Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

Atlanto Nat

Manche.
Retrouvez-moi sur Facebook
Défi
Atlanto Nat


Je m'en vais vous conter une histoire qui vient tout droit de mon adolescence.
A cette époque le malheur s'est fort bien amusé à me servir de muse sans m'amuser, m'empêcher de m'assumer, j'étais assommé par la colère d'un homme aisé chez qui je vivais
Chaque jour, en rentrant c'était le même supplice. Le même stress, l'envie de rester à l'école. Je n'aimais pas l'école, mais préfèrai celle-ci à mon chez l'autre, chez qui j'avais si peu d'espace.
Après le dernier arrêt du bus, je devais marcher environ cinq kilomètres pour arriver dans cette maison.
Et comme souvent, le stress provoquait chez moi, une violente manifestation du colon.
Comprenez que j'avais une "courvite", "la coulante", "un glissement de terrain" bref, j'avais mal au ventre.

Sur le trajet, à environ 500 mètres de l'arrêt du bus "le château des Ravalet". Dans cet endroit il y avait des toilettes que j'utilisais souvent en cas de besoin. N'ayant pas véritablement le droit de les utiliser car ne travaillant pas pour le domaine, je m'arrangeais pour être discret et respectueux. Saisissez que je rasai les murs et nettoyais bien derrière moi.
Toujours!
Mais cette fois ci l'envie était.. Violente.
J'entre donc, pressé, par les grandes grilles, traverse le petit pont sur lequel je m'amusai lorsque j'étais enfant. Tourne à droite... L'envie se fait pressante... J'accélère le pas.
Je sens l'envie monter encore d'un cran.
Je ralentis, je ne pourrai pas tenir. Je transpire. Impossible j'ai tellement mal que je pourrai véritablement avoir... un glissement de terrain!
Je marche vite.
Trente mètres me séparent de cette porte blanche mal peinte.
Vingt mètres. J'ai de plus en plus mal, de la sueur sur mon front.
Dix mètres. Plus rien à cet instant n'existe sur terre hormis mes entrailles en feu et cette putain de porte qui n'avance pas !!!
Cinq mètres. Je vais y arriver, mais j'ai atrocement mal.
Deux mètres. Trop tard. Je sens un soulagement m'envahir au fur et à mesure que la douleur se vide.
A DEUX METRES DE LA PORTE!!!
Immobile face à cette porte. Liquide chaud jusqu'aux pieds. Je songe:
"Ca devait m'arriver un jour ça!"
Las, je rentre dans les toilettes.
Choisis une cabine et m'installe sur un trône devenu bien inutile. Riant, (jaune tout de même) je constate que cette cabine n'a plus de papier.
Je change donc de toilette. Une qui à de quoi... Déblayer le terrain.
Faisant de mon mieux, j'enlève mon sous vêtement qui, en première ligne, est dévasté par cet événement. Je garde mon pantalon, parce que cul nu en pleine campagne et surtout en plein hiver, non vraiment je n'en ai pas le courage.
J'enlève mes chaussettes, parce que elles aussi ont était touchées. Garde mes chaussures, parce que je ne me sens pas de marcher pieds nus en plein hiver Normand.
Après avoir littéralement et olfactivement dévasté ces bien belles toilettes, vidé la moitié d'un rouleau et tiré une demi-douzaine de chasse, je me décide à rejoindre mon chez moi.
C'est ainsi, pantalon collant, démarche de canard et fierté perdue que j'ai repris la route.
C'est peut être à cause de mon allure que pour la première fois de toute ma scolarité une voiture s'arrête à mon niveau, baisse la vitre et l'homme au volant me dit en enlevant ses affaires de la place passager:
-Allez Atlanto! monte je te ramène! C'était un voisin. Celui que l'ont connaissait le moins. Si ca avait était Raymonde (Ma voisine que je considère encore aujourd'hui comme ma grand mére), je lui aurai expliqué, elle se serait moquée de moi et nous serions rentrés.
Ca aurait été les deux autres crétins du 16, ils ne se seraient même pas arrêtés... Mais non, ce doit être quelqu'un que je connais peu, mais que je sais particulièrement bavard!
Je bredouille:
-Je... non... j'aime bien marcher après l'école.
Il se met à pleuvoir. Il pleut, comme c'est possible en Normandie: Dru. (il est important que j'ajoute ici, que je ne modifie absolument pas cette péripétie. Ceci m'est véritablement arrivé)
-Non, mais tu vas pas rentrer sous la pluie insiste mon bon voisin.
De parfaite mauvaise foi j'insiste à mon tour.
-Oh vous savez, je ne suis pas en sucre. Je songe: "je déteste quand ma mère me dit ça, Mais c'est pratique parfois"
-Non c'est débile Atlanto, allez monte.
Résigné je lui dévoile la vérité:
-Bon, euh, je suis malade et j'ai disons... j'ai pas su me retenir. Je préfère ne pas salir votre voiture. "Avec lui tout le village va être au courant" Riant le gentil homme sort, d'on ne sais où une serviette. Ainsi donc humilié au point de nécessiter une alèse pour m'assoir, je prend place au coté de mon 'sauveur' amère.
-Ah! mais oui je comprend! souffle t'il en ouvrant énergiquement sa fenêtre.
On est bien d'accord qu'à ce stade je suis juste, sale, puant, rouge et totalement honteux. Il me dépose chez moi. Attend gentiment que je sois rentré pour ouvrir ses autres fenêtres.
Dans cette histoire tout de même un point positif. Personne ne su jamais ce qui m'était arrivé.
Ce bon voisin à la langue bien pendue, garda semble t'il cette histoire pour lui.
5
12
40
12
Atlanto Nat
Je stresse d'assumé mon envie d'écrire et d'apprendre à écrire... Ne sachant au début que faire, j'ai donc décidé d'imager le tout:
Moi (mes peurs, mes doutes) Et vous (vos critiques vos conseils) et ce site.
J'ai conscience de ne pas écrire correctement et souhaite m'amélioré. Je suis là pour ça. J’espère que mes fautes ne vous donnerons aucunes pulsions de violence.
5
11
114
2
Défi
Atlanto Nat

