Bon si je recoupe avec ce qu'il y a ici :
https://www.scribay.com/author/869058594/la-plume-deplumee/diary#comment_52830

Donc la liste serait :
- Lucivar
- Jacques IONEAU
- Ainhoa
- phillechat
- Grunni
- Asicq
- 6_LN
- david diez
- KagomeAohane
- Gigi Fro
- DLD
- Vhaeraun2016
- Gruik
- helianthracite
- La Pluie
- Mina singh
- Ālغx |
- carolinemarie78
- Aude vesselle
- Ai acheté un couteau
- Renard .
- jesuispasunerockstar
- korinne
- Castor
- Alex Dascot
- Aspho d'Hell
- Clelia Maria CASANOVA
- Eva Lord
-Mya Doris
- Spes
- Popli
- Naokie0412
- Saltykimchi
Vis9vies
Vicomte Bidon
Oreleï
Korinne
Anne-Christine B.
Tendris
AudreyLD

40 autricesteurs, c'est juste ou je me suis encore planté ?

Liste mise à jour quotidiennement ! pfff !! Tu parles d'une arnaque !
Va pronostiquer un truc ! ^^

Tadaaaaam !
En raison du Covid 19, je déclare que la fin du jeu est reportée. Je dévoilerai les résultats le même jour que la fin du confinement, en juin !

Elle a ouvert le jeu avec son édito, elle ne veut pas le fermer avec sa bio...

On ne présente plus La Plume Déplumée, mais on peut la chanter sur le refrain de « Ma pomme » de Maurice Chevalier
Ma plume, c’est e, e, elle
L’est plus heureus’ qu’au ciel
Ell’ se fait jamais d’mousse
Sans s'cousse,
Ell’ s'pousse.
Les joueurs
J’ai peur
S'font du souci, pour elle ?
Mais pour être heureux comme,
Ma plume,
Ma plume,
Il suffit d'être en somme
Aussi peinarde qu’e, e, elle

Chacun devrait savoir qu’une plume déplumée c’est une plume sans plumes, donc à poil, conclusion logique : cette canette est à poil autrement dit, un ornithorynque et j’en veux pour preuve sa réponse au questionnaire d’entrée à la question animal préféré elle a répondu : le kiwi autre animal austral bizarroïde, un oiseau à poil. Elle m’a dit, après boire, que « les kiwiwic, pfff, hic, burp ! j’aime bien, hic, j’en mange souvent ! » et après ça, elle est partie gerber son trop plein de Kiwi… de whisky je veux dire. À ce jour, comme écrivaine elle n’a publié qu’un seul texte qu’auréolée de toute la puissance de son poste prestigieux, elle a placé en tête. Plutôt réussi comme texte, non *l’air pas fayot* ?
Bon, quelqu’un a déjà trucidé Gigi, on va pas achever sa remplaçante quand même. Pas avant les résultats en tout cas. T’en fais pas mon ornithorynque, même déguisée en canard on t’aime bien.

Et le dernier du jour ET du jeu !

Il est un auteur couteau suisse, capable d'écrire un texte à l'humour potache et un autre avec beaucoup de sincérité. On lui doit le texte de "soldat" lors de la deuxième édition. J'aime particuliérement suivre ses annotations et ses commentaires. Les fragments de jade me restent en mémoire ♥
Je vous présente : SaltyKimchi !

J'en profite pour vous remercier chacun d'entre vous pour avoir joué le jeu !

Et le ou la dernière ? ^^

Et la deuxième du jour !

Auteur sensible, Paige Eligia est généreuse. J'avoue ne la connaitre qu'à travers son journal de bord et ses commentaires déposés ici et là. Je vous invite à la découvrir, elle vaut le coup que l'on s'attarde sur ses mots ♥

**Voici venu le temps des rires et des chants, sur l'île aux enfants c'est tous les jours le printemps **

Allez ! Dernier jour ! Voici notre premier auteur de cette tournée mondiale !

Elle est une inconnue sans l'être, une lectrice fantôme mais auteur pour la deuxième fois dans le défi, je nomme : @Naokie0412@ . Cette fois-ci, je vous le dis, c'est bien une fille ;)

Dernier auteur du jour :

Spes est une jeune auteur toute récente sur la plateforme.

Voila... Il ne reste plus que 3 auteurs à vous faire découvrir demain. Qui manque à l'appel selon vous ??? XD

Un deuxième auteur :

Zelen Awal est encore une nouvelle sur le site (sauf erreur de ma part) mais déjà elle aime, partage, commente beaucoup d'entre nous. Lectrice prolifique, je suis sûre qu'elle saura se faire sa place ;) En attendant je vous invite à la découvrir !

