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Pensia Hisaka

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Pensia Hisaka
Changer à quel prix ? ( Interdit aux moins de 16 ans )

Dans ce monde, des personnes peuvent tuer par amour comme une jeune lycéenne réservée au Japon. Elle qui n'avait jamais rien ressenti. Un homme va la métamorphoser en une humaine pleine d'émotions et de sensations. Cette jeune fille va aussi découvrir les plus obscurs secrets. Qui ont été accomplis avec oeuvre.

Est-ce une yandere ?
Va-t-elle réussir se qu'elle désire ?
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Défi
Pensia Hisaka
Défit "Ce n'était qu'un détail"
Lancé par Beleg Doriath

Bonjour,

Dans ce défi, je vous propose d'explorer la redécouverte des choses qu'on à tendance à oublier au cours de notre vie effrénée. Ce peut être la douce impression de chaleur qu'on ressent en buvant une tisane, la sensation d'une légère brise qui caresse notre visage, ou la reprise d'une habitude des temps passés.

Je ne place aucune contrainte sur la forme ou la taille de vos réponses.

Dans l'attente de vous lire,
Beleg
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Pensia Hisaka
Les âmes de la nature vont se faire interviewer par une magnifique Fée Émia. Son objectif est d’apprendre et grandir avec les expériences qu'elle va créer.
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Défi
Pensia Hisaka
Petit défi sur les pléonasmes, pour réussir à ne plus en mettre dans nos textes, réalisons un exercice où il faut mettre et utiliser ses pléonasmes afin de les connaitre et de s'amuser un peu !

Il n'a pas de genre ni de style littéraire imposé. À vous de jouer !

Il faut 10 mots maximum. ( sauf en cas de style particulier, comme par exemple le Haïku. Il faudra juste le Nommé dans le titre ou à la fin)
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Pensia Hisaka
Les zombies existent. Vous êtes des cadavres. Vous êtes des cannibales. Vous êtes une secte. Je suis toujours vu comme une caméra. Mais je comprends. La beauté de votre châtiment. C'est le dernier acte de l'opéra. Mes écrits et ceux des autres, Sont les témoins de la destruction humaine. La pluie de trafiquants d'esprit est diluvienne. La haine a trouvé ses apôtres. Les goûts de la mort. Le noir des prédateur. Les extrêmes sur leur support L’obésité morbide libérateur Et les podiums de maigreur incolore. Les vêtements quotidiens, de fantômes et de soumission. Des visages codés maintien, L’unification et le fouet de la punition. Des villages mimes de magouilles. La royauté de l'industrielle. Des attaques vicieuses. Du savoir mit sous silence. Vous espérez d'y croire. Mais sur le mauvais territoire. Sans vie c'est la non-existence. La substance de vie est la seule providence. Devant nos yeux elle accroît. Cacher par l’intransigeance, De vos méninges adroit. Les plantes sont notre unique luminance. Croire c'est déjà artificiel Nous n'avons pas besoin D'être convaincu par la lumière. Elle pousse sans possession. Au contraire le factice, A besoin d'espérance. Pour nourrir une peur aplat
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Défi
Pensia Hisaka
Mon miroir est devenu mon meilleur ami et remplie ma vie de bonheur ! Lisez pour savoir comment ! ;D Le texte vous donnera la pêche !
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Défi
Pensia Hisaka
Aujourd'hui c'est slamothérapie, Je ne serai pas un slameur de rêve. C'est un chemin pour devenir une reine. Qui commence dans une boîte noire. Non, pas un tunnel, pas route, pas sortie. Nous voyons rien, ils veulent qu'on soit aveugle. De ma naissance à mes 22 ans, Dans ce carré noir, immense et minuscule. Aux limites des violences, d'ignorance, de rien, d'être la faute de tout, d'objet, de nul, de punching-ball. Ses façades de merde, que je dois croire. Mais pas leur violence vicieuse et mesquine. Faire le contraire vous sauvera. Mon début vie, Fait 2 sons, " P " et " N ", acronyme de Perversion Narcissique. Un trop jolie ensemble de mot, pour énoncer, des monstres pour toujours assoiffés. Même s'ils ont tout à disposition. Je ne savais même pas, qu'on pouvait, être une caricature des recherches spycologiques. Pour pouvoir cocher toutes les cases, c'est exceptionnel ! Chez eux, pas limite. Ce métamorphe éluder, Qui crée à ses victimes, non, sa victime, ou quelques victime. Peu mais ils choisissent bien. PN aime nos atouts et en déteste d'autre. Alors ! Ils enferme. Petit à petit dans un cube Sombre, étouffant, écrasant, lourd, poignardant. Des coups passives agressives, et parfoi
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Défi
Pensia Hisaka
C'est un défis avec le thème " fait moi peur ! "