  Au-delà de mes frontières, le vent se lève.
Je l'entends gronder au loin, sur les plaines d'un pays plat où jadis les pas des premiers hommes poursuivaient ceux des premières bêtes.
La-bas, il y a peu, l'eau est venue des mers et a emmené toutes vies des terres.
Son sol en est encore choqué, et bientôt, il souffrira de l'arrachement des racines, emportant un peu de lui en ces vents si violents.
Je le sens aussi en haut de ses montagnes, éternelles, enneigées. Menaçant certains équilibristes de tomber.
Dans ses marécages, perpétuellement inondés. Troublant ainsi, le lointain calme de cet endroit maintenant en danger.
Je l'entends dans ses vastes prairies, menacer d'abattre, l'arbre solitaire, plusieurs fois centenaire.

 Au-delà de mes frontières, le vent se lève, fort, violent, assourdissant.
Invisible main apposera son poids sur mes cimes couchantes.
Invisible force, emmènera dans son élan, mes dunes de trois mètres en avant.
Avec lui, la mer rugira de concert, menaçant ainsi mes côtes autant que mes plateaux.
Combien de fois nous parlerons-nous cette fois-ci ?
Autant de décharges que je hais : pour mes enfants, ces discussions seront risquées.
Pourtant, nous en avons eu ensemble. Nos bébés. Des grands, des petits. Des criards, des gaillards.
Des voyageurs et des hiverneurs.
S'en prendra-t-il aussi à eux ? Résultat de nos amours, si vite fanés.

 Au-delà de mes frontières, le vent se lève.
Je n'ai pas d'yeux pour voir à quoi il ressemble.
Je n'aurais que ma peau pour ressentir les arbres tombés, les animaux terrorisés et les cadavres noyés se poser sur mes berges.
Je n'ai pas d'yeux pour les pleurer.
Je n'aurai que mes rivières pour les abreuver, les rassurer quand tout sera terminé.
Je ne peux, ni ne dois rien faire.
Futur témoin de massacres, futur endeuillé, permanent muet, c'est ma peau qui sera souillée.
Leurs sangs, leurs sèves, leurs lymphes...
J'ai peur.
3
11
34
1
Atlanto Nat
Je prépare les cadeau dans un sac pour me rendre chez des amis et leur donné. Nous ne somme que le 23 Décembre mais peut importe.
Et puis, il y à ce cadeau.
0
0
140
3
Défi
Atlanto Nat
Un jour dans un endroit térrifiant des Enfers, un archange cherche Lucifer.
Probleme il tombe sur le démon le plus fidel de ce dernier.
Dans un monde ou les Édens et les Enfers existent, ils portent une majuscule ( ;p ) et sont les témoins de situations plus ou moins intéressantes.
0
2
6
2
Défi
Atlanto Nat


