Chapitre  2 - Révélations

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La journée passa et Tan Hem s’impatientait de ne pas voir ce “Ashan” rentrer du travail. Elle avait beaucoup de questions à lui poser. Que faisait-il avec un plan de sabre laser ? Comment pouvait-il en savoir autant sur les jedis ? Elle soupçonnait l’homme d’être un trafiquant d'armes. Alors qu’elle s’apprêtait à demander au droïde s’il était normal que son maître tarde autant, la porte d’entrée s’ouvrit. Ashan entra. Il tenait quelque chose dans sa main droite, mais elle ne pouvait voir de quoi il s’agissait. L’humain semblait épuisé. Il posa son sac miteux sur la table et lui adressa un sourire timide.

  • Bonjour, dit-il, gêné. Comment vous-sentez vous ?
  • Bonjour, répondit Tan Hem d’un ton sec. Le ton de la jeune femme avait été plus froid qu’elle ne l’avait voulu, mais ses doutes sur cet étranger et le fait qu’elle comptait l’interoger ne l’aidait pas à garder son calme. Elle inspira profondément, comme son maître le lui avait appris. Elle se sentit aussitôt plus… apaisée. Ne voulant attendre davantage, elle sortit le plan de derrière sa tunique et le montra clairement à Ashan. Son regard était impitoyable. Ashan se figea. Ses joues virèrent rapidement au rouge. Aussitôt, ses mains se mirent à trembler et il bégaya :
  • Où avez… Où avez-vous trouvé ça ? demanda t-il .

Il renversa sa tête en arrière et prit une grande inspiration. Son cœur s’affolait de plus en plus dans sa poitrine. Il fallait qu’il se calme, il fallait qu’il se calme...

Soudain prit de panique, il se précipita sur son sac. Tan Hem fit un mouvement vers son sabre laser. Mais ce ne fut pas une arme que l’homme sortit mais bien un inoffensif flacon. Le récipient contenait de petites gélules blanches. Ashan l’ouvrit et en prit une qu’il se hâta d’avaler. Son empressement alerta Tan Hem. Il était probable que ces gélules soient en fait une drogue. Ainsi, son “sauveur” était un drogué. Merveilleux. Elle demanda de quoi il s’agissait, pour la forme.

  • Des médicaments, fit Ashan en un souffle.

Ses mains tremblèrent de plus en plus. Il tenta de calmer ses violentes secousses en se tenant un main, sans succès.

  • V-Vous….Vous avez fouillé mon atelier ? C-Comment…

Il ne finit pas sa phrase. Tan Hem se demanda s’il n’allait pas s’évanouir. Elle profita de sa stupéfaction pour enchaîner :

  • Que faites-vous en possession d’un schéma de sabre laser ? Vous l’avez volé ? Pourquoi ?

Ashan réagit avec virulence.

  • Quoi….? Comment osez-vous ! Je n’ai rien volé ! Ce plan est à moi.
  • Mais bien sûr, ricana Tan Hem en roulant des yeux. Qu’est ce que vous faites avec ça ? Vous fabriquez des armes, c’est ça ?
  • N-Non !

Sa voix avait tremblé et ses joues s'empourprèrent davantage.

- Hé bien si j’ai tord répondez à ma question! car vous n’aidez vraiment pas! Comment en êtes-vous arrivé à posséder un tel document?

Blessé, Ashan s’énerva.

  • Vous plaisantez ?! Je vous accueille chez moi, je vous soigne et vous, vous fouillez dans mes affaires? Pour vous répondre, sachez que c’est moi qui ai fait ce plan !

Tan Hem soupira. Cet homme était exaspérant.

