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annec

CHAMBERY.
Défi
annec
Un bref résumé de l'histoire car c'était il y a très très longtemps et certains ont pu oublier... Il était une fois une jeune femme si belle que sa belle-mère jalouse de sa beauté a tenté de la faire disparaître mais échoua. La jeune fille put se réfugier dans une petite maison habitée par sept nains qui l'ont cachée afin la protéger. La marâtre obstinée découvrit la cachette et s'y rendit déguisée. Elle tenta d'empoissonner Blanche Neige avec une pomme. La jeune femme presque morte fut sauvée par le Pince Charmant qui passait par là. Séduit par sa beauté, il embrassa la femme et la prit dans ses bras et par ce mouvement, elle put cracher le morceau de pomme empoisonné. Elle revint à la vie et ils se marièrent... Invitée au mariage, la méchante reine fut condamnée à danser avec des chaussures de métal chauffées au rouge jusqu'à ce que mort s'ensuive... Vingt ans après nous en sommes là :
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Défi
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En réponse au défi sur le malheur... cynisme au rendez-vous.
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Défi
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Ce petit texte, est un premier jet d'un défi lancé par @Jonas, où des mots imposés devaient être contenus, ainsi que la première phrase. Bonne lecture et bienvenue dans l'univers des perles perdues.
Telles étaient les contraintes :
1) Votre texte doit commencer par la phrase suivante : « Et pourtant, il avait compté jusqu’à vingt… »
2) Les mots suivants doivent y être insérés : « dortoir, planche, lune, grillage, sable, enfance, danger ».
3) On devra y trouver la description d’un intérieur, quel qu’il soit, et d’un paysage nocturne.
4) L’un de vos personnages cache ses véritables motivations.
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Défi
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 Voici mon journal de bord : 

Je couche sur papier mes impressions suite à l'expérience menée avant de reprendre mes cours à la fac d'octobre. Rien ne me destinait à réaliser ce que je considérais comme une prouesse pendant ces quelques jours... Je décidais, pour narrer le processus de mon aboutissement de rédiger un petit rapport matin et soir de mon ressenti et mon vécu aux nombreuses personnes qui doutent de mon défi relevé.


Jour 1 

22 H 30

 Ce soir, DODO tôt : je suis épuisé après une journée de galère. Pourvu que ce ne soit pas prémonitoire ni un échantillon ou un avant-goût des jours suivants.
Ca commençait mal : Mon train au départ de Clermont Ferrand pour le Puy en Velay ne partait pas, à cause d’une grève. Je me fous de la cause des salariés à défendre, de la même manière,  eux se moquent que j’ai dû pratiquer l’auto-stop et donc commencer à marcher plus tôt que prévu, avec le pouce levé et un sac-à-dos à porter. J’ai dû avancer à pied trois quarts d’heure au moins. 
Soudain, un couple providentiel m’a proposé une petite place dans leur voiture. En fait, ce co-voiturage m'attribue un voisin de banquette particulier : un énorme gentil canidé aux yeux de chien battu. Insensible à mon récit où j’expliquais par politesse mon projet à mes bons samaritains, mon gros poilu l'était moins aux odeurs et le contenu mon sac à dos posé sur mes genoux. Concentré sur sa bave dégoulinante qui le transformait en tissu absorbant, j'ai été désarçonné en l’espace d’un instant, quand sa gueule parvient à y saisir mon sandwich réservé pour le déjeuner. Quel idiot je suis, de m'être laissé avoir comme un bleu.
Confuse, la femme du conducteur culpabilisait à fond et a insisté pour que je prenne la barquette de framboises tout juste achetées au marché; C'était les seuls trucs de son panier mangeables sans préparation et cuisson. L’enfer des autres est pavé de bonnes intentions ! Trop mures, elles ont maculé  mon tee-shirt déjà mouillé de bave mais j'ai été sauvé d'arriver à destination : l'infernal clebs commençait à s’attaquer au linge de rechange que j’ai emportés pour ces cinq jours de périple.

Parti sans avoir vraiment préparé ce voyage, je n'ai réservé aucun hébergement. L'improviste va devenir mon seul allié qui devra composer avec mon petit budget, mais raisonnable vu les coins que j’envisage de parcourir. Des chambres d’hôtes et un diner suffiront pour récupérer le temps d’une nuit.

