Un recueil de poèmes avec milles et une émotions qui j'espère vous atteindront.

Sous le ciel étoilée,
Siège de toutes les pensées,
Je laisse mes souhaits s'envoler,
Dans la voie lactée, s'envoler.

Satis Anomalia

Quand les gens te jugent sans remords,

La masse te dit : " Tais toi et souris",

Quand les gens se croient supérieur et fort,

La masse te dicte:"Tais toi et souris".



Quand tes larmes s'avalanchent,

La masse te crie: "Tais toi et souris!",

Quand tu souhaites être franche,

La masse te dit : "Tais toi et souris".



On te dis que :

Si tu veux être accepté(e),

Il faut suivre cette masse,

Mais les personnes avec le plus de valeurs,

Sont celles qui n'obéissent qu'à elle-même,

Qui pleurent, qui rient, qui crient,

Quand elles en ont envie, 

Qui vivent comme leur dicte leur coeur.
Satis Anomalia

Tu me rend folle,
Tu me fais perdre patience;
Toute ma joie s'envole,
Quand j'attends ton message inexistant.

Je ne pense qu'à tes bras,
Comme sil n'y avait que toi,
Je pleure sans raison,
Ou peut être à cause de ton manque d'attention.

Tu n'es pas à moi,
Mais je n'attend que ça,
Que tu vois enfin,
Pour toi mon amour sans fin.

Quand vas tu comprendre que je t'aime.

Les regrets m'emportent,
La culpabilité frappe à ma porte,
Je ne peux plus revenir en arrière,
Je ne peux pas te redonner ton air.

J'étais hors de moi,
Je ne respectais plus aucune loi,
La colère et la tristesse contrôlaient mes gestes,
Je t'ai rejetté comme la peste.

C'est arme en main,
Et ton corps vide de vie,
Que j'ai regretté demain,
Que j'ai perdu toute ma vie.
Satis Anomalia.

Je souhaite faire des études pour devenir libraire, et mon fantasme est en rapport avec ceci, je vous laisse avec la description de comment celui ci se passerait ( pour la raison que si la personne passe par là, elle se reconnaîtrait je ne fais pas de description physique sur l'amant) :
Il est 21 heures, je vais bientôt fermer la librairie. Un dernier client viens pour prendre son livre, je lèves la tête et vois un ancien camarade de classe à moi : Timéo. Il s'avance et me tend son livre. Je le prends, posant accidentellement ma main sur la sienne. Je frissonne à ce contact électrifiant. Il a dû s'en rendre compte car il fait durer le contact en me regardant dans les yeux. Je me remet à ma tâche qui est de lui vendre le livre et lui tend son achat. Il le prend et me dis d'une voix sensuelle :
" Je vois que tu es aussi belle qu'avant...
Je rougis à ses mots et lui répond pour le défier :
" Et toi toujours aussi dragueur"
Il me lance un regard mi amusé mi agacé, et se penche vers moi, son regard ancré dans le mien.
L'air est tout d'un coup éléctrique et je commence à avoir chaud.
J'ai l'impression que ce regard dure une éternité. Ni tenant plus, je me lance la première. Je me jette sur tes croissants de chairs, et je passe une main dans tes cheveux. Tu me repousses à mon grand étonnement.
Mais tu fais le tour du comptoir tu me prends par les hanches et tu me colles à toi. Tu passes une main sous ma chemise et tu dégraphes mon soutien-gorge. Tu fais glisser ta main dans mon dos en une longue caresse, en me regardant droit dans les yeux. La tension monte, ma respiration s'accélère tendit que tu t'éloignes légèrement pour enlever ma chemise, mon t-shirt, puis enfin mon soutien-gorge laissant mes seins à ta vue. Tu soupires de satisfactions à cette vue, tu enlèves ton t-shirt et tu plaques ton torse contre mes tétons qui durcissent à cause de l'excitation. Tu commences à déposer des baisers le long de mon coup, puis tu remontes jusqu'à ma bouche. Je laisse ta langue se frayer un chemin entre mes dents, pour venir titiller la mienne. Tu m'embrasses de plus en plus fort, puis d'un coup, tu te jettes sur un de mes seins, commençant alors à le suçoter, tandis qu'un léger gémissement s'échappe de mes lèvres.
Tu martyrises mon téton, puis tu fais la même chose de l'autre côté. Mes gémissements deviennent plus fort quand soudain tu te retires rapidement. Je te vois enlever rapidement ton pantalon, me laissant voir ton pénis tendu sous le tissu de ton caleçon. Tu m'enlèves ensuite ma jupe et tu commences à titiller mon bouton de plaisir à travers le tissu noir en dentelle de ma cullote. Tu appuis d'un coup sec me faisant crier de surprise et de plaisir. Tu passes ta main en dessous de la cullote et tu fais des mouvements circulaire sur mon clitoris. Tu appuis de plus en plus fort, faisant des mouvements plus rapide. Je baisse alors ton caleçon, prenant ton pénis en pleine érection. Je débute des va et viens pendant que tu commences à me mettre un doigt. Je gémis doucement puis de plus en plus fort. Tu grognes de plaisir quand je commence à aller de plus en plus vite avec ma main. Tu en fais de même me pénétrant plus rapidement avec ton doigt, rajoutant un autre doigt dans mon antre. Nos gémissements deviennent de plus en plus fort, nos respirations de plus en plus chaotiques. Le plaisir devient plus intense. Tu m'embrasses, maltraitant ma bouche, mordillant ma lèvres.
Je sens mon antre se resserrer sur tes doigt. Le plaisir monte de plus en plus.
Je jouis alors en même temps que toi, mes cries et les tiens étouffer par notre baiser fougueux.
D