  • Ashan s’il vous plaît… répondit-elle d’une voix tendue mais le plus contrôlée possible. Essayez de comprendre! Vous avez été bon pour moi et je vous ai remercié mais en tant que chevalier jedi il est de mon devoir de vous arrêter si vous êtes un individu potentiellement dangereux. je me retrouve seule, blessée dans un des pires endroits de la galaxie chez un individu que je ne connais pas. A quoi vous attendez-vous de ma part? Votre comportement est complètement opposé à votre environnement et votre atelier est rempli d’inventions…! Pire encore je trouve une arme et maintenant un plan de sabre laser! Vous me dites que vous l’avez inventé mais je ne vous crois pas. Pourquoi feriez-vous une chose pareille? et surtout comment? C’est tout bonnement…

Elle le regarda dans les yeux.

  • C’est tout bonnement impossible, finit-elle dans un murmure.

Ashan observa un instant de silence. Jamais il ne s’était senti aussi offensé.

  • J-je ne sais que vous répondre. Vous m’accusez de toutes sortes de choses, mais je ne vois pas ce qu’il y a d’illégal dans le fait de posséder un schéma de sabre laser chez soi. Pour ce qui est des droïdes, je travaille comme assistant dans une boutique qui en vend, il est normal que je m’amuse à inventer des machines ! Et en ce qui concerne mon arme, je peux vous montrer mon permis, se défendit-il.
  • N’essayez pas de dévier la conversation, Ashan, répondit- elle d’un ton sec. Pourquoi un sabre laser?

Ashan la regarda farouchement.

  • Vous voulez savoir pourquoi ?

Elle le regarda comme s’il était l’humanoïde le plus stupide qu’ellle n’ait jamais rencontré:

-...Oui…???

- Depuis que je suis petit, j’ai toujours été passionné par les jedi et leur philosophie. Vous avez dû trouver des schémas de croiseurs jedi, j’imagine ? C’est moi qui ai dessiné tous ces plans. Les jedis ont toujours été mes héros. Et je les pensais moins promptes à accuser les gens sans savoir, rétorqua t-il.

  • Je vous accuse pour savoir justement, répliqua t elle. Je suis peut être un peu vive mais avouez que c’est efficace sur vous...

Elle sourit d’un air amusé. Sa colère semblait avoir disparu.

“ C’est intéressant, offrit- elle. Pourquoi les jedi sont-ils vos héros?

Ashan se mit à rougir davantage, si possible.

  • C-C’est personnel, répliqua t-il.
  • C’est à dire?
  • ...Que je ne souhaite pas vous en parler, fit-il sèchement.
  • Malheureusement je crains fort que vous soyez obligé d’aborder le sujet si vous voulez me convaincre de votre bonne foi...chose qui est loin d'être le cas si vous voulez savoir.
  • Je ne vous dois aucune réponse, riposta Ashan. Mais si c'est le seul moyen de vous convaincre, sachez que mon père était un jedi !

Il avait lancé ces mots d’une voix fière et pourtant teintée de tristesse.

  • Vraiment? demanda-t elle, ses yeux turquoises brillant d’une soudaine lumière d'intérêt.
  • Oui, répondit simplement Ashan.
  • Oh. Je suis désolée s’il n’est plus de ce monde… je comprends si c’est un sujet sensible pour vous…

Elle baissa les yeux.

  • Donc...pour le sabre laser...reprit elle, c’est votre père qui vous a appris?

Ashan se mit à réfléchir.

  • Mmm…. Oui, en quelque sorte.
  • D’accord.

Elle se leva du canapé, non sans contenir une grimace due à sa blessure douloureuse.

  • Bon.... Je pense que vous avez de bonnes intentions. Même si je ne sais toujours pas si je peux croire ce que vous dites. Enfin, l’avenir nous le dira pas vrai ? sourit-elle.

Ashan lui rendit son sourire avec gène. Cette femme le mettait profondement mal à l’aise. Elle semblait changer d’humeur comme de chemise… et le pire...c’est qu’il se sentait comme un criminel en sa présence. Mais…. N’en était-il pas un ? Il chassa cette pensée de son esprit. Non, bien sûr que non. Il n’avait jamais fait de mal à personne.