 

Jour 2                                     

7H10

Premier jour sur les chemins de Compostelle. Je regrette déjà cette idée saugrenue de marche car je n’en peux déjà plus : voici le résultat d’un pari débile avec mon pote Eric sur le « paradigme de la meilleure méthode pour se ressourcer ». Un rapide appel téléphonique du poste fixe de mon gite sur mon programme de la journée rassure mes proches. Je ne sais pas si avoir laissé mon portable était très judicieux.

Pour le trajet, je me fie aux conseils de mes voisins de table d'hier soir. Ainsi, je prévois de me rendre à Monbonnet pour ensuite rejoindre St Privat d’Allier, à cinq petites heures de marche d'après eux. On les sent à peine m'assurent-ils.

21 H 45

Avec mon manque d’entrainement je me suis vite fait distancer par des pèlerins motivés et dotés d’une meilleure endurance. La mienne, je la travaille plus à rire et boire à outrance avec mes amis aux terrasses des cafés pour débattre de la société. Rien à voir avec l’épreuve que j’ai subie aujourd’hui.
J’ai atteint ma destination en fin de journée, fourbu à cause du poids de mon sac à dos et de la chaleur. Satisfait d’y être parvenu, fier même, même s’il m’a fallu six heures sur les cinq escomptées par les autres « pèlerins ». Six heures que j'ai bien senties passer dans tous les sens du terme.
En quête d'une chambre dès mon arrivée à St Privat, j'en ai dégotée une in-extremis dans un gîte après encore une demie heure de quête. L’avantage de voyager seul facilite la tâche de trouver une place, infime soit-elle.

Autant dire que dans mon lit d’un confort pourtant médiocre, le marchand de sable ne va pas se faire attendre.

Jour 3

7 H

Aujourd’hui, prochaine étape : Saugues, ville du Gévaudan.
Le temps maussade devrait m’éviter de suer comme hier. Je supporterai mieux les quatre heures de marches imposées.
Je passe tous mes appels, histoire de parler à un proche, avant de me lancer pour une journée de mutisme forcé. Je reconnais que cela fait une éternité que je ne suis pas resté seul avec soi-même pendant si longtemps, si jamais cela m’est produit un jour. J'ai toujours eu besoin de compagnie.
Sur le chemin, il m’arrive à certains moments de parler avec des gens qui cadencent leurs pas sur les miens, mais cela ne dure jamais très longtemps car je monopolise mon énergie pour les efforts physiques de ma pérégrination.

 

22 H

L’arrivée dans le village relativement tôt m’a permis de profiter de mon temps libre tranquillement : m'asseoir au premier café et savourer le temps qui passe pour recouvrer des forces. Mes courbatures des deux premiers jours se sont atténuées.
Mais quel ennui d'être seul, attablé devant une bière et sans avoir aucun écran à consulter. A 19 h, je me réjouissait de devoir passer à table. Mon Dieu, je rêve ! J'ai adopté des horaires de poules... non que mon appétit me taraudait mais que j'avais hâte de partager un moment convivial.

 J’ai trouvé hospitalité chez un habitant « super chouette » pour cette nuit, selon l’expression fétiche de mon hôte. Demain, il y a quand-même six heures de marche jusqu’à la prochaine étape (Saint Alban) m’a-t-on dit. Il vaudra mieux se lever tôt.

 

JOUR 4

6 H 45

Je téléphone à mes parents avant de partir pour nous mettre d’accord sur l’horaire de mon retour. Il semblerait qu’eux aussi soient étonnés de mes kilomètres mangés durant ces trois jours, à croire qu’ils avaient parié entre eux sur mes capacités à parvenir à fournir ces efforts.

21H30

Le parcours d’aujourd’hui était si ardu que je n’en voyais plus la fin, à tel point que je me croyais égaré. En désespoir de cause, j’ai engagé une conversation avec le premier type rencontré et lui ai demandé s'il avait sur son portable l’appli GPS, mais évidemment, dans le coin paumé où on errait, impossible de capter un réseau satellite. Dédaigneux et moqueur de ma demande, il m'a planté sur place à une vitesse si vive qu'il me fut impossible de le suivre ne serait-ce du regard pour me repérer.
Aucune âme qui vive aux alentours, j’avançais dans le doute et sans entrain quand un groupe de joyeux retraités m’ont rattrapé et m’ont rassuré sur l’itinéraire à suivre. Nous avons fini le chemin de l’étape ensemble. Si je ne leur avais pas parlé, je n'aurai pas parié sur leur capacité physique vue leur corpulence loin des quinquagénaires croisés jusqu'à ce jour. Leur humour et leur appétit de la vie m’ont appris que la vieillesse ne doit pas faire peur, car au contraire, avec l’âge on apprécie davantage laisser de côté les petits soucis matériels.