Voici l'enfer d'une famille Toxique !
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Pensia Hisaka
Libre comment... ?
Libre mais... ?
Tout se voit mieux que sur le Port-Salut !
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Défi
Pensia Hisaka
J'ai choisi la musique "Loin" de Nuit Incolore qui fait de la pop triste. Dans cette musique, il parle de ses origines vietnamiennes et de son adoption en Suisse. La musique est très touchante et me donne juste envie d'écrire une petite histoire. lien : https://youtu.be/pmaN0u8WExo Instrumental au piano : https://youtu.be/z2IWhUkA-44 _______________________________________ PERSPECTIVE Ce petit garçon court dans sa campagne avec ses amis et ses copines. Devant les yeux émerveillés de ses parents. Les sourires, les rires, les blagues et les câlins jaillissent. Leurs motricités mises à rude épreuve façonnent la vigilance et l'enchantement de leurs parents. Les voir grandir dans leur confiance et leur liberté est le plus grand bonheur de leurs guides. Une photo dans ma main et des visages souriants en face. L'union de cette enfant et ses parents est brillante. Leur ressemblance est éclatante et pure. Leurs âmes dans cette aventure sont accordées comme un puzzle. Des pièces différentes qui s'harmonisent. Ils émanent le même sourire, la même chaleur, les mêmes mimiques, le même don de joie à l'autre et la même gratitude. Cependant ce petit garçon, en grandissant, ne verra que sa différen
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Pensia Hisaka


Une forêt entourant une terre. Une terre nue, marron et bosselé. Un vent froid m’entoure, moi au chaud dans ma robe, collant en laine et mon manteaux noir. Puis avec mon ruban noir aux rayures orange décor mes cheveux bouclé qui tombe, je suis prête à traverser et me recueillir sur cette terre.
Je marche, cette terre déchirée, pourrie et dégoulinante. Au millier d’âmes mortes et torturées. Aux cris des souffrances, la famine, de la saleté qui gratte et pus, de la peur de l’ennemie, non, des balles, des bombes, des gaz, des lames et le tire du chef et la censure de l’Etat, mais qui est mon ennemie ?
Venez chercher ses fantômes meurtris ou soulager de périr. Les trouver est plus simple que dans une maison hanter. Venez découvrir des sensations fortes et réelles qui ne devraient pas exister.
Vener, vous allez sentir la sueur, la pourriture des corps mort, des cris d’agonies, du sang qui s’écoule mouille la terre et en fait son odeur. Cette atmosphère d’extinction, me fait courir entre les cadavres, ramper dessus, leur dépouille en purification donne le haut de cœur.
À quoi ça sert ? Pour protéger le pays, ma femme et ma famille ? Est-ce vrai ?
Moi humain destiné à être une arme et un bouclier, mon esprit et mon corps devient un objet sans intérêt, pas cher et reconfectionné, utiliser en poule pondeuse, livré des enfants mal nourrir pour mourir. La ronde est fermée. La hiérarchie nous tue, nous laisse, nous affame.
Le stress, la peur, nous collera toute notre vie, si je survis à la puanteur de la saleté, aux maladies, aux balles, au manque de toilette et de douche, au manque de nourriture, au manque de sommeil. Tout ce qui comptais, c’était de gagner pour quelqu’un qui étais protéger et avait le sourire. Et quelqu’un qui ne comprend pas la valeur de la vie.
Nous sommes de la chair à canon, des mannequins pour l'expérience militaire et médicinal. Nous apprenons à mourir moins vite et à tuer des gens. Nous apprenons à fermer nos gueules, nous apprenons à souffrir en silence.
Aux champs de bataille, nous ne voyons pas les douleurs des femmes et des enfants à part ceux qui parte à la guerre pour quelques jours. Nous ne voyons pas les tortures civiles, les résistants qui se font fusilier pour nous libérer de cette terreur et des civils exécutés injustement, devant tout le monde. La peur triomphe, la peur manipule, et maintenant, ils nous font peur de quoi ? Le manque de savoir triomphe, le manque du vrais savoir manipule, et maintenant ils nous manquent quel savoir ? Ils nous aveuglent, nous piègent.
Cette terre dépérie, cette terre ou l’humain ne comprend rien, cette terre de souffrances infinies, cette terre à l’odeur de pourriture infecte qui nous fait vomir, nous nous mangeons socialement, nous nous mangeons ! Ces violences et ces tortures !
J’écris pour toutes les âmes.
Marché dans cette terre, voir et ne pas voir, ressentir et ne pas ressentir, la souffrance de la guerre et de la violence. Et ces pays et des groupes qui ne cesse pas les affrontements. Moi, j’aurais banni les armes, les militaires pour le monde entier. Moi, je dirai la vraie santé, moi, je dirai la vraie nourriture. Moi, j’aurais vraiment arrêté la violence avec la puissance des ordres de l’État ! Un pays, des pays qui nous massacrent encore ! Et encore, pour certaines bonnes causes qui ne le serrons jamais et nous rend encore comme des objets sans réflexion et intelligence qui doit obéir.
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Défi
Pensia Hisaka
Sous ta fonction, s'emploie la diversité. Yeux de séduction, aux regards attentionnés. Nous avons l'intention et la volonté de la beauté. Offrir notre affirmation, pour dédier Notre opinion et les sentiments aux avis opposés. Yogi et le sage font l'abréviation de la vie, pour la faire briller et la faciliter. Mots créent la diversion, ces différentes appellations pour nous enlacer. Exhibition est le spectacle des réservés. Songe l'ange protecteur, la répétition comme l'écho va s'égarer.
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