Décembre 1851


Dès l’annonce du coup d’état du Prince-président Louis-Napoléon-Bonaparte, le Var se soulève. Jean-Thomas, fils de viticulteur, est le porte-drapeau de la petite troupe de son village, Saint-Martin. Après la défaite d’Aups, le jeune homme est contraint de quitter sa Provence natale. A son départ, il promet à sa mère agonisante de retrouver son frère aîné, qui a fui en Californie quatre ans auparavant.

Le voyage est long, dangereux et incertain. Sur sa route, il rencontrera de nombreux individus hauts en couleurs. Au fin fond du monde, retrouvera-t-il son frère ? Et, plus important encore, saura-t-il lui pardonner ?

Marseille ,Paris, L’Eldorado…
devenir quelqu'un
fortune faite
Revenir au pays
les poches cousues d'or
comme ce vieux roi d'autrefois
qui s'appelait... Ullysse


Tome 3 de ma trilogie
La vigne de Rubia

Comment Etienne
est entrée dans la vie d'une influenceuse ( mais pas que !)

Alors Etienne, ces voeux ? le dernier, c'était à quatre pattes, sur le dos et par la porte de dérriére, tu vaux mieux que ça Etienne ! Euh, Arrete avec ce Euh! Je réfléchis, je n'en ais pas le droit, je peux te carresser pendant que je réfléchis à mes voeux... Euh! oui , bien sûr ! Alors Etienne, l'air pensif termina de se dépoiler, il prit son temps, Clochette qui se caressait le minou pendant ce temps le regardais d'un air pensif: Quel nigaud cet Etienne, il réfléchis pas vite ! Etienne déposa ses deux mains, tout prêt du doigt explorateur de la jolie rousse, elle le regarda interloquée Finalement, il n'est peut être pas si c...Oh, ah ! Il jouait maintenant à l'eplorateur lui aussi, il n'était pas gauche, il trouva tout de suite le point G Elle arracha sa main, celle d'Etienne de la grotte humide...enfin, humide, inondée plutôt ! elle poussa rudement le démonteur de roue , il tomba sur le dos, sur la peau de bête devant la cheminée, elle l'emjamba, et haletante dit : A....préees çaaaa, tuuuu me dooooonne tes T...trois .....oh , oui oui oui oui ..... j'arrivvvvve oui Ouiiiiiiiiiiiiiii ! oh c'est boooooon ! La tête en arriérre reversée, un brin de bave au coin de la bouche l'oeuil

Jean Thomas lui souriait, l’avenir était à eux !
Hier, il avait posé la question à Maureen .
— Tu es sûre de vouloir aller au bout de ce pays, de traverser des déserts, des montagnes que tous semblent craindre…
— Nous n’allons pas faire marche arrière, juste parce que deux, trois, timorés, ont peur de quelques sauvages et d’une sierra. En Angleterre, les aristocrates ont pris l’habitude de faire un petit voyage après leurs mariages, généralement c’est Nice, Florence, Venise… Nous, ce sera la traversée de l’Amérique en chariot, notre périple à la mode anglaise. Tu ne pouvais pas m’offrir plus beau voyage de noces ! Nous irons bientôt nous baigner dans l’océan pacifique.

Comme Madame Julie ne répond pas au défi qu'elle a elle même postée
je vais peut être l'aider !

Le soleil, la chaleur, la mer....

Le professeur ne le savait pas, ce n'était pas lui qui aurait le dernier mot.
Ni cette étudiante si jolie, qui le poussait, d'un sourire, d'une minauderie, jour après jours dans ses retranchements.
Son regard fiévreux le poursuivait partout au travers des murs de la ville.

L'amour s'en foutait de lui, d'elle, quand il l' aura décidé, que ce sera le bon moment...
ces deux êtres de chair et de sang uniront dans un même lit les cheveux noirs, les cheveux gris.

Mais, d'ici là, de l'eau coulera au pied des séquoias et des douglas, des hautes falaises du pacifique et des vastes banquises du grand Nord, sous le Pont Neuf et sous le pont vieux, à Paris, Vancouver et Anchorage !

J'étais tranquillement installé sur mon canapé, c'était un dimanche soir je me souviens. j'en avais marre de poster des textes bizarre . Je bouquinait, il me semble ! J'entend sonner, je baisse la musique, oui c'est chez moi que ça sonne. Je regarde dans l'oeuilleton, qui vient m'inportuner à cette heure indue, je n'attend pourtant personne. Une charmante brune aux formes sculpturales attendait devant ma porte, la bouche soudain sêche je m'intérrogeait ! Elle a dû se tromper, mais, une fille pareille, ça ne se laisse pas dans le couloir. Comme disait Gusse, comment il disait déjà ce con de bronzé, mais si le petit chauve, planté d'baton...Rooo, jean paul Dusse ! La sonette retentit à nouveau, elle insiste... Les mains moites j'ouvre ! Bonjours Mr Etienne ! D'où elle me connait celle là, elle a un accent pas trés...je dois me méfier ! Bonjours, mr Etienne, je me présente, je suis Irina, je suis l'infirmiére qui a soigné votre ami ! Un ami, quel ami ? Capitaine, non, Colonel, Non, Sergent, oui c'est ça Sergent Oui, il est mort ? Non, non, il a cru que, mais non , oh je ne vous cache pas, vous n'étes pas son premier choix... Ah ! Qui est ce Capitaine, je suis un brin antimilitariste v

J'avais encore crevé, ça faisait la deuxiéme fois cette semaine. Bon ce n'est pas grave, je suis Etienne, le roi du démontage de roue. Dans le coffre du véhicule, il ya le fameux cric de compette avec la croix qui va bien et....Pas de roue ! La galette était montée à l'avant gauche et je n'avais pas eu le temps de passer au garage . Bon il me faudra téléphoner, que je cherche une dépaneuse, je m'apprétais à rester de longues heures dans ce coin glauque où mon portable ne passait pas ! Ah si j'étais une femme !Je n'aurais qu'à montrer un bout de cuisse, mettre un peu de camboui sur le troisiéme bouton du petit chemisier blanc.. Quand soudain....Un camion s'arrête ! un routier en sort, entre Sébastien Chabal et Teddy Rinner Quelle horreur !C'est quoi ce truc ! Jamais un routier ne s'est arrété... j'ai une tronche de... Il sort de son bahut, en roulant des mécaniques, il était l'image même du macho, bon d'aprés certaines j'étais pas mal non plus...Mais lui, c'était une caricature. Alors ma beauté, on est en panne ! Mais, c'est quoi ce délire? Je vais répondre que je n'ai besoin de rien, que tout va bien, fierté masculine mal placée oblige... Une petite voix fluette répond pour moi ! A

Dans une montagne...vivait un homme heureux
tranquille, peinard !
mais...

Je m'apelle Trichnephila Clavata, Mais, on me surnomme Joro ! Selon la mythologie Japonaise, je me nourrit de jeunes hommes séduisants Mais je suis innoffensive, enfin parait-il !

Je me levais en catastrophe ! Je le savais, ils venaient de me découvrir...je devais fuir ! La bibliothéque était en feu ça aussi je savais que ! Non, je ne savais pas qu'ils seraient capable de le faire ! j'entrais dans le brasier...ils ne viendraient pas me chercher ici ! bien entendu, non seulement le fumée brulait mes poumons, mais la chaleur était insupportable il n'était plus là que m'étais -je immaginé ? j'étais piégé dehors: eux ! A l'intérieur de la médiathéque , le feu ! je dois sortir, sauver ma peau, l'humanité peut-être ! La suite, lundi...