Madeline Peterson est une jeune capitaine de cheerleaders, entourée d'une famille soudée et d'amis proches. Elle connaît une vie paisible et heureuse, dans une petite ville d'Oregon. C'est le 4 juillet qu'elle fait la rencontre de Willow, une jeune adolescente perdue en plein supermarché. Leurs yeux se rencontrent. Madeline croit s'évanouir. Le regard bleu perçant, et aussi très troublant, de Willow lui procure un sentiment de déjà-vu. Mais d'où vient cette étrange sensation ? S'ensuit des évènements anormaux, qui rendent Madeline agitée. Sa vie, qu'elle croyait rose, serait-elle finalement aussi noire que la nuit ?

Histoire terminée.

Réponse au défi "Exercices de style"

Découvrez l'histoire d'un banquier sous trois formes : un conte, un récit coloré et en rimes !

Réponse au défi « tout entre les guillemets »

Pour tout vous dire, je ne suis pas hyper satisfaite mais bon ...

Réponse au défi "Atelier Novembre/ Décembre", sur le thème du secret.

Réponse au défi "Un poème qui ne se lit pas".

La deuxième partie est le poème original, c'est-à-dire, sans la partie décodage à réaliser.

Réponse au défi "Couleur"

Pour moi, ce sera le bleu.

Réponse au défi "Hymne Lubrique"

Envoûtée par ton regard,
Je me laissai aller ce fameux soir.
Tes lèvres m’appelaient,
Et mon corps y répondait.

Le feu s’embrasait en moi.
Tandis que je m’approchais doucement,
Tu me souris malicieusement
J’étais déjà trop proche de toi.

Impossible de te résister,
J’étais en train de succomber.
Quant à toi, tu semblais serein
Comme habitué à un tel entrain féminin.

Parcourant lentement mon corps,
Ton pantalon se serra.
Ma robe dévoilant mes courbes
Sembla poser son rouge sur tes joues.

On trinqua, on discuta,
Ta bouche parfaite se mouvant avec perfection,
Était un véritable appel à la tentation.
Découvrant l’objet de mes désirs, tu te rapprochas.

À seulement quelques centimètres de moi,
J’hésitais encore.
Je ne te connaissais pas,
Cependant, impossible d’ignorer mon corps.

Il te voulait,
Comme moi, je te désirais.
Ma fleur pulsa,
Quand ta main, sur ma hanche, se posa.

Je sentais la passion qui t’unissait à moi,
Tandis que ton souffle effleurait ma peau.
Comme un dieu, tu étais beau,
Et je décidai de m’offrir complètement à tes bras.

Encore quelques petites secondes,
Et enfin, je te goûterais.
Les yeux fermés, je t’attendais,
Souhaitant satisfaire une envie profonde.

Mais tes lèvres dévièrent,
Et sur ma joue se posèrent.
Surprise, je me reculais,
Et te découvris amusé.

Tu jouais avec moi,
Et de ce jeu, tu étais le roi,
Tandis que je tombais pour toi,
Les sens en émoi.

Réponse au défi "Tristesse, ma tendre amie"

Un petit poème, en réponse au défi "Premier défi".

La difficulté ? Inclure dans un texte 10 mots, sans rapport les uns entre les autres. L'ai-je réussi ? À vous de me dire ...

Réponse au défi "Petite annonce amoureuse honnête"

Charlotte a vingt-six ans, et est encore célibataire ! Sur les conseils ( un peu oppressants ) de sa mère, la jeune femme se décide à s'inscrire sur un site de rencontres. Mais les profils enjoliveurs et un brin menteurs ne sont pas faits pour elle. Alors, Charlotte décide de se présenter de la meilleure façon possible : honnêtement, et tant pis si ses défauts repoussent d'éventuels prétendants !

La pluie tombait sur son visage sans qu’il n’en sente la moindre goutte,
Elle était partie et il était seul sur le bord de la route.
Tout leur amour envolé,
En quelques secondes, c’était comme s’il n’avait jamais existé.

Elle avait pris sa décision,
Pas de retour en arrière possible.
Elle avait trop cette impression,
Que leur histoire était devenue complètement impossible.

Pas une seule excuse, juste quelques mots,
Pour le quitter ensuite, s’échappant sur sa moto.
En la regardant s’éloigner, il sut,
Qu’aimer, il ne pourrait jamais plus.

Il avait placé toute sa confiance en elle,
Tout son cœur, son amour éternel.
Voilà qu’elle était loin maintenant,
L’ayant laissé sur le trottoir tout pantelant.

Ses larmes se mélangeaient à la pluie,
Lui qui n’avait jamais pleuré.
Il déversait tout son malheur et ses soucis,
Maudissant sa destinée.

La bague qu’il avait achetée plus tôt,
Pesait aussi lourd dans sa poche qu’un marteau.
Son cœur brisé, quant à lui,
N’avait aucune chance de survie.

La pluie tombait sur son visage sans qu’il n’en sente la moindre goutte,
Elle était partie et il était seul sur le bord de la route.
Tout leur amour envolé,
En quelques secondes, c’était comme s’il n’avait jamais existé.