Marwa
Les plus lues
de toujours
Un jour,
Quand la Terre aura terminé,
de trembler, d'être malade,
de supporter ce qui n'est pas sienne,
de changer d'apparence sans sens.
Quand elle aura enfin trouvé,
L'opportunité de reprendre son souffle,
le souffle tant recherché, si peu trouvé,
même par nous Hommes,
ses tons maussades retrouveront ce qu'ils ont perdus,
ses sentiments, ses humeurs nous paraîtront si agréables,
d'un paisible, d'une douceur inconnue alors,
Que nous reconnaîtront enfin qui elle est,
Tout ce temps, à la recherche de ce souffle,
sans vision claire, même en apercevant ses rayons,
d'une noirceur, quand ils disparaissent,
que nous reconnaîtront enfin qui nous sommes.
Peu importe l'esprit qui vous habite,
ne niez pas l'évidence, ne nier pas la liaison,
existante entre vous et la maison.
5
7
7
1
Les choses changent, et ne durent pas...
Le changement fût brutal,
Me saisir fût compliqué,
Je me suis échappée et,
Je meurs de te retrouver,
Je pleure ton absence,
Les jours deviennent difficiles,
Je perds pied, tranquillement,
On m'a pourtant dit que je te retrouverai,
J'attendrai, mais ne tarde pas...
On m'a dit d'apprendre à vivre sans toi,
Le temps d'un moment,
Mais comment, vivre sans la personne que j'étais ?
Le néant, le vide,
Silencieux à vos yeux,
Assourdissant aux miens,
L'esprit ravagé par tant d'intrus.
Reviens prendre ta garde,
Reviens.
2
0
0
0
Sous ces chutes d'eau , je me libère
Le bien être m'envahit, tel le mal-être lorsque je suis recluse
Aïe, pourquoi recommencent t-ils ? Je ne fais que contempler ce qui fuse.
Quelle est la raison de ton acharnement ?
Les cris sourds, que j'entends en rentrant,
Ne sont point là pour m'accueillir, Merveille
Telle une Annulaire , la métamorphose est palpable
Lorsque je franchis, ce seuil bien vieux, au crépuscule.
Ces petites gouttes d'eau rebelles , se sont enfuies
Sur mon petit chemin , que j'ai appris à chérir des l'aube
Des pensées , des visions qui font l'effet d'une Supernova
Me hantent et me hanteront.
Merci, ma petite séléné , Sirius en cette pénombre.
1
0
0
0
En prenant le chemin que j'embrasse des l'aube,
écoutant les différents sons faisant voyager ma conscience,
Je me débarrasse en vain, de ce que je fus,
Et me lie, à toutes ces personnes,
aux paysages vides et maussades,
Je ne peux vous blâmer,
Nous sommes victime d'une mauvaise plaisanterie,
Les mêmes actions s'enchaînent,
Un sourire par ci,
Un rire par là,
Lorsque que cette pièce doit enfin prendre fin,
Pas à pas, je retrouve celle que j'avais laissée.
3
0
0
0
Vous êtes arrivé à la fin