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Angel

Angel
Natacha, 23 ans, est informatrice dans une agence de détective privé. Elle va infiltrer le lycée Saint-Sauveur, lycée qui serait au coeur d'une affaire sordide...
Elle y rencontre Jonathan, 19 ans, jeune homme au passé mystérieux qui, comme elle, a intégré l'établissement en cours d'année.
Une forte attirance se crée entre eux, un jeu de séduction qui pourrait les mener à leur perte. Une passion, une idylle que leurs secrets respectifs mettront à mal.
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Angel
Aujourd'hui, je fête mes dix-huit ans... Seule... Je n'ai ni famille, ni ami...
Tient... Une lettre...

Lorsque Yona ouvre cette lettre sa vie bascule : nouveau nom, nouvelle maison... nouveau monde...
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Angel
Minami représente tout ce qu'il aime chez une fille... jusqu'à ce qu'il rencontre son jumeau...
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Angel
Tristan vient de vivre trois années de cauchemar. Trois longues années.

Il se retrouve catapulter dans une famille d'accueil où il tente de se reconstruire.

C'est sans compter la présence de Rey...
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Angel
Issue de nos légendes réunionnaises, je propose une réinterprétation du récit tout en gardant le fond de l'histoire. Il ne s'agit pas ici de religion mais bien d'une partie de notre patrimoine.

Mario, esclave battu par son maître, décide de s'enfuir accompagné de son cadeau de baptême : une petite statuette de la Vierge, sculptée dans de l'ébène...
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Angel
Recueil des idées et autres rêves que j'ai pu avoir...
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Défi
Angel


Décembre 665. Mon père vient de mourir. Je suis effondrée. Comme je viens de devenir une femme selon ma nourrice, je n’ai pas le droit d’assister aux funérailles. Je ne comprends pas vraiment ce que cela veut dire « devenir une femme ». Il est vrai que ce matin en me levant j’ai eu une immense frayeur : mon lit était ensanglanté. J’ai hurlé, croyant que j’allais mourir à mon tour. Dalya, ma nourrice donc, m’explique que cela est normal que le sang sorte par « là » à mon âge. J’en reste sans voix. Ma mère en l’apprenant a viré au blême et m’a prié de retourner dans ma chambre jusqu’à nouvel ordre.
Une semaine plus tard, Dalya m’apprend qu’un mariage de convenance va être célébré. Ma mère, plutôt que de nous enfermer dans un couvent, préfère prendre un second mari. Il est vrai que deux femmes ne peuvent vivre seules dans un château : cela n’est pas convenable.
Nous emménageons dans notre nouveau chez nous, à des kilomètres où j’ai grandi. Le château du compte Nocturna est aussi sinistre que son nom : immense, gris à la limite du noir avec des immenses meurtrières. Il n’y a aucune fenêtre qui perce cette muraille.
Il doit faire bien sombre là-dedans.
Effectivement. En entrant dans le château, je me fais happer par la nuit. Le majordome me conduit à mes appartements. Il est aussi noir que son maître. En passant par un énième couloir, je remarque une immense fenêtre noire, entourée d’un rideau pourpre, maintenu par une corde dorée. Intriguée, je m’arrête.
Il n’y avait pourtant aucune fenêtre sur la façade.
« Je ne m’arrêterai pas ici si j’étais vous mademoiselle. Cette fenêtre n’est pas ce que vous croyez. Je vous conseille vivement d’en oublier son existence. »
Ses paroles me glacent les sangs. Dalya n’est plus là pour me soutenir : elle a été congédiée. Une nouvelle servante m’a été attribuée mais elle ne me convient pas. Froide, distante et blanche comme la craie, elle ne laisse voir aucun de ses sentiments et ne dégage aucune chaleur.
La fenêtre continue de m’intriguer. Je n’arrête pas d’y penser. Pour me la sortir de la tête, je pars à la recherche de la bibliothèque du château afin d’y trouver un peu de lecture. J’y trouve la généalogie de la famille Nocturna. J’y jette un œil curieux.
« Ma filiation vous intéresse-t-elle ma chère ? »
Je sursaute. Je n’ai pas entendu mon beau-père s’approcher de moi.
« - Bonsoir, Monsieur le comte. Pardonnez-moi… Je… Je ne vous ai pas entendu entrer…
- Ne vous excusez pas belle enfant. Je vais vous épargner de la lecture : je suis un descendant direct de valeureux chevaliers qui ont combattu les ténèbres par les ténèbres. Non. Soyez sans craintes… ne tremblez pas devant moi, je suis votre protecteur après tout… »
Il rit. Ce son me fait froid dans le dos. Son sourire est pourtant beau et son visage avenant, malgré la cicatrice qui lui barre la joue gauche. En regagnant mes appartements, je passe devant la fameuse fenêtre. Je m’en approche et tend la main vers elle. Elle est soudainement saisie par une autre étrangement forte et glacée. Le comte me regarde d’un œil froid avant de m’interdire d’une voix caverneuse de toucher à cette fenêtre, à moins de vouloir y laisser la vie.
J’ai peur. Je hoche lentement la tête, ayant perdu mes mots. Son regard s’adoucit, il me lâche. Je fuis vers ma chambre et m’y enferme à double tour.
Nous sommes le soir du réveillon de la nouvelle année. Nous sommes à table et mangeons en silence un festin digne de rois. Un ménestrel est venu agrémenter la soirée de sa jolie voix. Je l’écoute d’une oreille distraite. Le majordome se penche vers moi afin de me proposer du vin rouge que j’accepte avec un plaisir non dissimulée. Je le vois qui sourit en me versant le breuvage.
J’en bois une gorgée, il est acre. Il me brûle un peu l’estomac. Je n’en ai bu qu’une gorgée mais voilà que ma vue se brouille et que ma tête se met à tourner.
Je me sens balloter. Il semblerait que quelqu’un me porte. Père ? Non. Père est mort il y a un mois déjà. Et puis ce n’est pas son odeur : celle-ci piquent le nez comme de la cendre ayant reposé longtemps dans la cheminée. Ses mains sont anguleuses, ses doigts entrent dans ma chair comme des ongles acérés. Je l’entends rire tout bas…
« Seigneur Noir, j’arrive… Je vais vous ouvrir… J’apporte la jeune fille… »
Que se passe-t-il ? Je n’arrive pas à bouger. J’entrouve les yeux… Je suis devant la fameuse fenêtre noire…
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Angel
Rey a fini par réaliser la teneur de ses sentiments pour Tristan, seulement... Après avoir été rejeté, Tristan disparaît. Sans laisser de traces...

