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Ine

Défi
Ine
Une fillette dont les parents sont mort, atterri dans une famille d'accueil horrible. Mais un cadeau d'anniversaire magique va l'emmener vers de fabuleuses aventures.

Une enfant, de la magie, de l'aventure, voilà les ingrédients de ce roman jeunesse, inspiré de Roald Dahl.
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Défi
Ine
Une parenthèse inattendue , entre désirs et questionnements.
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Défi
Ine


Il y a des rencontres qui se jouent du hasard
Comme ce baladeur présent matin et soir
Dans la cacophonie d’un hall de gare
Dans la valse des voyageurs qui se termine tard.

Il interprète anticonformiste
C’est certain c’est un artiste
Entouré de quelques choristes
Mélancolique mélomane : Jacques le pianiste

Jacques le pianiste qui joue sans partition
Mozart revisité ou jazz d’improvisation
Derrière ses notes qui volent, s’envole le son
De ses malheurs, ses cicatrices, ses émotions .

Et voila qu’au tempo de cette harmonie
L’ouïe suit cette mélodie
Enfin Jacques s’arrête et sourit
Le pianiste vient d’embellir une vie.

Il fait partie de ces artistes rêveurs
Aves lesquels on oublie l’heure
Il restera un baume pour le cœur
Juste à son évocation nous mettre de bonne humeur.
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Défi
Ine
Il faut avoir des certitudes ça rassure.
Les personnes aux certitudes bien ancrées vous diront "il faut" , "il faut mettre les couteaux en bas".... C'est sur c'est ça qu'il faut, ou sur c'est ça qui est faux !
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Défi
Ine


Écrire pour me soulager, partager, pour comprendre, prendre, rendre, tendre vers le monde. Besoin d’écrire mais rien ne sort de ma plume, de mon clavier, de mon stylo.
Écrire les joies familiales, les difficultés scolaires, moi, les colères citoyennes, le manque d’argent, les gens qui m’font du bien, les hommes, les femmes et même les autres, mon passé, le racisme, le froid, le bonheur...
Trop d’idées à explorer, d’injustices à crier, de sentiments à trier, de paysages à décrire, de portraits à tirer. Trop qui se bousculent, s’entrelacent, se piétinent, qui fusent, apparaissent, disparaissent, trop pour une si petite mine, et rien ne sort.
Écrire pour vivre, survivre parfois.
Je trie, je prie, j'écris, décris, crie les mots, mes maux, les maux mondiaux.
Écrire. Encore, recommencer, rayer, ré-écrire. Recommencer encore. Des listes de mots, de rimes, d’assonances et d’allitérations, d’aliénation surtout. Je pense à mon texte jour et nuit, me réveille pour écrire deux mots, que le lendemain je déchire.
Écrire les autres ou moi, les autres et moi, les autres autour de moi, les autres en moi, juste écrire les autres, juste moi. Écrire pour moi, pour les autres, pour les autres comme moi ou moi comme les autres.
Écrire pour être lue et appréciée, c’est la difficulté. Mes mots sonnent creux, et mon rythme est moyen. Je me compare : poètes, chanteurs, tous font mieux, alors pourquoi continuer ?
Aujourd’hui n’est pas parfait, c’est un fait et faisons avec.
Je vous livre ces quelques lignes, une page maladroite sans rien dire d’autre que j’ai trop à dire, ainsi je me guéris de l’exigence de l’excellence.
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Défi
Ine

Il est pertinent celui qui panse son passé en cessant d'y penser sans se presser, sans pester.
Il perçoit les possibles probables, et posséde le plaisir simple et plaisant de profiter.
Mon esprit prétentieux paresseux, préfère s'apitoyer sur sa poisse. Il perce un spleen pastel et pisse un poéme pathétique.
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Défi
Ine
Aujourd’hui j’ai regardé Quotidien et ça a bouleversé mon quotidien. J’ai regardé, encore et encore et encore cette journaliste au meeting. J’ai peur, je pleure, je déplore mon incapacité à résister. Mes larmes ont coulés telle l’impuissance de mon cœur qui ruisselle sur mes joues. J’ai pleuré pour cette journaliste hué. Et j’ai pleuré, pleuré pour qu’il disparaisse. Mais il était là et la foule avec. Je l’ai écouté, il s’attaque à la différence, au pluriel, à l’enrichissement, au renouveau, au progrès, il s’attaque au bonheur, au futur, à notre futur, à nos enfants, au bonheur de nos enfants. Il voit la France en danger, lui seul pour la sauver. Je la vois forte, lui seul pour danger. J’ai regardé cette journaliste faire son travail, et j’ai vu cette foule se lever contre elle. Tel une vague La vague, la vague de haine. J’ai lu, j’ai vu, j’ai entendu la férocité sortir de leur bouche, de leur corps, de leurs yeux et la journaliste sortir de la salle. Je pleure de tant de haine. J’ai peur de tant de foule. Tout l’amour que je peux contenir ne suffira pas à l’arrêter, les arrêter. Mes larmes ont cessés de couler, mon impuissance est resté, elle c’est blottie au fond de mon ventre et
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