Chapitre 27 - Enlèvement

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Un sourire s'affichait alors sur mon visage prenant alors dans mes bras le petit garçon, lui apposant un baiser sur sa joue :

- Qu'est-ce que tu fais encore debout a cette heure-ci, Mikoto ? Où sont ton papa et ta maman ?

Le petit garçon âgé d'un ans et demie, dont les cheveux noir était légèrement ébouriffé, souriait, ses yeux marron clair affichais un regard fatiguer et somnolent.

Il essaya de prononcer un mot que je devinais ête "résidence".

-Nidence.

- Et tu n'est pas avec eux.

-Nidence !

- Viens, allons les chercher.

J'eus à peine le temps de rentrer avec Mikoto dans les mains que Saki se jeta sur moi pour le récupérer. Elle avait eu si peur de le perdre qu'elle l'encercla affectueusement dans ses bras tremblants.

- Merci Mademoiselle ! Merci ! Ca fait une heure que nous le cherchons....Ou l'avez-vous trouvé ?

- J'était prêt de l'arrêt bus qui se trouve en bas de l'angle de la rue de la résidence, quand il m'a enlacé les jambes, je me suis étonnée que vous ne soyez pas avec lui, Kai et toi, répondit-je alors que je déserrait mon étreinte du petit garçon pour le rendre à sa mère.

- Il est partit aussi loin...

- Maman.

- Mikoto.

Ce n'est pas bien.

- Nidence.

Kai arrriva dans le hall en poussant un immense soupir de soulagement J'eus l'impression de ressentir toute l'inquiétude disparaître d'un seul coup lorsqu'il vint entouré de ses bras Mikoto et Saki. Je fus soulager également, qui c'est ce qui ce serait passer, si j'étais rentré plus tard, ou s'il était tomber sur une personne mal attention, je saluais alors la petite famille, avant de retourner à mes appartements contente de ma soirée mais fatiguée.

Le lendemain, je décidais de m'octroyer une demi-journée de libre et en profitais pour me reposer, me pelotonner dans mon lit. Cela faisait une éternité que je n'avais pas fait grasse matinée, le soleil était haut dans le ciel quand je me réveillait au alentour de 9h30. Un bâillement s'échappait de ma bouche, mes cheveux légèrement en pétard avec mes épies qui étaient légèrement plus prononcé que d'habitude, même mon pyjama était débraillé. J'avais beau être réveillé je restais enroulé dans ma couette, pour profiter de la chaleur de celle-ci, un sourire niais sur le visage. 9h30. C'était encore trop tôt. J'avais l'intention de me rendormir encore quelques heures mais mon cerveau fulminait déjà d'idée pour la famille. Génial, il fallait encore que je pense à mon travail dans des moments comme ceux-là. Bougonnant alors que j'était encore enroulé dans ma couette, dans laquelle je m'étais mise a rouler de gauche a droite sur mon lit, pour essayer temps bien que mal de me rendormir et profiter de mon jour de congé.

Je parvins enfin à me rendormir. Mon père m'avait réveillée pour me dire qu'un intrus rôdait dans la résidence. Je me reveilais très vite, passé la porte de ma chambre et mon père disparu. Ryuji était en face de moi dans un salle que je n'avais jamais remarqué. Irene à ses côtés récitait quelque chose qui se transforma en concert devant un public vide. Ma mère m'attrapa par les épaules pou me faire sortir et me demandant de venir repréere l'intrus que je n'avais vu en salle d'interrogatoire. J'ignorais que nous en avions une. Les visages qui défilaient m'étaient tous vaguement familier : le frère de Kai (que je n'avais vu qu'une fois), une vieille dame dans un supermarché, une anciennes camarades de classe, un des hommes de la dernière mission et un ami de Mahiru qui avait récemment rejoint nos rangs. Puiqu'aucun ne me pârut suspect, je mangeai des gâteaux de riz. Puis Kazuma m'appela une fois, puis deux. La troisième fois il cessa de chuchoter. J'ouvris les yeux bruquement et voir sa tête penché au dessus de la mienne me fit sursauter. Nos fronts s'entrechoquèrent. Un rêve ? J'avais rêvé. Pendant que je passais ma main dessus, je lui demandais ce qu'il faisait dans ma chambre lors de mon jour de repos.

- Un individu non identifié à réussit à entrer dans notre résidence. Nous sommes à sa recherche.