Six mois plus tard, le commissaire Hérault appelle la famille Renaud. Tristan est bien vivant mais... amnésique. Sa mémoire est une page blanche.

Que s'est-il passé durant ces six mois ?

Se souviendra-t-il de son amour brûlant pour Rey ?
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Défi
Angel
Oum, déesse de la beauté et de la sensualité, a conscience de ses atouts. Elle est belle et elle le sait. Parce qu'elle a séduit Zénide, Dieu suprême, elle fut bannie par sa femme, Irina.
Elle s'est juré vengeance... Mais voilà qu'Irinéide, fils de Zénide et d'Irina, veut faire d'elle sienne... Et renverser ses parents du trône suprême...
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Défi
Angel

J'ai tellement envie de le câliner... Mais je sais que si je m'approche trop, je ne pourrais pas résister à la tentation...
Cela fait un peu plus d'un an que je le connais. Notre rencontre fortuite a chamboulé énormément de choses dans ma vie. Un élève se faisait passer à tabac derrière la batiment et je l'ai vu appeler de l'aide de son portable, n'osant pas intervenir lui-même. Je lui ai donc donné ce que j'avais dans les mains et y suis allé à sa place. Lorsque ses yeux ont croisé les miens, j'ai signé ma perte. Depuis, je veux tout savoir de lui : ses goûts, ses joies, ses peines, ses secrets.
Je me suis donc intéressé à sa passion : les BL*. Pas que ce soit un domaine qui m'appelle mais si cela vient de lui, je ne peux pas passer à côté : c'est une manière pour moi de le voir chaque jour, d'avoir un sujet de discussion déjà préparé...
J'aime avoir des moments avec lui, seul à seul. Il n'aime pas que les autres sachent son amour secret pour les BL, seuls quelques personnes assez proches de lui connaissent ce hobby, bien qu'ils ne le comprennent pas forcément. Nous pouvons en discuter pendant des heures : j'aime sa façon de décrire certaines scènes comme celle des baisers. C'est tellement sexy que je rêve de pouvoir lui faire la même chose. A mon tour, j'adore lui parler des sensations que j'ai lorsque je lis les passages plus hard des mangas. Ses joues s'échauffent et ses yeux se plissent : il devient alors une arme de destruction massive pour mon coeur...
Presque inconsciement, je lui ai déjà avoué mes sentiments en me servant de différentes scènes trouvées dans ses mangas : elles sont tellement mignonnes et très suggestives... impossible de ne pas les utiliser ! Je ne sais pas si mon message est passé... En tout cas, il rougit à chaque fois et j'adore voir son visage aux traits si fins se parer de cette couleur magnifique...