Dimanche en famille (encore) dimanche encore ! :

Je vous présente succinctement les auteurs du jour. À peine quelques mots mais qui n'enlève en rien à leur qualité :

Eva Lord auteur discret, femme à la voix qui porte. Je reprends sa présentation sur Scribay "Femme fatale qui compte bien utiliser son charme et ses talents de manipulatrice pour devenir le plus grand écrivain de tous les temps !"

et y sont où ceux d'aujourd'hui ? c'est parce que c'est dimanche ? repos dominical de la plume sans poils aux pattes ?

Et seconde petite question :

Vous votez pour votre texte sur le google-form ?
Si oui, vous indiquez votre vrai genre ?

Petite question aux auteurs participants.

Laissez-vous un commentaire sous votre texte du défi ? Si oui, quel genre de commentaire, élogieux, mitigé ? Destiné à brouiller les pistes, bien sûr, mais comment ?

Et un deuxième ! :

Ah l’amusant défi, il faut donc se décrire ?
Si je suis parmi vous ce n’est que pour écrire…
Ce qui parle de moi – à mots voilés s’entend –
Je le garde caché. Il faudra bien du temps
Pour que je me décide à tomber tous mes masques !
Un jour sérieuse ou pire, et un autre fantasque
Je paraîtrai plusieurs, moi qui ne suis qu’unique,
Docteur ou bien gitane, insolente angélique.
Vous qui viendrez me lire en croyant me connaître
Mieux que tous mes amis et ceux qui m’ont vu naître,
Vous jugerez mes mots, croirez qu’ils vous ressemblent
Comme deux gouttes d’eau, que cela nous rassemble,
Mais je suis allochtone, aliène en peau d’humain
Pour camoufler le zèbre, aujourd’hui et demain…
Sous ma coquille épaisse est enfoui le tendre
Je ne me livre pas, il vous faudra m’apprendre
Me découvrir un peu, imaginer le reste
Et de saine logique apprivoiser la peste.
Alors je parlerai, si vos mots me séduisent
Et nous échangerons, de faits en analyses…
Mais je n’ouvre mon cœur qu’à qui saura me prendre
Par l’âme ou par l’esprit, il faudra me surprendre !

Clelia Maria CASANOVA

Samedi heureux, samedi bonjour ! Notre première bio du jour est offerte par Jacques IONEAU :
Auteur inconnu est un ange tout droit tombé du ciel (vers l'enfer, donc un démon).
Elle représente tout ce que j'aime : elle est brune, je préfère les blondes, elle est tatouée et piercée, je déteste ça, elle aime les dragons, les têtes de mort, les cercueils, je n'aime que la douceur, la tendresse et les contes de fées qui finissent bien, elle aime les belges (au moins un), ça tombe bien j'avais une arrière-grand-mère belge. Comme vous voyez on ne manque pas de points communs. Si, si ! Tout le reste… Non, je déconne là ! Presque tout le reste, on diverge un peu musicalement.
Elle est une poétesse qui s’ignore, car même ses mises à mort sont poétiques et son humour est sans failles. Enfin ses goûts littéraires sont afflig… euh affol… mais non, affectueusement proche des miens.
Si vous n’avez pas lu ses textes, vous avez des lacunes culturelles qu’il va falloir combler… et plus vite que ça scrongneugneu ! Profitez du confinement, ce temps libre offert gracieusement par nos sympathiques dirigeants. (Le diable les emporte dirait-elle !)
Ah, au fait ! Elle déteste qu’on réécrive ses textes, mais est trop gentille pour vous le dire.

25 !

Et enfin, un joli portrait offert par Yaëlle :


Auteur Inconnu
Derrière ce pseudonyme androgyne se cache une jeune auteure persévérante, perfectionniste et bienveillante.
Son domaine de prédilection ? L’homoromance. Si ce genre ne m’attirait pas spécialement à première vue, la plume d’Alex a su me conquérir notamment grâce à ses personnages tendres et émouvants et à ses descriptions qui font voyager.
Je me souviens très bien de son arrivée sur Scribay, il y a maintenant un an, avec un texte qu’elle hésitait à dévoiler. Et pourtant, quelle belle découverte ce fut ! Une histoire d’amnésie, de couple oublié et de famille, aux sentiments dépeints tout en nuances.
Mais au-delà de ses écrits, j’ai rencontré une personne attentionnée et sincère, sur laquelle on peut compter et qui, j’espère, saura un jour (re)lire ses textes avec le plaisir que ses lecteurs ont en les découvrant.

