Un jour,
Quand la Terre aura terminé,
de trembler, d'être malade,
de supporter ce qui n'est pas sienne,
de changer d'apparence sans sens.
Quand elle aura enfin trouvé,
L'opportunité de reprendre son souffle,
le souffle tant recherché, si peu trouvé,
même par nous Hommes,
ses tons maussades retrouveront ce qu'ils ont perdus,
ses sentiments, ses humeurs nous paraîtront si agréables,
d'un paisible, d'une douceur inconnue alors,
Que nous reconnaîtront enfin qui elle est,
Tout ce temps, à la recherche de ce souffle,
sans vision claire, même en apercevant ses rayons,
d'une noirceur, quand ils disparaissent,
que nous reconnaîtront enfin qui nous sommes.
Peu importe l'esprit qui vous habite,
ne niez pas l'évidence, ne nier pas la liaison,
existante entre vous et la maison.