Mes camarades de classe me demande ce que je trouve à cette lecture et surtout pourquoi je m'y suis mis !
- L'amour entre mec ? C'est dégueu !
Cette phrase m'a presque choqué... Du moment que les sentiments sont sincères que l'on soit hétérosexuel ou homosexuel, qu'est-ce que cela change ?

Depuis que je sais qu'il habite à une station de train de moi, nous rentrons souvent ensemble, en faisant parfois un crochet à librairie en quête de nouveauté ou de la suite d'une série. Assis côte à côte, mon coeur ne cesse de battre la chamade mais je ne laisse rien paraître et lui sourit comme si de rien n'était.

Un soir, dans la librairie, nous croisons un couple : le garçon a la main délicatement posée sur l'épaule de sa copine, la serrant affectueusement. Je les regarde sûrement avec envie mais lui ne les voit pas, absorbé qu'il est dans sa recherche.
Lorsqu'il a fini, nous nous dirigeons vers les caisses. Je tends le bras afin de le poser moi aussi sur ses épaules... J'y suis presque... Mais je me ravise à la dernière minute... Serrant le poing de frustration...
Non... si je le touche... je...
- Tout va bien ?
Sa voix me sort de mes pensées. Ses grands yeux innocents se lèvent vers mon visage, légèrement teintés d'inquiétude. Mon coeur sursaute dans ma poitrine et je sais que je rougis à cet instant précis. Je détourne le regard en marmonant un oui un peu timide, ce qui ne me ressemble absolument pas ! Il pose sa main délicate sur mon avant bras, incline la tête légèrement sur le côté avant de me sourire.
- Bon... Allons-y alors !
Nous repartons vers l'arrêt de train. Le soleil se couche : le ciel a la même teinte que mes cheveux. Je me tourne vers la vitre. Mes yeux verts transpercent ceux de mon reflet avant de descendre vers la personne assise près de moi. Ses cheveux noirs se balancent doucement et ses beaux yeux dorés se sont fermés. A demi endormi, sa tête s'est posée sur mon épaule.
Je déglutis.
C'est peut-être le moment idéal...
J'approche mes lèvres de son visage... Doucement...
- Je t'aime.
Ses yeux s'ouvrent au moment où les paroles sont sorties et où la sonnerie de mon arrêt retentie. Je me lève.
- Sempai ? Tu...
Ma carrure assez imposante se tient alors devant lui. Je lui souris avant de me diriger vers la sortie, d'un air nonchalant.
- On se retrouve à la rentrée.
Je lui fais un clin d'oeil et sors de la rame. Je sais qu'il m'a entendu.

Oui. Je suis un lycéen qui en aime un autre.

* Boy's love
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Défi
Angel
J'avais 17 ans... J'étais follement amoureuse bien que la plupart de mes amis ou même ma famille ne comprenait pas mon choix. Oh... Pas qu'il était plus vieux... Simplement, on me qualifiait de jolie fille : grande, svelte, avec une humour assez décalé ! J'étais fière de mon corps, bien que je n'avais pas de poitrine, ma taille 36 attirait bien des regards. Envieux, jaloux mais aussi charnels... Mon petit copain était à l'inverse de moi : avec ses presque 100 kilos, personne ne comprenait mon attirance pour lui. Pourtant... Pourtant, je l'aimais. J'aimais son sourire, sa façon de se moquer de moi, son instinct protecteur parfois même un peu trop jaloux... J'aimais notre différence : lui, noir, moi, blanche, lui, obèse, moi, toute mince. Nous allions fêter notre première année ensemble. Il connaissait ma famille et moi la sienne. Je passais l'essentiel de mon temps libre chez lui et quand j'étais au lycée, il n'hésitait pas à bâcher les cours, juste pour venir me voir. Notre couple attirait bien des regards. Même les plus malveillants. - Hey ! Cafrine ! Qu'est-ce que tu fous avec ce gros tas ! Tu mérites mieux ! Combien de fois j'avais entendu ça ? Je mieux ? Qu'est-ce que tu en sai
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