Voici Castor ! :

Un jour en chemise et foulard, on campa.
Devant la nature, je succombai.
À la marine quelques années, je dédicaçais
Dans quelques pays, mon âme a vagabondé.
Mes amis, je ne serais rien sans eux.
Je préfère construire de mes mains demain plutôt que d’effectuer de trop fréquentes visites à la nef.
À trois reprises, j’ai langé.
Je suis aussi habile avec un clavier qu’avec une hache.
J’ai très vite quitté mon nid.
La tente est le meilleur de mes logis.
En rencontrant ma moitié, ma vie bifurqua.
Que ferais-je sans elle ?
Comme elle m’aime,
J’ai moins de peine.
Vraiment quel cadeau !
Pour changer le monde j’ai choisi l’éducation des valeurs plutôt que l’épée.
À ma timidité j’ai survécu.
Je suis joueur et voilà pourquoi cet abécédaire.
Derrière est ma jeunesse,
mais de la fin je ne vais pas m’impatienter.
Car de la vie, j’en suis encore goulu.
De belles rencontres en mon coeur sont gravées,
Je suis riche de tout, mais surtout pas des bé-aime-double-vé.
La météo de ma vie est au beau fixe.
La morosité, du balais ! Je suis heureux d’avoir fait un beau voyage comme Ulysse, ce héros de la mythologie grecque.
Les débutants en écriture, comme moi, aiment bien qu’on les aide.

Vendredi bonjouuur !!! Pas de discours pour moi. Grunni occupe tout l'espace ♥ :


Née dans une mégalopole surchargée, de parents aimants et attentionnés, korinne a passé une enfance heureuse. Jusqu’au jour où, un tyrannique président réclama de plus en plus d’impôts. Une seule évidence, pour ses parents à bout et sans le sou : se résoudre à l’abandonner dans la forêt.
Korinne, ingénieuse enfant, pensa à prendre un petit bout de pain pour… – vous connaissez la suite. Malheureusement, déjà trop gentille, le cœur sur la main, elle sacrifia son quignon à un petit moineau affamé et… ne retrouva jamais son chemin.
Le sort voulut que ce providentiel croûton gonfle l’estomac de l’oiseau… il mourut dans d’atroces souffrances.
Korinne porta longtemps le poids de cette mort et erra quelques années durant dans cette forêt. Devenue sauvage, damnée, elle finit par fuir complètement la civilisation et fut souvent prise, à l’époque, pour une entité des bois. Pour ne pas dire une sorcière maléfique.
Petit à petit, grandissant, déculpabilisant, elle retrouva du réconfort parmi les arbres verdoyants, abandonna son régime de terre et de racines pour déguster champignons et châtaignes et, naturellement, revint vers les êtres vivants. Aimable, chaleureuse, elle sympathisa alors avec la faune locale, coucha dans diverses tanières, chevaucha plus d’un chevreuils.
Quelques années passèrent encore et, l’âme aventurière, se pensant apte à affronter la société, avide de découvertes, korinne quitta sa douce forêt. Elle prit pour cible une hasardeuse montagne. Mal lui en prit, déjà elle n’arriva point à surmonter sa phobie de l’espèce humaine et en plus elle s’aperçut intolérante au froid. La bonne fortune la mit sur la route d’un ours mal léché ; korinne, la langue bien pendue, sut l’apaiser. Ils s’éprirent l’un de l’autre et, très vite, il fut décidé que son ours élirait domicile dans sa grotte.
Tous deux vécurent heureux, près d’une décennie, à se réchauffer l'un l'autre, se plaisant à effrayer les randonneurs. De là à dire qu’elle fut à la naissance du mythe du Yéti, ou suivant la saison de Bigfoot, il n’y a qu’un pas.
Bref, de belles années d’amour, jusqu’au passage des braconniers, vengeurs de moutons déchiquetés, de brebis égorgées. L’histoire rendra plus tard justice à son ours, innocenté après que le grand méchant loup eut avoué tous ces meurtres.
Le cœur brisé, korinne déménagea et se dirigea vers la campagne profonde. Au milieu des champs, des clairières, des rivières et des prés, elle se bâtit une petite maison en bois et au toit de paille.
Elle passa incognito de tranquilles années avec les oiseaux, les castors, les chèvres et les insectes en tout genre.
Jusqu’à ce qu’un cirque ambulant passe par là. Vous devinez la triste suite : capturée, exploitée, maltraitée, elle fut exposée comme créature vedette au côté du célèbre Elephant man.
Rassurez-vous, une bonne âme la délivra, l’adopta et la sociabilisa. Jodie Foster, lui doit d’ailleurs un de ses plus grands rôles : Nell.

Depuis, korinne, devenue plus vieille, s’est intégrée et n’a, évidemment, plus peur des hommes. Elle ne vit tout de même pas à Paris, ni dans ce genre de grand ville, mais au fin fond d’une région dépeuplée, dans une petite maison en briques.
Korinne vit simplement, elle n’a pas besoin de grand-chose ; l’eau de son puits, son potager, ses arbres fruitiers et ses poules lui suffisent.
Mais soyons heureux, oui, soyons heureux ! Car korinne a, dans son petit paradis, adopté internet ! Où elle passe une grande partie de son temps sur Naturehub et Scribay.
Naturehub, où elle est… bref, cette partie inconvenante de son intimité n’a pas sa place dans une biographie.
Scribay, où elle est pour nous bienveillante, toujours gentille, franche, sincère, sans jamais blesser, de bonne humeur, toujours, où elle annote, commente, lit, relit, rigole, conseille et poursuit jusqu’au bout tous les textes sur lesquels elle s’engage. Korinne s’essaye à tous les genres d’histoires même si vous l’avez compris, à la vue de son parcours, ses préférences iront aux textes de… pirates avec un Capitaine Borgne ! Bon, de là à dire que le biographe est finalement de mauvaise foi…
N’oublions pas non plus que les lectures lui ont donné goût à l’écriture. Korinne est douée, inspirée, passionnée, nous lui devons, entre autre et toujours disponible à la lecture, le primé « jardin des possibles », le très imbriqué et passionnant « livre des femmes », et une myriade de micros nouvelles toutes plus surprenantes les unes que les autres.

