et lui jeta son peignoir qui découvrit un corps nu toute blanche avec des petites traces de rousseur. Il était assez fin avec une absence totale de poil et une petite bite non circoncise qui semblait être en érection. F’aut croire que sa croissance c’est arrêter au début de l’adolescence mais ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Je saisis une capote qui se trouvait dans mes poches et l’enfila illico presto, les gens comme lui sont bons amis avec le VIH, puis j’écarta ses jambes et l’encula bien profondément, comme prévu il émit un léger gémissement qui est une musique agréable à mes oreilles alors je mis du cœur à l’ouvrage et lui utilisait ses petites mains pour se masturber. De temps en temps je l’étranglais jusqu’au point de lui faire rougir sa nuque mais je me reprenais juste à temps même si cela semblait lui faire plaisir mais ça pourrait gâcher tout. Contrairement à beaucoup de personnes moi je préfère le trou du cul à la chatte, il y’a une plus grande résistivité ce qui provoque chez moi un plaisir plus intense. Ma copine n’aime pas l’anal elle trouve ça dégelasse et dégradant. L’orgasme est un moment de grâce qui ne dure que quelque secondes, laps de temps qui nous transporte dans une autre dimension où tout notre être est soumis à un plaisir intense et sans pareil. Le cul bien poutré, la prostate bien titiller et le pénis ramollit au milieu d’une flaque de sperme, le femboy était tout sourire. Il me toucha le visage avec ses mains puis retira mon préservatif et commença à en avaler le contenu. Nous avons alors terminé le reste de la soirée dans sa chambre sur son lit. Il c’était endormit sur son lit, allongé sur son dos, les jambes écartées. Je le regarda un moment dans le noir. Il devait être fatigué de se faire chauffer le cul. C’était le bon moment, il commençait à ressembler à ce que je préfère le plus, je me suis alors approché de lui puis je pris place sur sa poitrine. Il se réveilla le sourire aux lèvres mais son sourire s’effaça aussitôt que je lui plaça l’oreiller sur son visage. Il se débattit de toute ses forces, s’agita, essaya de me repousser avec les mains mais il ne pouvait pas faire grand-chose. J’ai maintenu plusieurs minutes l’oreiller sur son visage pour être sûr à cent pour cent. Une fois j’avais retiré le truc un peu tôt et j’ai dû me rattraper à deux fois. La première fois j’avais essayer avec l’étranglement mais c’est assez physique d’étrangler une personne surtout si la victime s’agite dans tous les sens en plus une personne ne meurt pas à la seconde et laisse des traces au niveau du cou.

IL avait les yeux remplit de désespoir et avait même une perle de larme au niveau de l’œil gauche. Mon érection était vite montée dix sur une échelle de dix. Faire l’amour à un mort est très spécial, le fait de voir un corps inerte avec des expressions figées est très stimulant. Après une bonne séance bien remplit je l’amena dans sa salle de bain pour prendre un bain avec lui. Nous y passâmes un assez agréable moment. J’ai ensuite fouillé dans ses affaires pour lui prendre des habits, son pyjama que je le fis porter puis je lui ai dit au revoir avant de partir. Les gens mettront du temps avant de découvrir le corps et il n’y aura pas d’enquêtes, on conclura à une mort naturelle comme toujours dans les cas comme ça. En générale les gens s’en foutes des pédales surtout s’il est en plus efféminé même sa famille sera soulagé, ils l’auraient lynché eux même s’il n’y avait pas la loi.

Je descends lentement les escaliers, tout le monde dort profondément a cette heure, je ne risque de croiser personne. Je marche à nouveau dans cette allée sombre l’esprit soulagé, je devrais de nouveau refaire la même chose dans pas longtemps pour satisfaire cette pulsion qui est en moi. Je me rappelle que ma première fois c’était au travers d’une discussion avec un ami dans un café quand on s’est amusés à utiliser une application de merde qui te fais rencontrer les gens de manière aléatoire. Ont étaient tombé sur un garçon bien efféminé, il me trouvait beau et voulait coucher avec moi. Au début je trouvais ça dégoutant au point ou j’ai quitté la discussion. Mais j’ai passé tout le reste de la journée à penser à ce qu’il m’avait dit et je me suis rendu compte que ça m’excitait. Le porno fit le reste du travail, du porno au sites de rencontre pour des coups d’un soir. J’ai sauté le pas, premier rendez-vous avec un garçon très mignon de 22 ans, il était brun avec des cheveux court et coupées, il m’a dit qu’il aimait bien les noirs et que j’avais de jolies proportions ce qui pour lui était un complément mais moi à l’époque ça me rendait mal à l’aise. En l’enculant j’ai eu envi de l’étrangler, j’ai hésité un moment avant de le faire. Au début il prenait son pied tout comme moi mais je voulais plus alors je suis aller très loin. Il s’est débattit et je l’ai lâché, il toussa en se prenant la gorge puis commença à me casser les couilles alors je m’y suis reprit pour en finir une bonne fois pour toute. En panique je ne savais pas quoi faire, je me suis enfui de l’appartement. Sur la route je me suis dit qu’il fallait faire demie tour. En le voyant gisez nu dans son lit ça m’a donné des idées que vous devez connaitre maintenant. C’est là que mon modus operandi était né sauf que maintenant j’évite de les étrangler car me prend du temps d’essayer de faire disparaitre les hématomes en y appliquant de la glace. De retour à la maison je me suis jeter sur mon lit et me suis adonné à un sommeil très agréable empreint de rêves érotiques teinté de souvenirs de ma soirée.

Oh j’allais oublier, moi c’est Bernie le type qui vit au neuvième appartement du bâtiment en face de la gare.

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1 chapitre de 8 minutes
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Table des matières

En réponse au défi

Libre service

Lancé par Ecrivainedu68

Pour ce premier défi je vous propose un libre service.

Cela doit juste etre une histoire de un ou plusieurs meurtres.

Voila !

Hate de vous lire !

Commentaires & Discussions

BernieChapitre0 message

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