Chapitre 10 - Drôle de sensation

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Et j'avais retrouvé certains enjeu de ces histoires dans les miennes, en moins psychologique. Lorsqu'il fut quatre heures, nous décidâmes d'aller dans la salle de restauration. Des rafraîchissement tel que du thé ou bien de la limonade et quelque gâteaux avec été mis à disposition, tel que des mochi, tayaki, et des shortcake. Nous nous étions installé autour de la table, nos parents devais encore être entrain de discuter puisque seule nous trois et Kazuma et Kai étions dans la salle.

Ils avaient opté pour un café simple qu'ils avaient bu debout, proche du comptoir, ils étaient en pleine discussion et souriaient sincèrement. En nous voyant rentrés, ils nous saluèrent et se présentèrent à Sorata. - Des gardes du corps ? Pourquoi ? Demanda ce dernier. - Maman et papa voulait nous protéger en cas d'attaque, expliquais-je après une gorgée de jus.

- Tu n'en a pas ? Lui demandait-je. Pour moi qui avais toujours accompagné, je pensais que c'etais normal d'être pris en charge dans ce milieux comme celui-ci, d'ailleurs j'était plutôt contente, de notre situation. Et Kazuma ne s'en était jamais plein, du moins pas à ma connaissance.

- Aucun. Mais vous n'êtes, entre guillemet "que" leur garde du corps ? - Je suis adjoint dans notre branche administratif, ajouta Kai. - Je n'ai pas de grand rôle mais je suis content de veiller sur mademoiselle.

La réaction de Sorata me rendais perplexe, comment ça ce n'étais "que nos gardes du corps ?" J'interpelais Kazuma en l'entendant : - Je suis contente que ce soit toi mon garde du corps, Kazu-chan . Lui répondis-je.

Je le regardais en voulant lui assurer que j'étais sincère. Ryuji se tourna vers moi ainsi que Sorata. Je ne savais pas vraiment pourquoi car il me paraissait normal de remercier Kazuma pour ses travaux en plus de ses missions. Sorata rebondit d'ailleurs la dessus :

- Ca ne vous donne pas du travail en plus ?

- Eh bien..., Kai se tourna vers Kazuma, Je ne compris pas pourquoi mais en y réfléchissant plus tard, je compris qu'il ne devait pas être à l'aise de parler devant nous de leur rôle.

- C'est comme une mission à long terme que l'oyabun nous a donné, reprit Kai en essayant de paraître plus détendu.

- Ryuji et moi même leur sommes reconnaissants de veiller sur nous comme ils le font. Je n'avais pas souvenir que Ryuji est dit ça a Kai mais j'essayais de détendre l'atmosphère, toute en jetant un regard a mon frère, et a Sorata, de plus, leur rôle était d'autant plus honorable et qu'ils s'y sont toujours pliée avec sérieux. Je ne voyais pas en quoi leur rôle devais être considéré comme gênant ou honteux bien au contraire.

- oui ? Ajouta juste Ryuji en arquant un sourcil en ta direction. Kai se tourna vers Kazuma en nous prévenant qu'ils partaient. Apres leur départ, il flottait un reste volatile de gêne, mais nous trouvâmes un nouveaux sujets de conversation. Nous discutions pendant une petite heure de différent sujet, tel que des idée ou bien des projet a penser sur l'avenir de nos clan, avant que nos parents entre dans la pièce, où nous étions installé depuis deux bonnes heures. Papa alla se servir une tasse de café alors que maman s'arrêta près de nous : - Tout se passe bien ?

- Oui, tout va bien, lui répondit-je calmement. Certe l'atmosphère était devenue moins pesante mais quelque chose flottait dans l'air, quelque chose qui me mettais toute de même mal a l'aise.

- Je vous remercie madame, ajouta Sorata. Son père entra ensuite dans la salle et rejoignit mon père, suivie par maman. Mon frère et moi même, regardèrent les deux hommes cotes a côtés que nous trouvions imposant de par leur présence. Je me sentais bête en m'imaginant adulte à leur côté, reprenant notre famille avec dix centimètre en plus sans pour autant atteindre leurs épaules. De plus leur expérience sur le terrain avait du faire d'eux des yakuza aguerrie comme il n'y en a peux. Cela aussi me manquais l'expérience sur le terrain, la théorie était important mais n'arrivais a rien sans ce complété grâce à la pratique. Sorata avait l'air d'avoir de l'expérience, il connaissait papa au point de le tutoyer amicalement et il avait presque l'allure de son père.

- Sorata, j'aimerais qu'on reprenne la conversation sur les clans

- Maintenant ?