korinne, vous l’aurez compris, est une personne formidable, à connaître, mais si vous ne voulez pas qu’elle redevienne sauvage, méfiez-vous des répétitions, si elle en trouve, vous êtes cuit !

erreur dans le nom du dernier cité, LPD : je suis pas.

Et voila pour cloturer cette journée, une dernière bio offerte par DLD:

Vis9vies nous a quittés. C'est le cœur serré que j'écris ces mots.
Vis9Vies nous a quittés et déjà, il nous manque.

Sur ce site, il y a les météores épisodiques (moi), les trublions fidèles (Pepito), les animatrices (Gigi)… Mais il y a aussi les monuments incontournables, les falaises rassurantes, les vieux chênes millénaires dont la cime culmine au-dessus de la forêt. V9V était de ce bois-là et personne ne se souvient de l'avoir vu arbrisseau.

Vicou – permettez-moi cette familiarité – Vicou possédait un vrai regard, une vraie voix, il avait une vraie présence, débonnaire et tranquille, apaisante et rassurante. Son œil curieux et amusé se posait sur nos modestes écrits avec bienveillance. Il contemplait le monde sans se faire d’illusion sur la nature humaine. Il possédait cette sagesse des vieux rochers que les vagues caressent à marée haute et que les crabes parcourent à marée basse. Il était le clocher au centre du village, il était le sage à qui l'on apprend plus à faire la grimace. Il disait souvent « je ne sais pas écrire » mais écrivait sur tout (parfois sur n'importe quoi) et écrivait bien. Il se posait les questions essentielles d'auteur sur notre rapport à l'écriture, la perception des mots, la manipulation. Il était discret et secret, il était bavard et taiseux, il se disait anarque et cultivait farouchement son indépendance. Il était limpide et hermétique, reclus et ouvert. Il rêvait parfois d'ailleurs mais se retournait rarement en arrière. Il ne regrettait rien. Il était ancré dans sa terre morvandelle, parmi ses chiens et ses brebis. À midi, il dégustait son fromage par petits bouts, sur la pointe de son couteau, en relisant de vieux classiques à la couverture jaunie, l'air pensif. Je me sentais proche de lui sur bien des points.

Oui ? Pardon ? Ah, on m'informe que Vicou ne serait pas mort ? Que c'était juste sa connexion orange qui déconnait une fois de plus ? Bon, eh bien, heu...

Et voici le deuxième du jour .... Faites du bruit pour jesuispasunerockstar !! :


Soyez indulgents, je débute et souhaite que mon écriture soit la plus agréable possible pour le lecteur, avec une pointe d’humour, de suspense, d’angoisse, des héros romantiques, des méchants, comme toujours dans les romans ainsi que dans la vraie vie, des histoires d’amour parce que l’amour nous fait vibrer, de l’érotisme parce que…, des blagues douteuses et de minuscules détails que je serai probablement le seul à remarquer.

Je glisserai également en pagaille des références culturelles à mes films, livres et musiques préférées, rock et metal !_!
En parallèle à l’écriture, je développe mon statut d’apprenti rock star : mon groupe de metal, des cours de chant, des karaokés live et scènes ouvertes, parfois aussi des concerts devant trois mille personnes… enfin, entre trois et mille, dans le noir, je peux pas voir.

Mes deux activités artistiques sont pour moi complémentaires et s’enrichissent l’une de l’autre.

J’espère que vous passerez un bon moment de lecture avec moi comme j’en passe avec vous sur Scribay.

