Part 7

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« Xavier, ils se réveillent !» dit une voix alors que j’ouvrais les yeux après un sommeil long.

« Très bien, Wanda !» dit l’autre.

Oh,la première voix, je la reconnaissais, c’était celle de Wendy. Ou du moins, de celle qui avait pris sa place, car Wendy, la vraie, l’unique était tout près de moi. Élisa aussi, et elle semblait avoir été blessée. De ce que je pus reconnaître, nous étions toujours à la maison Blanche, dans une salle de réception.

« Une minute, je vous donne une minute pour nous relâcher.» dis-je

« moi ce blanc-bec, nous venons de prendre la Maison Blanche et il fait encore le beau.» dit le dénommé Xavier.

« Si jeune et si pressé de mourir! » dit un autre homme, pistolet en main.

« Laissez moi vous dire que vous n’obtiendrez rien de moi!» dit la voix de ma mère

Elle aussi était là, toute la famille avait été capturée, et ce malgré le système de sécurité. Quelqu’un avait réussi l’impensable, et qui que soit cette personne, le pire restait à craindre. Aucune revendication n’avait été faite mais cela devait être du très lourd. On ne pénètre pas dans la maison Blanche pour un simple casse.

«Rassurez vous,nous ne voulons rien de vous !» dit Wanda.

« En vérité, nous voulons vous aider. Votre campagne contre la corruption et les mensonges était vraiment très intéressante. Mais vous ignorez que des calomniateurs, des menteurs, vous en avez sous votre propre toit.» reprit l’homme.

- Tout à fait, votre propre fille et votre propre fils sont des menteurs. Ils vous disent, ainsi qu’à nombre d’autres personnes, sortir avec telle ou telle personne. Mais c’est un leurre pour masquer leur homosexualité à tous les deux. Vous avez réunis ici les coupables, votre fils et son petit ami et votre fille et sa petite amie.

On s’est regardé avec Horace, quand il a dit ça. Aucun de nous deux n’était bien, et pas davantage Wendy et Élisa. On avait beau s’être montrés hyper discrets, ces gars l’avaient vu, et s’en servaient contre ma mère. Nos parents nous regardèrent, Élisa et moi et surent que l’homme disait vrai. Nous ne cherchâmes plus à le cacher.

Une chose folle se produisit alors et elle nous sauva tous. Alors que l’on pensait que le pire était encore à venir, on sonna à la porte. Ma mère avait annoncé que les grilles seraient ouvertes aux enfants déguisés. Et qu’elle donnerait elle-même des bonbons à ceux qui se présenteraient à sa porte,

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