- Si ça ne t'ennuie pas, j'aimerais te poser quelques questions. Sourais-je.

Je me mis à réfléchir avant de lui poser des questions, bien évidement je savais comment fonctionnait un clan, mais pour ce qui était des missions attribuée j'étais dans le flou, je supposais qu'il devais y avoir les capacités des membre a prendre en compte, mais au-delà de cela, je ne connaissais pas grand chose sur les attributions de celle-ci :

- Je me demandais si tu pouvais m'expliquer comme son répartit les missions d'un clan. J'espérais juste que mon père ne me reprenne pas en me disant quelque chose du genre : "tu devrais le savoir, c'est la base."

Mais il n'intervint pas, il ne vint même pas nous voir. Alors que Sorata répondait à chacune de mes questions, notre conversation s'éternisa jusqu'au repas. Les membres du clan arrivèrent un a un dans la salle de restauration pendant que nous continuons de discuter, j'avais tout bien inscris dans ma tête, pour qu'ensuite, le retranscrire sur mon cahier de bord. Elle n'était jamais pleine mais un petit nombre arrivait, tout ceux present non moins de la résidence ou qui n'avait pas de mission. Sorata regardait intrigué le fonctionnement de notre famille. N'ayant pas de résidence comme la nôtre, j'en deduisis que l'organisation devait être bien différente. Je me suis mis a le questionner sur le fonctionnement de leur clan, m'étant rendu compte de son étonnement, ce qui devais être a mon sens normal vu qu'on ne fonctionnais pas de la même manière.

Il me répondit comme si c'était évident pour lui qu'étant dépourvu de ce genre de résidence, il n'y avait que rarement ce genre de rassemblement. Leur dîner esemblait d'avantages à un dîner d'affaires comme je me l'imgineais dans les films ou dans mes livres. Ils avaient bien un quartier général. Ils l'avaient maquillés en cinéma avec un casino à l'étage. Ca changeait effectivement du nôtre, déguisé en hôtel non loin de la sortie de la ville. D'ailleurs, je me fit la réflexion que nos dîner avais plus l'air d'un grand rassemblement familial et d'un grand banquet digne des film d'animation plutôt que de dîner d'affaire, que mon père pouvais avoir en priver. Je remerciais donc Sorata pour ses explications, le repas continuais pendant que nous discutions encore de chose et d'autre, je jetais quelque coup d'oeil a Kazuma pendant certain moment.

Le grand banquet d'on je parlais n'arrivait que lorsque nous avions des restes du restaurant de l'hotel, sinon, ça aurait eu l'air d'une cantine. La plupart du temps, chaque membres préparait lui-même son repas. Quelque fois, un plat était mis à disposition mais il ne restait jamais rempli longtemps. Pourtant, je m'étais déjà imaginer cuisiner pour Kazuma et manger ensuite avec lui. Je le voyais complimenter ma cuisine et me sourire tendrement. Ce soir-là, il était avec Mahiru et ils se partageaient un plat surgelés de l'épicerie au coin de la rue. Nous avions des cuisiniers mais c'était rare qu'ils cuisinent pour tout le clan, les membres principaux tel que mes parents, mon frère et moi-même avais ce privilège mais sinon, il y'avais une cuisine de service pour les membres du clan pour qu'ils puissent tous cuisiner, en vivant chez Yuna et Hiroto j'avais appris à cuisiner, sachant qu'ils partaient régulièrement en voyage j'avais du me débrouiller pour me préparer à manger. Je n'avais jamais eu l'occasion pour cuisiner pour les gens qui m'était chère.

Après dîner, je repris ma routine. J'avais cours le ledemain et il restait un devoir que je n'avais pas finis. Alors que je quittais notre table et sortais de notre salle à manger, je croisais Hajime dans les couloirs. Il m'informa qu'il emmenerait aussi Sorata le lendemain. Son collège étant dans la ville voisine, il nous fallait, mon frère et moi, être prêts un peu avant l'heure habituelle. J'acquiesçais et le remerciais de m'avoir prévenu, une fois entrer dans ma chambre, je me mis à mon devoir que je m'empressai de terminer, au bout d'une heure et demie, je pus ranger et préparer mes affaires pour le lendemain pour ensuite me changer et enfin aller me coucher, je savais que Kazuma ne devais pas tarder à venir me dire bonne nuit. Il toqua à ma porte et je sus que c'était lui. Je me redressais dans mon lit, attendant qu'il tourna la poignet. Kazuma n'en fit rien et comme à son habitude, il me souhaita une bonne nuit à travers la porte.

Je répondit a cela comme a mon habitude : - Bonne nuit Kazu-chan.