Il me reste 10 auteurs à vous faire découvrir ! Par manque de temps (et p'être d'imagination aussi) Il me saura difficile d'écrire une bio pour les 10 derniers. Je l'aurai fais avec plaisir, mais j'ai un texte qui a vu le jour récemment. Alors chers auteurs, si vous pouviez par MP, me donner une petite bio, cela m'allégerait grandement la charge de travail. ♥♥♥

Jeudi frais bonjour ♥ :

On ouvre le bal avec une bio écrite par Vis9vies :

Fox se cache derrière son cœur qu’elle cache derrière ses mains. Entendons-nous. Elle a le cœur plus gros qu’elle et des mains bardées d’un mélange impressionnant de plumes écorchées, de pennes duveteuses, de rémiges criantes, de rectrices impudentes. D’elle, on ne perçoit au premier abord qu’un bouquet sauvage de fleurs improbables. Il faut plonger son regard entre les mots sanglants pour saisir l’essence de la tendresse. Je recommande l’expérience. Poser son oreille sur l’un de ses textes, c’est entendre battre le cœur d’un renard sous la lune, c’est se relier directement à l’authentique. Ses mots sont ceux que l’on connait, mais sa musique est fureur et vomissements. Un cri de nos temps modernes. Noir et violent, dans des nuages déchirés qui laissent apparaitre un coin de ciel apaisé. Juste un coin. Comme le renard, elle vole dans les plumes des poules trop douillettes, par désir de les voir se révolter, exiger leurs œufs pour nourrir tous les enfants qui ont faim. Et comme cela ne donne pas grand résultat, elle récidive. Pour notre plus grand bonheur.
Fox, dite Renard ., est un auteur à garder sous le coude, au pire à portée de main dans la bibliothèque. C’est un moindre risque. Là, il est possible qu’elle n’arrache pas notre conscience d’un confort trop douillet.

Juste pour dire que c'est vraiment chouette ces petits exercices.

Vive le bio ! heu... non. Vive la bio !

Si j'aurais su, j'aurais venu !

Et un dernier pour clore notre journée...

Dilemme. Dois-je vous confier tous les secrets que j’ai sur . . ? Après tout, j’ai reçu quelques coup de lame avant de gagner sa confiance. Pourquoi vous ferais-je ce cadeau ?
Il tranche et panse les plaies ensuite à coups de mots cotons déguisés en mots pointus. Le trouver est facile, il est une évidence, le comprendre moins. Il laisse sur son chemin des images de chiendent, de troyennes, de draps froissés, d’érection avortée, d’une chambre d’étudiant remplie de recueils de poèmes.
Il sèche sur un titre, ne pense à la fin d’une histoire, déteste les lieux communs, les poncifs…expérimente beaucoup. sur tout. la forme est déformée. le fond refonté. et j'aime


Entre vous et moi, il m’agace. Sa jeunesse alliée à son talent est insultante. Son arrogance me fait sourire. Oui il m’agace, me titille, j’ai envie de tirer son oreille, de lui affliger une tape derrière la tête, et surtout je souhaite l’écouter me parler des auteurs qu’il affectionne, des pâtisseries que nous mangerons un jour, de ses recettes de ramens qui me font saliver.
Je sais ce que vous vous dites. Elle est mordue, celle-la. En quelque sorte. Je suis une otage, il est un geôlier armé de mots inspirants, un tyran charismatique. Je souffre depuis du Syndrôme de Stockholm.
Etrangement, je ne souhaite pas être secourue. J'suis bien où je suis.

Ainhoa

Et un deuxième offert par Vis9vies :

Son avatar et son pseudo me projettent une onde de musique hindoue dessinant une aube aux couleurs indiennes. J’imagine des bains dans le Gange où fauves et roses se mêlent aux eaux parfumées d’encens. Puis je me dis que ça se voit que je n’ai jamais mis les pieds, ni le nez, à Bénarès. Elle, si. Certainement. Elle est forcément de celles qui ont pris la main d’idiots pour les déniaiser sur tous les songes du monde. Je suis jaloux. Insensé que je suis. Elle n’est pas comme ça, mais je n’ai pas tout faux. Si elle a bien les pieds sur terre et la langue dans les mots, elle a aussi ce pouvoir du cobra royal d’hypnotiser ses lecteurs. Ils se vautrent dans les supercheries qu’elle crée au feeling de ses doigts avec l’aisance d’une vénérable devadâsî, enrobant le sérieux du réel dans une facétie qu’elle nous rend digeste. Elle puise ses inspirations dans l’immédiat absurde et nous les restitue sous la flûte des maîtres charmeurs. J’ai nommé Desproges, Audiard ou bien Allais. Je l’imagine avec les yeux de Frédéric Dard : deux joyaux d’aigue-marine espiègles. Pour le reste, je suis d’accord avec vous, Auteur inconnu demeure un mystère envoûtant.

Ah tant que je vous tiens ! Vous vous organisez comment dans votre chasse au genre et à l'auteur ? Sur un papier ? Un tableau Excel ? Avec une boule divinatoire ?

Appel : J'ai sollicité un certain nombre d'entre vous pour les fameuses bios et je vous remercie d'y avoir contribué ! Je n'en ai plus beaucoup en réserve alors si vous pouviez m'envoyer celles qui me manquent.... ♥

Mercredi je te souhaite bien le bonjour !

Nous ouvrons les festivités avec une ancienne, une vieille de la vieille, une dure à cuire à qui on ne la fait pas, non, c'est l'inspectrice carolinemarie78. Tremblez chers auteurs, et même lecteurs. L'inspectrice sera vous faire cracher votre vol de Chocapic dans le bol de votre frère à 6 ans. Elle est redoutable alors un conseil : fuyez, pauvres fous !

