Suivez, soutenez et aidez vos auteurs favoris

Inscrivez-vous à l'Atelier des auteurs et tissez des liens avec vos futurs compagnons d'écriture.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
Image de profil de null

Asria Terriano

Hey,

Auteure amateure, comme beaucoup d'ailleurs, je suis ici pour améliorer mon écriture. Conseils et critiques valables sont les bienvenus ! Mais je ne m'inquiète pas !

A bientôt sur mes textes peut-être ?

3
œuvres
2
défis réussis
5
"J'aime" reçus

Œuvres

Asria Terriano

Depuis plus de quarante ans, la France a bien changé. Après une deuxième révolution plus que sanglante, le pays a été placé sous le contrôle de six familles. Bien que l’une d’entre elles ne soit plus, les cinq autres continuent de gérer le pays. Mais des cendres des ENKALE, il reste un membre bien décidé à dévoiler tout ce que le gouvernement s’évertue à cacher. Entre manipulations, secrets, amour et souhait d’un pays libre, Neige fera tout pour que les derniers rebelles gagnent le combat. Et ce aux côtés d’alliés parfois tout à fait inattendus.
0
1
0
4
Défi
Asria Terriano

Je ne pouvais plus m'arrêter. Il m'en fallait plus, toujours plus. Le sang qui commençait à recouvrir tout ce qui se trouvait sur son passage me satisfaisait beaucoup. Ils le méritaient, tous. Ces ingrats, ces égoïstes, ces donneurs de leçon. Je riais de leur souffrance, ça me faisait tellement de bien. Je n'eu de cesse de planter ma lame aiguisée comme un rasoir dans leurs corps, pour la plupart sans vie, ésperant que cela apaiserait mon chagrin et ma folie.

Ils s'étaient tous servis de moi, sans aucune vergogne. Alors ce que je leur faisais était de bonne guerre. Aucun scrupule ne suintait de mes actes et de mes pensées au moment où j'avais franchi le cap, le point de non-retour. Ce moment où, sans prévenir, j'avais dégainé ma dague. Je l'avais plantée dans cet homme que je respectait comme s'il était un héros. J'avais égorgé cette fille que jadis, je considérais comme ma collègue et bonne copine. Puis de là, tout s'était enchaîné. C'était devenu une veritable addiction, il fallait que je continue. Il fallait qu'ils payent, tous.

Le jour de mon jugement, on m'a puni de la peine capitale pour ce que j'avais fait. et j'ai ris aux éclats. J'avais tout perdu par leur faute alors ma vie n'avait plus d'importance. J'avais tué plus de cent personnes. Et j'étais heureuse de l'avoir fait.
3
5
5
1
Défi
Asria Terriano

Depuis six jours, moi et mon immeuble sommes persécutés par ce bruit incessant qui résonne dans les couloirs du bâtiment. Le bruit de cette fichue alarme incendie. Elle sonne à chaque heure de la nuit, comme une horloge bien réglée. Mais elle n'a rien de classique. Elle ne nous avertit pas d'un feu.

Au début, à l'instar de mes voisins, j'ai cru à une blague tout sauf drôle d'un locataire. Mais dès le deuxième jour, nous avons tous compris que ces sonneries n'avaient rien de normal. Alors au matin de la troisième journée, nous avons contacté le propriétaire des lieux. L'alarme à été désactivée par la société d'entretien. Mais la nuit venue lors du quatrième jour, l'alarme a de nouveau sonné.

Quand nous sommes sortis de nos appartements, tous très surpris par ce bruit qui n'avait plus lieu d'être, ce que nous avons vu nous a glacé le sang. Un être humanoïde avec deux haut-parleurs en guise de tête était là, guettant nos faits et gestes.

Nous nous sommes tous enfermés, terrifiés. Impossible de joindre qui que ce soit, les communications possibles semblant inutilisables et la porte d'entrée ainsi que les fenêtres refusant toute ouverture. Le cinquième jour, quelques courageux sont sortis de leur trou tel des souris cherchant à manger. Et ils ont trouvé les escaliers tachés de sang.

D'après l'enquête que nous avons décidé de mener, c'est tout le troisième et quatrième étage qui avaient été vidé de vie. La nuit suivante venue, cette horrible sirène à de nouveau retentit. Et au matin c'est le deuxième étage qui était une scène macabre.

Nous sommes donc le sixième jour et le dernier étage en vie, et l'alarme retentit.

2
4
12
1

Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

Pour le plaisir et éventuellement percer, qui sait ?
0