  • Heureux de savoir que vous ne comptez pas m’arrêter, ironisa Ashan.Vous êtes sûre que vous ne voulez pas voir mes papiers d’identité ? Ou mon justificatif de domicile pendant qu’on y est ? Oh ! Sans oublier le permis de port d'armes ! se moqua-t-il.
  • Hé bien, si vous insistez je n’y vois pas d’inconvénient...

Ashan ouvrit des yeux ronds.

  • Comment ?? Mais je plaisantais !

Elle se mit à rire doucement.

  • N’essayez pas de plaisanter avec ce genre de choses Ashan je vous en conjure. Ça pourrait vous porter préjudice...
  • Je n’ai vraiment rien à me reprocher vous savez, dit-il en haussant les épaules.
  • On dirait que vous cherchez à vous convaincre vous-même quand vous dites ça.
  • Si vous le dites, rétorqua t-il.
  • Tss c’est encore pire, se moqua-t-elle. Enfin, je vous ai dit que je pense sincèrement que vous avez de bonnes intentions et je ne pense pas que vous soyez dangereux… après tout, je sais par expérience que les criminels n’ont pas pour habitude de boire du si bon thé ...plaisanta-t-elle à son tour...

Ashan se mit à rire.

  • Heureux qu’il vous plaise, malgré l’absence de sucre ! Beaucoup de personnes n’aiment pas. Personnellement, j’arrive facilement à m’en passer, mais je pense que c’est surtout l’habitude.
  • Je l’aime beaucoup. Votre droïde le prépare très bien. Ashla...c’est ça?

Ashan jeta automatiquement un regard affectueux vers le droïde à patins qui chantait dans la pièce voisine.

  • Oui, Ashla est formidable. Elle est ma famille.
  • C’est donc vous qui l’avez conçue?

Ashan acquiesça.

  • Oui, j’ai conçu Ashla à mes 17 ans. Au départ, je voulais juste m’amuser, mais lorsque sa conception s’est achevée, elle est devenue une amie pour moi. J’ai plus confiance en ce droïde qu’en la plupart des gens.
  • Vous m’étonnez...dans ce genre d'endroit...ironisa-t-elle en lançant un regard significatif sur la fenêtre donnant sur la rue. Comment se fait-il qu’un homme comme vous vive dans de tels quartiers? C’est presque irréel!

Ashan se mit à rire de nouveau.

  • Vous pensez que tous ceux qui vivent ici le font par choix ? Vous ne devez pas sortir souvent.
  • Méprenez vous, au départ je vous prenais pour un ancien scientifique en exil pour une quelconque raison louche, répliqua-t-elle avec un sourire narquois. Mais en effet, il peut y avoir de nombreuses autres raisons...je suppose.

Elle baissa la tête en tripotant sa tasse vide.

  • Je ne voudrais pas être indiscrète mais...comment avez vous fini dans cet endroit?
  • Je suis né ici, tout simplement. Tout le monde n’a pas la chance de vivre dans la ville haute.
  • Pourtant, tout dans votre éducation, vos manières, votre façon de parler… Tout indique que vous ne venez pas vraiment d’ici. Ou du moins, vous n’avez véritablement pas été influencé par votre environnement, ce qui me semble...surprenant.
  • Oui vous avez raison, cela paraît improbable. Ma mère m’a élevé seule, et ça n’a pas toujours été facile pour elle. Toutefois elle n’est jamais tombée dans la criminalité. Elle voulait donner l’exemple à son fils. Je l’admire pour cela. C’est une vrai battante. Je dois aussi mes manières à un ami. Les fréquentations ont un impact considérable sur une personne. C’est grâce à lui si je suis la personne que vous voyez aujourd’hui. Et c’est également grâce à lui que j’ai eu mon premier travail.
  • Ce doit être une personne admirable alors. Je n’en reviens pas qu’il puisse y en avoir dans un tel endroit à vrai dire...un tel contraste...c'est remarquable.
  • Oh, je ne vais pas vous mentir : la plupart de mes connaissances sont des voleurs ou des trafiquants. Mais ils ne le font pas par choix. Pour ma part, j’ai la chance d’avoir un emploi suffisamment bien payé pour en vivre.
  • Vous avez dit que vous êtes un assistant n’est ce pas?
  • Chez Gnarsh oui. Ce n’est pas un ami, mais on s’entend bien lui et moi. Sans lui, je serais encore à la rue en train de chercher du travail.
  • A la rue? C’est terrible! Votre mère n'avait-elle pas un travail?
  • Ma mère… Il se mit à rougir. Ce n’était vraiment pas facile pour elle. Elle n’avait pas cette chance que j’ai aujourd’hui. Et un moment elle… Disons qu’elle a dû partir.
  • Oh. Je vois.