- Attend ... Kazu-chan ... j'arrive, deux seconde. J'était encore dans le gaze m'étant réveiller si brusquement, la seule chose que je compris c'était que nous recherchions quelqu'un, bizarrement cela faisait fait très écho au rêve que je venais tout juste de faire. Je me frottais frénétiquement les yeux comme pour me réveiller plus vite, sortant de mon lit un peu vite ma tête se mit a tourner, posant ma main sur le bas de mon visage, pour me rasseoir quelque seconde afin de reprendre mes esprit. J'ouvris de nouveau mes yeux avant de regarder où j'avais pu poser les vêtements que je préparais normalement la veille au soir, rien il n'avais absolument rien, pas sur mon fauteuil, ni même sur le petit canapé. J'avais en tête l'urgence dont Kazuma m'avais fait part, pas le temps de tergiverser, je pris de quoi me couvrir, une robe de chambre devrais faire l'affaire, j'enfilais alors le dit vêtement avant de sortir de ma chambre.

J'avais visiter plusieurs pièces et recoin quand enfin il me sembla apercevoir l'individu dont parlait Kazuma. Un homme ridiculement grand qui semblait tout à fait perdu. - Monsieur ? Demandais-je en arrivant à son niveau :

- Bonjour mademoiselle, je... j'étais étonné qu'il m'appelle mademoiselle mais il n était pas d'ici. Ce n'était qu'une formule de politesse.

- Je crois que j'ai perdu le chemin vers ma chambre.

- Vous êtes chambre ? - 207.

- C'est l'étage juste en dessous. Vous voulez que je vous guide ?

- Non je vous remercie. Il n'avait cessé de me regarder de la tête au pieds. Mon manque de tenue le mettait vraisemblablement mal à l'aise. Il me salua et partit dans une direction contraire.

- L'escalier est de l'autre côté ! Il changea instantanément son sens de marche et me salua à nouveau. Je pensais qu'il fallait dire à mon père d'indiquer distinctement la délimitation entre l'hôtel et la résidence qu'il cachait. Un soupire s'extirpais alors de ma bouche , une simple frayeur du a un client de "notre hôtel" qui n'avais pas réussi à retrouver sa chambre. Une fois que j'eus vérifier que l'individu en question était retourner à bond port, je m'en retournais dans ma chambre, pour changer de tenue, je n'y avais pas penser sur le coup mais ma tenue n'était pas vraiment approprié, je me serait mal vu débarquer comme cela dans le bureau de mon père et lui clarifié la situation. Arrivant alors dans ma chambre, je retirais mon déshabiller ainsi que le reste de mes vêtements,avant de prendre dans mon armoire, un costume tailleur avec une chemise en soie ainsi que le pantalon tailleur qui était accroché sur le même ceinture que la veste. Je me préparais rapidement, coiffant mes cheveux d'un coup de peigne avant de sortir de ma chambre après avoir enfiler une paire de chaussure. Je devais avant toute chose me diriger vers le bureau de mon père, afin de l'informer de ce qui venais de se passer avec l'individu qui c'était perdu au deuxième étage. Nous devions vraiment revoir la manière dont était indiqué les affichages de notre hôtel factices.

En arrivant au bureau, papa n'y était pas. Il n'était pas dans la résidence non plu. Je l'ai cherché un long moment sans le trouver et il ne répondait pas non plus au téléphone. J'allais voir maman, mais elle ne l'avait pas vu non plus. Hajime était dans la bibliothèque. Mais lui non plus n'avait aucune nouvelle de papa.

- Réunis tous nos membres présents en salle de réunion. Ce n'est pas normal...

Sortant précipitamment de la bibliothèque, afin de rejoindre en toute hâte la salle de réunion, un tas de question engluais ma tête, sans pour autant avoir de réponses. Réunis alors dans une seule et même salle, les membres avais été rassembler par Hajime et moi-même, afin d'éclaircir cette situation. Assise en face des membres qui m'avais presque élevé, je pris une grande inspiration, afin de me calmer avant d'exposer ce qui était entrain de se passer.

- Papa... Je me corrigeais alors me rendant compte que j'étais avec mon frère la seule a l'appeler comme cela en reprenant alors : - Le kumicho est introuvable et injoignable depuis ce matin, je vous demande donc si quelqu'un est au courant de quelque chose ? En ce qui me concerne, j'avais été mis au courant par Kazuma, qu'un individu suspect avait été vu dans l'enceinte de la résidence. Je me suis chargé de cela, il c'est avéré que c'était un client de l'hôtel qui s'était perdu dans les étages. Est-ce que quelqu'un d'autre à repérer quelque chose ou quelqu'un de suspect ? Est-ce que l'un d'entre vous sait où se trouve l'oyabun ?

