Sous ces chutes d'eau , je me libère
Le bien être m'envahit, tel le mal-être lorsque je suis recluse
Aïe, pourquoi recommencent t-ils ? Je ne fais que contempler ce qui fuse.
Quelle est la raison de ton acharnement ?
Les cris sourds, que j'entends en rentrant,
Ne sont point là pour m'accueillir, Merveille
Telle une Annulaire , la métamorphose est palpable
Lorsque je franchis, ce seuil bien vieux, au crépuscule.
Ces petites gouttes d'eau rebelles , se sont enfuies
Sur mon petit chemin , que j'ai appris à chérir des l'aube
Des pensées , des visions qui font l'effet d'une Supernova
Me hantent et me hanteront.
Merci, ma petite séléné , Sirius en cette pénombre.