C'est 6_LN qui s'est collée à la bio. Ben oui, fallait trouver une dure à cuire aussi douée que notre auteur du jour ♥

carolinemarie78 dites Caro (enfin il paraît) est une menuisière, non une menuisier (un menuisier ? merde je sais pas du coup, mais mon correcteur orthographique n’accepte que « une menuisière » ;) ) : dans son atelier, elle dégauchit l'humain avec les mots pour faire transparaître dans les veines du bois des portraits grinçants comme un vieil escalier, rabote de sa plume un plombier misogyne, creuse de son ciseau - oui singulier, un ciseau à bois - des traits de ses characters bien trempés. Elle construit, avec un mélange d'essences exotiques et bien locales, des personnages charpentés, parfois détestables, exagérés, insupportables, niais, touchants, attachants... mais toujours drôles, avec une bienveillance sarcastique. Elle agglomère le tout dans des sculptures de phrases vives, honnêtes et acerbes ! Elle soigne les finitions quand elle a le temps, et passe un coup de vernis quand elle en a envie. Ne comptez pas sur elle pour s'orner de bons sentiments, elle les passe aux broyeurs et en fait des copeaux. Le politiquement correct ? Elle le scie en bûches pour son feu de cheminée !

Plus qu'une menuisier (merde... je sais vraiment pas...) Carolinemarie78 est un.e ébéniste que dis-je !? un.e marqueteur des mots qu'elle fait tourner avec brio sur son établi cérébral.

Des surprises dans les participants dévoilés à ce jour ? Des évidences qui émergent ? Encore plus de flou ?

Hier je n'en avais mis que deux alors voici un dernier pour clore ce lundi ensoleillé :

Assuré de ses principes que la vie s’évertue à déstructurer, Ālغx |préfère l’imaginaire. Au travers de mots un peu maladroits, il aime à dépeindre l’autre monde, celui qui s’affranchi des piliers du notre. Actif quand l’inspiration l’est, il alterne les longues périodes sans écrire et les courtes sessions.

Il aime moyennement le chocolat.

S’il devait en rester une, je choisirai Mina singh.
Parce Mina Singh saura replanter les graines de l’humanité.
Quand l’humanité aura disparu.
Mina est une magicienne des analyses pointues et sensibles.
Mina lit des mots dans les mots, des sentiments cachés, des émotions timides.
C’est une dénicheuse de l’autre, une exploratrice des temps modernes de l’âme humaine.
J’imagine Mina petite et aussi généreuse que ses commentaires.
J’imagine Mina fière de ses rides du sourire.
Avec une longue chevelure brune et lisse.
Si Mina est un mot, il serait alors un synonyme de bienveillance et d’intime,
De corps et de respect, de partage et d’amitié.
Te voila presque mise à nue, Mina.
Il ne me reste qu’un prénom à dévoiler pour te dévêtir.
Je me tairai ici.

Ps : Excuse les mots bâtards que tu m’inspires.
Je ne suis pas douée dans cet exercice.


Ainhoa

La suite du programme vous est offert par Maioral :

Auteur inconnu est un ermite tout doux. Toujours enfermé dans sa caverne, il n'en est pas moins un auteur à la plume sensible et poétique, aux commentaires rassurants et à l'oeil aiguisé. D'un naturel relativement réservé, c'est par ses récits sombres, parfois drôles, tantôt touchants qu'il extériorise tout ce qu'il n'a pas pu vivre lui-même (avec des choses parfois bien chelou aussi, avouons-le). On dit que son thème de prédilection est l'horreur et qu'il adore Stephen King. C'est donc tout naturellement que ses écrits se déroulent pour la plupart dans les années '80 pour faire honneur aux classiques qu'il essaie timidement (ou pas) de détrôner par son esprit aussi tordu qu'enfantin, et ce, malgré les années passées et la sagesse soit-disant acquise.

Auteur du jour, bonjour :

Auteur inconnu, comme tous, est un assemblage de contradictions d’où son pseudonyme : une hélianthe teintée d’obscurité. Elle se pâme devant les sonorités des termes, contemple les liaisons des phrases, caresse les êtres de mots. Comment mieux réciter les ardeurs de l’humain qu’avec cette alliance de lettres ? Auteur inconnu, ou plutôt je m’évertue à disséquer cette bête sociale à l’aide de mes chers outils, mon stylo et mon carnet. Dans cet art méticuleux, je m’applique à émouvoir les lecteurs en leur livrant une part de moi. On a ainsi découvert mes failles, mon attrait pour les mélodies, mes maladresses dues à ma timidité et, dans le texte que j’ai soumis à ce jeu, un fragment de ma liesse.

13 à table !

Un deuxième auteur présenté par Auteur inconnu ♥:

Attention, c’est la fête d’éloges !

