Lana

Les rues désaffecter ne manque pas dans cette ville qui ne vit que pour être à feu et à sang. Mais est-ce qu’il imagine une seule minute ce qui se passe ici, ceux de l’extérieur ? Je ne crois pas. Pourtant ça n’empêche pas ses inconscients de venir fourrer leur nez ici.

La porte claque dans mon dos.

-Lana, une attaque est survenue. Votre... Votre frère jumeau n’est plus.

Le verre que je tiens dans ma main m’échappe et s’écrase au sol avant de se briser en mille morceaux comme mon cœur qui accueille cet nouvel. J'essuis mon œil gauche ce qui répands la couleur qui l’entoure, avant de me tourner vers mon interlocuteur.

-Le nom. Donne-moi le nom de ce criminel.

Elliot

“Boulot, maison, dormir. Boulot, maison, dormir.” Je me répète cette phrase sans arrêt, même assis dans le bureau de mon patron. Il parle beaucoup mais je ne l’entends pas comme si mes oreilles étaient envie par un acouphène.

Je dois infiltrer le clan de La Dame pour découvrir qui a tué le jeune homme, il y a trois semaines dans cette gare. Dans l’unique but d’écrire un article inédit sur la vérité du meurtre de celui-ci.

J’ai écrit bon nombre d’article mais jamais un seul ne m’a demandé de m’infiltré dans un clan ou n’importe ou d’autre. La mise en danger de ma vie n’a à aucun moment été remis en cause.

-Elliot, tu m’écoute ?

Je me reconnecte à la réalité et fixe mon patron Marcus.

-Oui, je t’écoute. J’ai le droit de refusé ?

Son regard me fait clairement comprendre que non, je n’ai pas le choix. Je dois faire ce job sans discuter. Et comme à mon habitude, je ne chipote pas plus et prend le dossier avant de le saluer et sortir de son bureau.

***

Mon sac sur l’épaule, je m’arrête devant la bâtisse de la Dame. Il y a des gardes partout. Je m’approche de la grille et toute de suite, l’un d’entre eux m’interpelle et s’approche de moi a grand enjambé.

-Bonjour. Puis-je savoir ce que vous venez faire ici ? Me dit-il.

Je redresse mon dos et lui réponds.

-Je viens parler à votre cheffe, j’ai affaire avec elle.

Les trois hommes se tournent vers moi, l’un m’analyse tandis que les deux autres me regarde de haut méfiant. J’affiche un sourire confiant.

-Si vous voulez bien laisser passer monsieur, j’ai affaire. Dis-je en effectuant un peu vers eux.

Lorsque je me retrouve face à la porte en fer forgé, que je suis prêt à excaladé pour arriver à mes fins, le grand blond m'arrête d'un bras ferme contre mon torse.

-Recule petit. On n'entre pas comme ça.

-Ah non ? Alors si je te dis que je connais Lana intimemant, ça te convient petit merdeu ?

Je raconte mon mensonge, affichant un visage confiant tout en essayant de ne pas me dégonfler. A ma surprise il trisaille, rougit, avant de se déplace sur le côté et fait un signe de tête au gardin dans la cabine, ce dernier ouvres les portes. J'entends les autres se moquée de lui, dans mon dos. Sans un regard en arrière, je m'avance et trace la ligne imaginaire entre ma vie tranquille et celle qui va commencer en ce lieu.

Jamais, je n'aurai imaginer dans quoi je m'enbarquais réellement en posant un pied ici.

Tout est immence ici. Soit cette femme voit la vie en grand, soit ce n'est qu'un trompe l'oeil. Ce qu'on ne peut pas lui repprocher en revanche c'est sa sécurité, d'intérieur ou extérieur. J'ai croisé des hommes et des femmes en uniforme tout au long du chemin. Pas un seul, n'a sourcillé lorsque j'ai annoncer la raison de ma visite. Certains mon regard avec méfiance tandis que d'autre on sourit, même si rare étaient ces derniers. La seule chose que je peux en dire c'est que peu importe dans quoi cette femme et son clan trempe, ce n'est certainement pas dans les jouets pour enfants du style ustensil de cuisine en plastique. Plutôt dans ceux éguiser pour trancher la peau.

Arriver devant la porte en bois..

-Elle a une drôle de couleur cette porte. Dis-je a moi-même.

Devant la porte se tenais une femme en uniforme, elle marmone dans ce que je devine être une oreillette.