Soudain le silence. Plus rien. Il songe à ce que lui disait sa mère jadis: "après le calme, la tempête".
Il a peur. Ses mains tremblent. Sons front perle. Le regard de son vieil ami, juste à coté, lui donne une once de courage. Grand mage, il avait était forcé à participer. Il ne souhaitait pas tuer.
Soudain c'est le signal: La charge.
Ses jambes le portent, le pas lourd, absolument pas déterminé, résigné, vendu à la mort. Il sais qu'il est puissant, mais n'est absolument pas prêt à risquer sa vie et celle de son ami qui... N'est plus à coté de lui.
Perdu dans ses pensées il ne s'était pas aperçu. Une flèches parfaitement décochée, s'était logé dans le crâne de celui ci. derrière lui, étendu, dos à terre. Maintenant, dernier de sa tribut. Malheur, ce qu'il redoutait tant! pourquoi lui? Pourquoi si vite?
Cédant à la colère, ses pouvoirs le portèrent au front, dix mettre plus loin. Sans qu'il ne sache comment.
D'immense lame de pierre jaillirent du sol, pour empalé ses être du démons. Des larmes coulent le long de ses joues. Les flèches de ses ennemis tombent pas millier. Les lames de pierre, viennent le protégé. Accroupi au sol, les larmes choit. En lui, un vide glacial gel son cœur. Un cri rauque.
Sous ses pied, la terre le porte et le fait glisser comme sur de la glace. Rapide comme le vent, son épée à auteur de gorge, il en tranche une lignée.
Faisant demi tour, le sang de ces ennemis vient à lui, se durcit en des centaines de pointes. Avant de foncées sur d'autre. Il voit ses alliés mourir.
"Qu'importe!" A quoi bon vivre s'il n'à plus d'ami, de frère, de soutient. Il mourra en colère, la mort dans l'âme, avec ses larmes pour meilleurs armes et la haine en lame.
Un obélisque soudainement surgit de terre sous ses pieds l'envoie en l'air. Parfait. Le sang est partout.
Il atterrit dans une onde de choque gigantesque. Adversaires au sol, il va pouvoir distribué la mort aux plus proches. voler leurs sangs, s'en armer et tuer, pour en avoir plus. Une prière de clémence. Une sentence. "En ont il eu?" Alors pas lui.
"D'autres mages sont dans les rang adverses." Mais aucun à sa auteur. Glissant sur la terre, comme sur le flanc d'une montagne enneigée, il s'approche. Il se concentre. "Leurs sang va bouillir. Il vont explosés." Répandre la peur, la mort. "Il se rappellerons." Ils hurlent. Ils tombent. Ils explosent. La peur dans leurs yeux. La haine dans les siens.
Aspiré sous terre, en un clignement d'œil, il disparait du champ de bataille.
Silence. Un calme, terrifiant pour ses ennemis. Pour ses allié aussi. "Comment un être peut il avoir autant de magie?" Dans les deux camps c'est l'attente. Comme un second front sur le point de s'ouvrir.
Une seconde charge. Explosions dans les rangs adverse, il surgit dans un siphon de lave et de sang, emportant avec lui les morceaux de cadavres des malheureux au mauvais endroit.
La fuite, la seule chance pour ses monstres. Des monstres. Ils le sont tous. Jadis des alliés, maintenant des victimes. Des lames tranchantes perforent le sol par millier, et les hommes par centaines. Un spectacle macabre. Au centre d'impact un homme consumé par le feu, donne vie au sol et mort aux hommes. Gigantesque sont les tentacules de lave qui fouettent l'air et crache des boulet de mort.
Il hurle, son corps brule, la lave coule de ses mains pour aller chercher en forme de liens les malheureux trop lent.
"C'est enivrant" Leurs corps tombent. Le sien aussi. Lave, lame et monstre de sang s'immobilisent. Les autres fuient.
Au sol, il est mourant. Sa magie qui à pris le pouvoir part. Il commence à sentir la chaleur de la lave. Il va mourir lui aussi. Enfin! Plus rien ne valait la peine.
"Merci parents. J'ai vécu, mais pas vaincu". Il Meurt.