La parole est à la défonce :
Figurez-vous que l’animal Gruik se sent proche de Pikachu qui, vous le savez sûrement, est de sexe féminin et possède une marque noire en forme de cœur au bout de la queue. Ça vous donne un p’tit aperçu de notre auteur et poète, quand même.

Certains disent : les opposés s’attirent, et d’autres : qui se ressemble s’assemble.
Tout le monde a raison !
Gruik et moi avons en commun d’admirer Frédéric Dard et Pierre Desproges. Ce qui conduit au rapprochement et stimule mes envies de le lire. Et c’est du bon ! De celui qui offre des rires, des sourires, du vocabulaire imagé et des jeux de mots bien fichus.
La science-fiction, dont il est fan, il la conçoit en mode humoristique. Voyez le sérieux du gars ;-)

Quant aux défis gruikesques – mais où va-t-il les dégoter ? –, ils sont sans aucun doute les plus inspirants, de ceux qui vous amèneront à écrire les plus flagrants délires.

Pour conclure, l’accusé Gruik est coupable de nous amuser, mais son avocat vous en convaincra mieux que moi…

Lundi nuageux, Lundi acte 2 confiné :


"Hallbresses "
J'écris moi même ma bio parce que personne ne me connait assez. Moi même je me connais à peine. C'est dire, je ne sais pas à qui appartiennent toutes les voix dans ma tête.
Je suis une entité qui échappe de loin à ma propre compréhension ce qui peut être dû à mon incroyable bêtise où à mon caractère totalement incohérent. À la fois j'écoute des musiques nightcore avec des voix de filles trop mimi et j'écoute du power metal parce que LE METAL C'EST LA VIE!!! À la fois j'admire les valeurs du communisme et pourtant j'éprouve une grande sympathie pour les monarchistes. Je m'offusque quand je vois un commentaire anti pacifiste sur internet et pourtant je chante des chants martiaux et il m'arrive de déambuler au pas militaire parce que j'aime ça. Enfin, je décris des mondes terribles et impitoyables, alors que mon rêve est de créer un monde de paix et de beauté. Si j'écris, c'est parce que je suis persuadé que la chose la plus belle que je puisse faire en ce monde morne c'est créer un autre monde bien plus intéressant. Pour ça, mon esprit tordu me sert bien.

Et la dernière bio du jour écrite par Renard . :

DLD – dit DD la Malice – a longtemps été mannequin avant de se lancer dans l’écriture. Lui en sont restées cette extrême élégance et cette rare exigence de précision qui rendent ses annotations si précieuses.
DLD a ensuite travaillé dans une multinationale d’import-export d’armements, ce qui lui a permis de rencontrer l’humain au sens large (et étroit).
Ces diverses expériences lui ont permis de développer une grande acuité dans ses observations, mais aussi une exquise humilité couplée à une authentique générosité. Des qualités qu’il met au service de deux types d’écritures : une caméléon, instrument redoutable de son humour de potache débile, et l’autre toute personnelle et variée, pleine d’humour et de tendresse.
D’ailleurs, avez-vous lu La Longue Nuit, en 2 tomes ! - un exemple palpitant de « survival littérature postapocalyptique » (enfin genre). (en vente chez ces salauds d’Amazon.)



LPD :
J'en profite pour vous remercier de jouer le jeu ! Et un un grand merci à ceux qui écrivent les bios ♥

Une deuxiéme bio écrite par Furet on fire :

Née la troisième année du millénaire, la jeune KagomeAohane LaSardine Alcoolique est une jeune et petite, carrément naine en fait, lycéenne qui aime écrire, parler allemand, mais pas seulement ! En effet elle aime aussi boire du rhum, conduire des tondeuses ou encore jouer avec les chèvres naines de son voisin...
Sa vie sentimentale est entre autre pleine de rebondissements et la beauté et la gentillesse surnaturelles de cette sardine n'ont pas tardé à faire tourner les cœurs des pauvres gueux qu'elle aide !

Et de nouveau un auteur pour inaugurer ce dimanche confiné !!

Gigi Fro vu par carolinemarie78 et Grunni :


Gigi Fro est née robot mexicain. Baptisée alors Froideval, magnifique androïde, elle s’est métamorphosée, non pas en un merveilleux cygne mais… en une vilaine tête de canard, auteur de romans policiers francophones à succès. Paradoxes.

Initiatrice du primordial « Tips et Astuces Scribay à destination des nouveaux (et pas très nouveaux) », elle poste, passe, commente, annote, répond aux discussions, échange, anime ! Comment fait-elle ? Robot, disions-nous ! « Au prochain Scribmeet, éplumons le canard, arrachons-lui son bec luisant, et découvrons l’infernale machinerie qui sous-tend toute cette activité », exigent les envieux, qui n’hésitent pas par ailleurs à la trucider en ligne.