Ton regard ancré dans le mien,
Ta main sur ma joue,
Toi qui me connais si bien,
Dis moi à quoi on joue.

Tes caresses sur mon corps,
Les frissons qui me parcourent,
Tu as osé me faire la cour,
Et tu veux que je cries ton nom sous l'effort.

L'amitié revisitée,
Entre mes souffles et tes baisers,
Sueurs d'un soir,
De nos corps serrés dans le noir.
Satis Anomalia.

Si j'avais été,
J'aurai pu marcher,
J'aurai pu parler,
Mais la vie m'en a empechée.

Si j'avais été,
J'aurai pu voir,
J'aurai pu manger,
Je n'aurai pas été aspiré par le noir.

Si j'avais été,
J'aurai pu crier,
J'aurai pu pleurer,
Ma mère, j'aurai rassuré.

Seulement je n'ai jamais eu de premiere heure....
Alors il ne me reste qu'un "si j'avais été".

Satis Anomalia.

Faites comme tout le monde,
Soyez des clones,
Perdez vos neurones.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
~Erratum~
Un jour l'amour viendra....
Qu'il soit fille ou gars.
SAtis Anomalia

Mes émotions valsent sans arrêt.

Elles tournent, courent crient, pleurent, chantent.

Elles me mettent sans dessus-dessous sans que je puisse les contrôler.



Elles me noient dans la tristesse, me plongent dans la douleur.

Puis elles me ressortent de ma torpeur pour me jeter dans le grand bain du bonheur.



Des fois elles enclenchent la machine à larmes.

Où la fontaine à doutes.

C'est un cycle vicieux qui m'emmène aux cieux, aux enfers, au paradis;

Dans milles endroits qui me donne milles rêves ou milles cauchemars.

C'est un cycle vicieux qui fait fuir les dieux,

Et qui attire les démons.

Alors je dis que c'est bon.

J'essaie d'avancer progressivement.

Je vis en pensant.

Je vis en espérant.

Je vis en rêvant.

J'espère être dans le thème ^^
Satis Anomalia

Bien que je ne sois plus une enfant qui est effrayée par les histoires d'horreur.... Je ne peux pas m'empêcher de fermer mon placard qui se situe en face de mon lit avant d'aller me coucher,comme si j'avais peur qu'un monstre ce cache dedans ^^. Autre habitude bizarre, dès que je m'ennuie et que j'ai un bout de papier et un stylo je dessine un symbole, je sais pas d'où il sort mais c'est tout le temps le même que je gribouille...je crois que je suis bizarre...