 

Jour 5

6H50

Le programme du jour est de me rendre à Aumont-Aubrac où demain matin Eric vient me chercher avec la voiture son père.

22H

Aujourd’hui j’ai retrouvé des personnes que j’avais rencontrées au début de mon escapade. Nous avons échangé sur nos expériences après ces quelques jours vécus chacun de notre côté. Je me surprends moi-même à rechercher le contact de gens croisés au gré du hasard, à échanger des ressentis et à même m’inquiéter de leur sort. Est-ce le résultat des moments de solitude à essayer de se dépasser pour atteindre un objectif fixé ?

Jour 6

8 H

Aujourd’hui, grass’ mat’, quel bonheur de trainer jusqu’à 7 h 45 au lit ! Rendez-vous à 10 H avec Eric, à l’auberge. Il était temps que mon bout de chemin se termine, j’étais fauché comme les blés, mes finances m'offraient une chambre de plus en plus minable.
 Avant de partir, j’avais un moment pour dire au revoir à mes compagnons de route.
On s’est promis avec de garder le contact, on verra si cela se fera. En tout cas, jamais je n’aurai imaginé apprécié la compagnie de personnes de générations plus anciennes, des gens plus âgés : des vieux, quoi ! Je n’avais jamais été confronté à ce genre de fréquentations, moi qui depuis mes douze ans, rejoignais mes copains dès que mes parents recevaient leurs amis pour m’éviter d’écouter ces ancêtres… Aurais-je raté quelque chose ?
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En réponse au défi de Jonas incipit 3 ch 3 VOICI la présentation du père...
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Un défi lancé : il fallait utiliser dans un dialogue les mots : Un avion, une licorne, un rat, une balançoire, un pizzaiolo, "Ravi de faire votre connaissance", "Tout ceci n'a aucun rapport avec Gisèle!" Bonne lecture de ma version agrémentée de toutes ces expression imposées.
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 J'ai finalement choisi cette phrase de l'étape 1 pour la décliner en quatre ou cinq phrases :
  Trois amies dans le train en partance pour des vacances entre filles élaborées depuis plusieurs mois regrettaient l'absence incompréhensible d'une quatrième amie Julie, lorsqu'elles reçoivent simultanément un texto  : "désolée, je  ne viens plus, je pars vivre avec mon amant, le mari de l'une de vous, je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant".

        
Quatre amies de longue date projettent et élaborent pendant de longs mois une croisière entre elles, comme un défi de parvenir à rompre avec la routine de leur vie ; après de multiples tractations, le voyage est au point :  elle rejoindront en train Marseille pour prendre le bateau, le budget potentiel de chacune respecté.


En parallèle de l’organisation du voyage, chacune devaient gérer son absence pendant cette semaine entre fille : Charlotte, mère au foyer-type, devait trouver une baby-sitter pour s’occuper de ses deux enfants, son mari étant souvent en déplacement ; Valérie cherchait d’arrache-pied un remplaçant disponible pour son cabinet d’infirmière ; Julie, artiste peintre, négociait avec son frère pour s’assurer qu’il visite quotidiennement cette semaine-là, son père malade; Astrid elle, sans enfant, devait simplement déposer sa demande de vacances à son employeur.


Le 5 juin, le jour J, les quatre amies devaient se retrouvées devant la boutique de la Fnac de la gare de Part-Dieu ; or, à cinq minutes du départ, Julie injoignable et absente au rendez-vous, ses trois amies décidèrent de partir sans elle, espérant que, la retardataire en voiture, aura encore le temps de les rattraper à Marseille.


Inquiètes et déçues pour leur amie durant le trajet pour Marseille, se rassurent avec des suppositions probables compte tenu le caractère versatile et artiste de Julie comme une panne de réveil, voire une rencontre fortuite dans un bar la veille qui avait relégué le voyage au second plan de ses priorités ; Julie n’en était pas étrangère à ces extravagances.