Tous les membres rassemblées, me firent part des même réponses, personnes ne savait où était passer papa, personne ne l'avais vu ou ne lui avais parler depuis le dîner de la veille et concernant maman, elle confirma qu'ils étaient allés tout deux se couché comme d'habitude dans leur chambre. A l'entente de ces réponses, mon visage s'assombrit alors, j'espérais que rien de grave ne lui était arrivé, mais au vu de ce que l'on me disais, on devais agir au plus vite. Je ne comptais pas envoyer tout le monde le chercher, ce serait une décision tout bonnement stupide. Un petit groupe seulement irait faire des recherches en dehors du clan quand aux autres ils resteraient ici. Moi par contre, à part donner des directives, je ne voyais pas partir et en même temps je ne voyais pas abandonner l'idée de ne pas partir à sa recherche. Mais en même temps c'était moi qui avais demandé le rassemblement des membres alors c'était à moi de piloter cette opération. Je repris une inspiration, avant que mon regard ne fixe les membres présents dans la salle je devais faire un choix judicieux et stratège, afin de mettre toutes nos chances de notre côté :

- Ceux que je vais appeler, formeront un groupe qui se chargera de faire des investigations en dehors de la ville les autres resteront ici. Quant à moi, le mieux que je puisse faire pour le moment, c'est de piloter cette opération ici à la résidence.

Personne n'émit une objection. J'appelais alors un petit groupe. Mahiru et Kai étaient les commandants des recherches extérieurs et je désignais Renjiro et Kazuma pour chercher dans la ville, particulièrement auprès des autres clans. Quand les deux groupes formés partirent, je congédiais les autres en leur demandant de rester attentif. J'allais dans le bureau de papa, j'avais dans l'intention de trouver quelque chose qui pouvait nous aider à le trouver.

Je me mis d'abord a fouiller dans son agenda, peut-être qu'un rendez-vous de dernière minute c'était imposé, je passais en revue les différents rendez-vous auquel il avais ou aurais pu participer. L'agenda ne comportait pas de rendez-vous imprévu a cette date ni même la veille, je me mis alors a chercher dans son annuaire téléphonique ainsi sa ligne personnel, un appel aurait été passé peut-être. Je me mis a passer en revue plus d'une vingtaine de message vocaux et numéros qu'il aurait été susceptible de l'appeler. Pourtant j'avais cette impression que mes recherches était vide de sens.

- Papa ... Mais qu'est-ce qui t'es arrivé !?

Je ne trouvais rien. Papa semblait s'être volatilisé. Jusqu'à ce que Saki frappe au bureau.

- Mademoiselle, j'ai trouvé quelque chose. Elle tenait Mikoto dans ses bras et une enveloppe entre ses mains. Me trouvant alors dans le désordre que j'avais mis dans la pièce du a mes recherches, j'aperçus Saki, qui venais d'entré, je m'avançais alors vers elle, lançant un petit sourire a son fils avant de me reconcentrer sur elle : - Où est-ce que tu a trouver cette lettre ?

- Mikoto l'avait sur lui Mademoiselle. Il jouait avec les enfants de l'hotel, je ne l'ai pas quitté des yeux mais quand je suis allée le chercher j'ai vu qu'il y avait cette lettre...Enfin...vous devriez la lire... Je pris la lettre et elle me glaça le sang. Quelque cheveux scotchés accompagnaient un message : Kennichi, 144 020 000,00 ¥ Il y avait une date et des coordonnées qui suivaient. Je fus pris d'un malaise en lisant ce courrier, mes jambes lâchèrent alors que je m'étais appuyer de justesse contre le mur pour éviter de tomber trop violemment au sol. Qu'est-ce qui était en train de se passer, bordel ? Où et comment papa avait-il put se faire enlever ? Je n'avais pas le temps de réfléchir à tout cela, demandant alors immédiatement a Saki de rassembler le restes des membres que j'avais laisser au clan dans la salle commune. Alors que je me relevais non sans peu de difficulté, je pris rapidement mon téléphone pour demander au équipe qui était partie sur le terrain de revenir en toute urgence au clan. Une fois la ligne raccroché, la lettre toujours dans mes mains, que je m'étais mis à froissée de rage, je me mis a me diriger rapidement vers la salle où j'avais rassembler de nouveau tout le monde.

Toutes les personnes présentes au clan étaient déjà dans la salle lorsque Saki et moi entrèrent. Les équipes extérieur prirent un peu plus de temps mais à peine avaient elles franchit la porte que je commençais mon explication.C'est le visage encore pâle, que je relevais alors le regard vers les membres présents pour leur exposé le problème de taille auquel nous allions devoir faire face :

- La situation que nous traversons, est plus grave que prévu, Saki a trouvé cette lettre dans les mains de Mikoto dis-je alors en montrant le bout de papier que j'avais en partie froissé du a ma colère. A la lecture de celle-ci, j'y ai découvert, des mèches de cheveux et le nom de l'oyabun ainsi qu'une rançon s'élevant à près d'1 millions de yens, des instructions ont été donné quand a la date et l'heure de l'échange. L'argent doit être réunit pour le dimanche 28 février dans un hôtel se trouvant dans le quartier de Ropongi.

- Trouver une telle somme est simple pour nous. Mais il est hors de question que l'on donne quoi que ce soit.

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