Sentant que le sujet devenait sensible, Tan Hem détourna la conversation vers un autre. Elle sonda Ashan et sentit qu’il lui en était reconnaissant.

  • Combien de temps me faudra t-il selon vous avant de pouvoir disons… repartir? Marcher sans que je pousse des cris de douleur?

Ashan prit un air pensif.

  • Je dirais au moins trois semaines, tout dépend des soins que vous recevrez.

Les yeux de Tan Hem s’ouvrirent comme deux soucoupes.

  • Quoi…? Trois semaines? Vous plaisantez! C’est impossible, il faut que je parte le plus tôt possible!
  • Ah, je vois. Vous avez un vaisseau n’est ce pas ? Je suis sûre qu’on pourra vous soigner au Temple.
  • Vous avez connaissance du temple...?

Ashan se mit à rire.

  • Tout le monde sur Coruscant connaît le Temple jedi ! Je vis isolé, mais pas à ce point ! Cela dit, je n’avais jamais vu de jedi avant vous.
  • Ah oui bien sûr… dit-elle visiblement gênée (une sorte de miracle pensa Ashan avec amusement). Évidemment, les Jedi viennent plutôt rarement ici...directement.
  • C’est le cas de le dire ! s’amusa Ashan.
  • Oui, oui… ils ne sont pas censés rater leurs premières missions cela va de soi, marmonna t elle avec amertume.
  • Oh, mais au fait, puis-je vous demander ce que vous veniez faire ici ? demanda-t-il, soudain curieux.
  • Aaah…soupira-t-elle. Malheureusement, il m‘est interdit de dire quoi que ce soit sur ma mission. Tout ce que je peux vous dire c’est que c’était à propos de disons...certaines activités peu recommandables qui ont lieu aux alentours de chez vous
  • Oh, vous parlez du gang des Terkans, pas vrai ? Je les connais bien, je pourrais peut-être vous renseigner ?

A ces mots, la denommée Opa Ikila détourna lentement sa tête vers Ashan, le regard mêlé d’intérêt et - au grand désespoir d'Ashan- de méfiance stupéfaite.

  • Pas si innocent hein…? Hé bien, très bien! (Elle se résigna). Vous avez deviné. Que savez-vous d’eux?
  • Les Terkans sont partout dans la ville vous savez ? dit-il avec tristesse. Difficile de ne pas les voir au quotidien. L’un d’entre eux vit dans l’immeuble d’en face, je le vois souvent rentrer chez lui en plein milieu de la nuit. Inutile de préciser qu’il est bien attaqué dans ces moments là….
  • Votre voisin est un Terkans… de mieux en mieux.
  • Comme on dit, on ne choisit pas son voisinage, plaisanta Ashan.
  • C’est vrai, admit-elle. Donc votre voisin est un Terkans ? Vous en êtes certains ?

Sans qu’elle s’en rende compte, un plan commença à germer dans son esprit.

  • Certain, approuva Ashan. Il faut dire qu’il ne se cache pas...