Mais quand les trois reçoivent ce texto : «... je pars avec mon amant, le mari d’une de vous », il expliquait son absence mais laissait la « semaine entre filles » sous des auspices ombragés : laquelle des voyageuses était la femme trompée, humiliée ? A cinq cent kilomètres de chez elles et prêtes à embarquer sur un paquebot pour naviguer sur la Méditerranée, Charlotte, Valérie et Astrid individuellement, prirent le parti de garder secret ce texto pour elles-mêmes convaincue que son propre conjoint ne pouvait être pas l’amant concerné.

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En réponse au défi de lister les treize vœux avant de partir...
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 1. Il déambulait dans les rues comme un simple passant, pourtant rien ne lui permettait de faire comme tout le monde.
2.  Il cherchait depuis le début une issu à cette situation alambiquée quand une phrase lui revient en mémoire...
3. Un lieu, une date... et le vécu de leur histoire aurait été différente dans un autre lieu à une autre époque.
4. L'arrivée d'un enfant inonde de joie une famille, mais là, la naissance de ce bébé laissait présager le déclin d'une dynastie.
 5. Comment un jouet peut-il changer la destinée d'un enfant ? Le rôle de ce jouet a-t-il détourné ? Les parents avaient bien pensé changer le destin de l'enfant.
6. Un chien choisit son maître. Le vigil ne pensait pas faire les frais de la rengaine répétée toute son enfance par son grand-père, le garde-forestier de son village. Il aurait dû y approfondir la question avant de pénétrer dans l'entrepôt.
 
7. A l'annonce de sa maladie, il photographiait tout ce qu'il voyait pour qu'il se rappelle toujours de ce qu'il a vu mais  la maladie a progressé comme son obsession de l'objectif au point de se mettre en danger car il a fait LA photo qu'il n'aurait pas du prendre...
 
8. "- ... oui alors tu comprends la situation dans laquelle j'étais...". je n'entendais plus rien, elle devait passer sous un tunnel et je raccrochais en attendant qu'elle se soit posée ; trente minutes plus tard, son numéro s'affiche enfin et une voix masculine et inconnue me dit : "Allo, bonjour  Madame, est-ce le numéro de votre fille qui s'affiche ?"
 
9. Elle avait postulé en désespoir de cause pour ce poste qui était en-deça de ses prétentions ; elle avait appris à ravaler sa fierté et quand elle ouvrit la porte, celui qu'elle vit face à elle anéantissait ses efforts.
 
10. Les trois femmes dans le train pour une destination si convoitée regrettaient le retard de leur quatrième amie quand chacune reçoit un texto sur son portable : "désolée, je ne serai pas des votre, je pars vivre une grande histoire d'amour avec mon amant, le mari de l'une de vous, je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant"...
 
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Réponse au défi présenter une star sans la nommer ni elle ni ses proches...
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Voici les personnages de l'incipit du défi proposé par Jonas; voici la phrase que j'ai décidée de traiter ici :

Les trois femmes dans le train pour une destination si convoitée regrettaient le retard de leur quatrième amie quand chacune reçoit un texto sur son portable : "désolée, je ne serai pas des votre, je pars vivre une grande histoire d'amour avec mon amant, le mari de l'une de vous, je ne peux pas vous en dire plus pour l'instant"...
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Voilà la phrase que je développe en quatre ou cinq phrases : Comment un jouet peut-il changer la destinée d'un enfant ? Le rôle de ce jouet a-t-il détourné ? Les parents avaient pensé changer le destin de l'enfant en offrant ce jouet car il faut trouver une solution en attendant les avancées de la société puisque nous sommes en 1974…

Un poney, simple jouet sur roulette croupit dans un magasin de jouet et attend de participer de manière ludique avec une enfant pour participer aux distractions de son jeune âge.

Offert par des parents de Titi scrupuleux d’offrir « le » bon cadeau à leur petite Titi, le poney comprend qu’il a un rôle particulier auprès de la fillette hors norme des autres enfants, mais quel est ce rôle ?

A la rencontre avec l’enfant, le poney saisira qu’il devra compenser le la dépendance motrice de Titi atteinte d’un handicap moteur en lui assurant ses déplacements ; son rôle de jouet relégué au second plan, le poney deviendra l’observateur et le confident de la petite.

Mais, avec la croissance de l’enfant, le poney devenu inadapté devra composer avec des rivaux qui devront le remplacer.

 

 

 
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