Je me remis sous les draps, et commençais à m'endormir tranquillement,sachant qu'il était a mes côtés alors je pouvais dormir sur mes deux oreilles.

J'appris bien plus tard qu'il partait chaque soir après ceci. Avec le recul, ça me paraissait logique. Il devait avoir des obligations et ne savait pas à quelle heure je m'endormais. Le lendemain, j'arrivais à la voiture bien plus tôt qu'à l'accoutumé. Je grelottais dans mon uniforme assise à côté de Ryuji dans la voiture. Sorata nouos rejoignit quelques minutes plus tard en prenant place à côté de moi. Nous nous saluâmes et Hajime démarra la voiture. En arrivant au collège, mon frère se précipita à l'intérieur alors que Kyosuke m'approcha au loin. Je sortit également de la voiture, le frissonnement que j'avais eu dans la voiture avais disparu, et mon regard se dirigeais vers la voiture pendant quelque seconde pour ensuite me retourner vers Kyosuke, pour que nous puissions aller en cours. J'avais cette sensation étrange depuis hier sans savoir d'où cela venais. Je regardais autour de moi, pour connaître la source de ce problème, en voyant ça je pestais, de toute façon mon frère ou moi allions sortir hors de nos gong, je pris un chiffon que j'ai mouillais avec un peu d'eau, et me mis à nettoyer la place de la jeune Irène.

Plus je frottais, plus mes bras s'épuisaient. Mon chiffon était sal mais la couche qui était partie n'était que superficielle. -

Rose, arrête, on va croire que c'est toi après..., murmura Kyosuke.

- Irène et mon frère ne sont pas si stupides pour croire que je pourrais m'abaisser a faire quelque chose d'aussi abjecte, d'ailleurs je me demande où son passé c'est sale poule qui glousse pour avoir l'attention de Ryuji...

Mon regard étais mort, mes pupilles rétracter, je continuais ma démarche de nettoyage, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de trace.

- Je ne parle pas d'eux ! Je parle des autres et des enseignants !

- et bien dans ce cas s'ils sont assez crédule pour penser que c'est moi qui est commis cet idiotie, c'est qu'ils ne connaissent pas leur élèves.

- Ils se moquent de connaître les élèves ou non tant qu'ils nous font cours ! Tu vas te faire attraper pour rien Rose. Il retira le chiffon que j'avais dans les mains et alla le ranger dans son sac avant qu'un petit groupe d'étudiants n'entre dans la salle.

- Kyo !

Je soupirais et regardais la table que j'avais nettoyé en vain, vu qu'il restais des marques sur la table, qui avais évidement dessiner avec un marqueur. Mon regard se tournais vers le groupe d'élèves avec un regard noir. L'un d'eux avait apparemment dit quelque chose de rôle car ils se mirent à rire. Lorsqu'il rencontra mon regard, son sourire s'effaça progressivement et il alla à sa table sans un mot. D'abord surpris, ses amis suivirent son exemple en passant à côté de moi. Chaque fois qu'un élève entrais dans la classe, je les fixais avec un mécontentement notable, je voulais savoir quel était cette pourriture qui avais commis cet horreur. Je serrais les poing si fort que mes mains commencèrent à saigner.

- rha... soupira Kyosuke...Rose ! Tous les élèves entrèrent finalement, dont les filles qui se disait fan de Ryuji. Aucune ne me paraissait suspecte, du moins, aucune n'attira mon attention. Ryuji entra et m'interrogea du regard avant de regarder à son tour la table d'Irene. Il poussa un soupir, alla à sa table et posa fermement sa main sur son bureau. La classe se tut et tous se tournèrent vers lui. Il s'apprêtait à parler lorsque Irene entra et se figea en voyant son bureau. La main qui tenait la lanière de son sac se mit à trembler. Elle n'avait pas remarquer la présence du professeur qui arriva quelques secondes après elle. Il s'installa à sa place ce que chacun d'entre nous fîmes également. Irene ne pouvait pas s'asseoir mais elle n'en eut pas l'occasion. L'enseignant lui demanda de nettoyer sa table après les cours. Alors que nous nous assîmes, elle courut hors de notre classe.

Je me levais brusquement de ma chaise en voyant cette dernière sortit de la salle de classe, délaissant mes affaire pour la poursuivre, ferment sans m'en rendre compte violement la porte. - Irène ! Attend moi ! Au bout de quelques minutes a courir dans les couloirs, j'attrapais sa main pour qu'elle s'arrête, a bout de souffle, que j'essayais de reprendre calmement :

- Enfin...je...t'ai...eu...

Mon regard se porta sur elle, toujours en tenant sa main pour éviter qu'elle ne s'enfuit de nouveau.

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