Tan Hem se mit à réfléchir. Blessée comme elle l’était, elle ne pourrait pas accomplir sa mission seule… Et Ashan…. Mmm elle ne savait pas si elle pouvait vraiment lui faire confiance mais quel autre choix avait-elle ? C’était sa première mission, il ne fallait pas qu’elle rentre bredouille ! Si Ashan pouvait placer un mouchard sur le Terkans, et qu’il le suivait jusqu’à son repaire…. Ce plan ne lui plaisait pas, elle laissait Ashan faire tout le travail à sa place. Sans parler qu’elle lui demandait de risquer sa vie…. Elle se mit à réfléchir.

  • Ashan. (Elle le regarda dans les yeux). Vu les circonstances absolument exceptionnelles auxquelles je suis confrontée, j’ai...besoin que vous m’aidiez à accomplir cette mission… En échange, je pourrais m’arranger pour que l’Ordre jedi vous récompense et faire en sorte que vous quittiez enfin cette planète, si tel est votre désir.

Ashan sembla rêveur.

  • Il est vrai que j’ai toujours voulu voyager… Enfin quitter cette planète. Mais… Ce n’est pas ça qui m'intéresse le plus. Je… Je voulais garder ça pour moi mais… tant pis, il faut que vous le sachiez. Mmm…Tan Hem… Je suis comme vous. Je suis sensible à la Force. Je vous l’ai caché jusqu’ici parce que je ne voulais pas que vous le sachiez. Ce n’était pas important et… J’avais peur. Peur de vous, de vos questions…De votre jugement.

Tan Hem, surprise, fronça les sourcils. Elle avait déjà sondé Ashan de nombreuses fois, et elle n’avait pas senti de sensibilité particulière.Tandis qu’elle se faisait cette réflexion, Ashan lui apparut très clairement dans la Force. Sa présence était forte. A vrai dire, Tan Hem n’avait jamais senti une présence aussi forte; Pas même chez certains maîtres du Conseil Jedi. Elle en resta stupéfaite. De nombreuses questions se bousculaient dans sa tête. Pourquoi Ashan avait-il une aura aussi forte ? Etait-ce parce qu’il était le fils d’un jedi ? Non, il n’était sûrement pas le seul dans ce cas, même si une telle union était interdite… Tan Hem douta. Et pourquoi ne ressentait-elle cette sensibilité que maintenant ? Toutes les fois où elle avait sondé Ashan, sa présence dans la Force était similaire à un non-sensitif. Elle allait l’assaillir de ses questions lorsqu’elle croisa son regard, comme une supplique silencieuse. Elle renonça à l'interroger. Ce n’était pas le bon moment pour cela. Elle se reconcentra sur sa mission.

  • Écoutez, voici ce que je vous propose: aidez-moi à trouver le repaire des Terkans et je vous emmènerai jusqu’au temple , où je vous présenterai au Conseil. Il est injuste que vous n’ayez pas été emmené au temple dès votre plus jeune âge. Je m’étonnes encore que l’Ordre n’ai pas ressenti votre présence pendant tout ce temps…Mais si je vous amène à eux, ils se rendront compte de leur erreur, c’est sûr.

Les yeux d’Ashan se mirent à briller de joie.

  • Vous croyez ? Ce serait tellement… Merveilleux. Je n’ose y croire et pourtant… Serait-ce possible ? ... C’est d’accord ! Dites moi juste ce que je dois faire.
  • Parfait ! Alors voici le plan…

Elle lui expliqua sa mission. Ashan devait attendre que son voisin Terkans sorte de chez lui et le suivre jusqu’à son repaire. Là, il devrait scanner les lieux et transmettre les informations à Tan Hem. Tout cela dans la plus grande discrétion. Le repaire est sans doute bien gardé, lui expliqua la jeune jedi. Personne,je dis bien personne ne dois vous voir. Si l’on vous trouve à côté du repaire, vous êtes mort. Voici de quoi mener à bien votre mission. Elle lui passa un comlink, un radar et un casque à vision thermique. Elle lui donna également une bombe fumigène en cas d’urgence. Ashan prit son blaster et se plaça devant la fenêtre, prêt à réagir.

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