— Ouais, là franchement, c’était limite.
— Imagine ! Comment ferait-on sans elle ?
Plus de jeux, plus de challenges ?
Plus d’assassin à consonance germanique ?
Plus de chronique Duckdury ?
— Bon, en fait il n’y en a déjà plus…
— Impossible ! Impensable. Invivable…

Gigi est notre gourou : sectaire, éruptive, impatiente, autoritaire, susceptible, violente, sauvage, vicieuse, frénétique, rancunière, excessive, tempétueuse, colérique… mais surtout : sanguinaire. Car oui, derrière ce masque de canard se cache une déesse avide de viande fraîche, préconisant la mort de vos personnages, n’hésitant jamais à torturer les siens.
Insensible Gigi Fro

— Attends, on peut pas terminer comme ça !
— Qu’y a-t-il ?
— Ses qualités !
— Ah oui, mince, mais pour les deux cents mots maximums ?
— Tant pis ! Tel quel ça le fait pas !
— Euh… Insensible, c’était dans le bon sens du terme…
— Arrête, faut en trouver d’autres, paraît qu’il faut que ce soit une bio assez sympa.
— Tu veux qu’on mente ?
— Non, mais…
— Ok, pondons une fin plus « conventionnelle », si c’est ce que le lectorat veut !

Gigi est notre guide : gentille, bienveillante, intelligente, fidèle, gaie, honnête, ingénieuse, loyale, perspicace, aimable, bavarde, rigolote, vive, subtile, compatissante… mais surtout : attentionnée ! Car oui, derrière ce bec de canard, se cache une fée prévenante, aux conseils avisés et au discret côté fleur bleue.
Indispensable Gigi Fro.

Dernier auteur du jour :

Elle fait 1m59, a les yeux marrons et se traine une famille nombreuse. Ses frères sont importants, la nature aussi tout comme les développements de sentiments profonds. Elle partage ses souvenirs d’enfance et ses réflexions intimes. Je ne lui connais pas de personnages. Ils n’ont pas de noms, pas de visage, mais ils vivent sous sa plume, transpirent quelque chose de plus fort qu’un simple patronyme.
Elle aime les italiques, boire du thé emmitouflée sous une couette avec un bon livre, un vrai de vrai, avec des pages qui se tournent, se cornent et s’usent. Elle crie j’adore quand elle adore et je ne n’aime pas quand elle n’aime pas. Elle râle (beaucoup) pour une consigne non respectée, débusque les fautes d’accord, s’acharne sur les mots qui ne veulent pas venir à elle.
Elle est comme ça 6_LN, entière et imparfaite mais parfaitement droite dans ses bottes. Moi j’la botte 6_LN. J’la botte même beaucoup. ♥

Ps: les "elle" doivent être en italique !

Ainhoa

Dans la foulée, je vous présente aussi un nouveau venu déjà très actif sur la plateforme Auteur inconnu :

Jeune auteur vieillissant ou vieil auteur débutant, il a une imagination foisonnante allant de l'horreur crasse à l'amour guimauve en passant par tous les genres. Peu de textes, ici, pour vous donner une idées mais il espère bien que cela va changer.

Un nouvel auteur tout fraîchement débarqué sur Scribay Auteur inconnu :

Tout nouveau tout neuf ici, ma plume l'est tout autant. Pour l'instant je m'escrime à respecter mes laçons de CP, pas simple à mon âge.

J'aimerais arriver à donner vie à ses idées qui me trottent dans la tête, dans des formats courts, mais pour l'instant la technique m'échappe, je l'apprends. Autant dire que mon style l'est également, court, direct, tout comme mes lectures quotidiennes en rapport à mes activités professionnelles.

Mes premiers mots publiés m'enseignent déjà que je dois diriger un peu plus le lecteur ; un réel travers qui me vient de la rédaction de textes chantés où la musique vient participer. Un passe-temps que j'affectionne.

Bio écrite par Gigi Fro :


Grunni est un volatile facétieux. Il a réussi à berner tout son lectorat (3 braves gens) pendant l'écriture de son premier roman (interdit aux enfants) : "Une aventure du Capitaine Borgne". En se faisant passer par un canard asexué, il avait laissé courir la rumeur comme quoi c'était une cane. A la surprise générale, il a fait son coming out lors du chapitre final de son premier opus.

Son style est mordant, sadique, prolixe, verbeux, superfétatoire. Ses dialogues sont ampoulés et tordants d'humour. La mauvaise foi de ses personnages finit toujours par ressortir. La plume de Grunni vous fera voyager : vous prendrez le même nombre de chapitres à traverser les océans en quête d'un trésor que de voir 2 personnages descendre un escalier.

En tant que lecteur/annotateur, il est l'as de la détection des espaces "mangés" par les scribouillards gloutons, oui, ces petits espaces avant un point d'interrogation ou d'exclamation. Enfin, son humour "noir-mais-gentil" est sa marque de fabrique.