2
2
0
3
Défi
Atlanto Nat
Au beau milieu d'une forêt dense, une clairière. Quatre autels sacrificiels. Un pour chacun des éléments primordiaux. L'eau, le feu, la terre et l'Air. Nous sommes un soir de solstice d'été. Une grande cérémonie comme on n'en a pas vu depuis de très nombreuses années au fin fond de ce territoire troll. Territoire plus connu pour son agriculture que ses chamans. Au milieu des quatre autels, au sol : des plumes, os, exuvies, feuilles et cadavres d'animaux disposés en quelques formes évoquant les glyphes sacrés du clan et des rites anciens. Parmi ses offrandes aux éléments un jeune troll haut de plus de deux mètres à la peau bleue sous laquelle des muscles trahissaient un rythme de vie très sportif. Maigre, grand, pied nus, seul un pagne en cuir et deux poignets de forces habillaient Orinoco. Le jeune Orinoco est là ; les bras ballants. Il n'ose pas. Il stresse. Le trac ? Il est pourtant parfaitement à sa place ici au milieu du village entier, de ses pairs et des grands-maîtres venus de tout le continent. Des Elfes, des Taurens, des Orcs, des Humains et d'autres races encore. Orinoco est le jeune chaman le plus érudit de sa génération. Il avait déjà livré et gagné plusieurs batailles
3
10
26
3
Défi
Atlanto Nat
Une voie. Un chant au petit matin. Une voie familière. Celle de sa mère. Zangda ouvrit les yeux et comprit bien vite. Un chant pour une première nuit avec son jeune mari. C'était la tradition. Cette pensée la fit sourire. Des voix s'ajoutèrent à celle de sa mère. Ses sœurs ? Oui. C'étaient ses sœurs. À l'unisson, ces voix chantaient. Le rite de passage à l'autonomie de la jeune Trollesse avait commencé. Ce rite, elle le connaissait parfaitement. Elle était la dernière de la famille à se marier. Elle y avait donc participé pour toutes les mariées de sa famille, mais aussi pour toutes les autres du village et certains en-dehors depuis des années. Quelques présents étaient attendus. Zangda avait hâte de recevoir le sien. Elle avait surpris sa mère commander des bols neufs ainsi que des cuillères à l'ébéniste du village voisin quelques semaines auparavant. - Bonjour, ma chérie souffla Orinoco. - Bonjour mon amour. Tu as bien dormi ? - jusqu'à maintenant ? Oui. Répondit-il en souriant. Il se replaça pour faire face à son épouse et lui demanda : - Alors cette première nuit avec ton mari ? - Je ne regrette pas mon amant répondit Zangda taquine. - Allez, vas-y, elles t'attendent, j'entends
0
4
47
3
Défi
Atlanto Nat
Evelyne.  Au fond de moi, j'attendrais et j'espérerais toujours d'être un enfant chéri et aimé pour ce qu'il est. Mes souvenirs de jeune enfance avec toi sont emplis d'une douceur et d'amour que certains n'ont pas connu. Je garde ses souvenirs tout au chaud, au fond de mon cœur et ils me sont précieux. Cependant, tu le sais, tu as fait par la suite de mauvais choix. Beaucoup de mauvais choix. Tu m'as entraîné avec toi dans des situations, dans ta haine et dans tes colères. Adolescent, je te suivais, non sans doute. Adulte, je me suis éloigné, avec mes propres bagages, mes propres doutes, mes propres blessures (dont tu es pour la plupart responsable) faisant moi-même mes propres erreurs et répétant moi-même tout l'art des mauvais choix que j'avais soigneusement appris. L'art des raisonnements fallacieux. Je me suis alors affligé beaucoup de tort. Seul. Par chance, mon travail était pitoyable. Par chance, j'ai fait un gros burn-out. Qui aurait pu mal tourner. J'ai tout plaqué. Je me suis posé les bonnes questions. J'ai arrêté de me mentir à moi-même. J'ai regardé ma vie, mes défauts, mes qualités et les ai tous affrontés. Seul. Tu ne voulais pas toi. Non, tu me disais faible, inconsc
2
0
0
4
Vous êtes arrivé à la fin
0