Putrid heart

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Tout a commencé le jour où sa mère lui apprit qu’elle ne l’avait pas désirée, qu’elle était le fruit d’un viol et ne sut jamais qui était son papa, elle avait six ans à l’époque. Elle comprenait, enfin, pourquoi personne ne voulait jouer avec elle. Même son beau-père ne souhaitait pas en entendre parler. Jusqu’à son quatorzième anniversaire. Quelques jours plus tard, en fait. Et tout bascula. Ce jour-là elle était sous la douche, elle ne réalise qu'à la dernière seconde.

— Qu’est-ce que…

Elle sent une main se poser sur sa poitrine, déjà bien avancée, caressant un de ses seins, alors que la seconde se dirige directement entre ses jambes et un doigt la pénètre sans aucun ménagement.

— Arrête, ça fait mal.

— Ta gueule et occupe-toi plutôt de ça.

Il lui attrape une main, la pose sur son sexe dressé et lui dit.

— Branle-moi.

En voyant qu’elle ne s’activait pas, il lui montre.

— Tu bouges ta main comme ça et puis merdes.

Il l’attrape par les épaules. Lui fit faire demi-tour. Et la met à genoux.

— Ouvre la bouche et ne t’avise pas de me mordre.

Elle s’exécute, malgré l’eau qui coulait du pommeau de douche, il lui enfonce le sexe dans la bouche et donne des coups de reins. Elle souffre, a du mal à respirer et à une folle envie de vomir, mais ce qui suit l’écœurera encore plus. Sans prévenir, il arrête le mouvement, éjacule et lui retient la tête.

— Avale, petite pute. Si tu recraches une goutte, tu vas la sentir passer.

Il la relâche, elle repousse l’engin qui l’étouffait, hoquette et reprend son souffle, pendant ce temps il la redresse. Lui s’agenouille, soulève une jambe de la jeune fille et lui lèche son fruit défendu. La cyprine se mélange avec l’eau, mais il s'extasie quand il l’entend gémir.

— Tu es vraiment délicieuse pour une pute.

Lui dit-il, en se relevant. Sans lui lâcher la jambe et soudain, elle hurle. Jessica vient de perdre sa virginité d’un coup de rein brutal, il lui sert fort le sein droit et pince le téton. Elle a un bref moment de soulagement quand il ressort. Mais il la pousse sur la paroi de la cabine. Elle est dos à lui et ce qu’elle découvre, en même temps, que sa chatte se fait de nouveau pilonner par l’horrible engin, et que ses seins subissent leurs douloureux assauts, lui brisera le cœur à jamais.

— Regarde mon amour, ta catin en train de se faire défoncer, admire comme elle adore.

Sa propre mère se tenait sur le palier de la salle de bain, entièrement nue. Elle les regarde, tout en se caressant, alors que la pauvre fille demandait à ce qu’on mette fin à son calvaire.

— Ho putain, qu’elle est bonne. Elle me vide les bourses.

Elle cria de plus belle, lorsqu’elle sentit le sperme couler en elle, elle savait ce que ça signifiait, mais elle ignorait qu’elle n’était pas encore réglée.

— Et maintenant le petit bonus.

Dans sa tête c’est la confusion la plus totale.

Qu’est-ce qu’il entend par petit bonus ?

Mais une forte douleur au niveau de l’anus lui arrache un nouveau cri.

— Oui, crie ma belle, tu aimes la sentir dans ton petit cul de salope. »

L’expérience fut très douloureuse, très désagréable, le soir en passant à table, elle resta debout tellement elle avait mal.

*

— Et vous croyez que mon calvaire s’était arrêté là ? Que dalle. Après l’éjaculation dans mon cul, ils m’ont laissé tranquille. Mais quand je me suis couché ce soir-là, en pensant que tout était fini, j’avais tort, ce fils de pute est venu me rejoindre dans mon lit et m'a violée toute la nuit. Depuis j’étais devenue leurs jouées sexuelles. Et l’info avait fait le tour du village.

Quand elle est rentrée au collège, ça lui a donné une réputation de fille facile.

— Du coup, pendant toutes mes années scolaires, je me suis faite violer. Pendant les cours de récréation et dans les vestiaires. Quand on faisait de la gym. Et ses petites putes regardées, avec le sourire, et en se masturbant. Tous les garçons du village me sont passés dessus. Jusqu’aux jours où…

*

Jessica découvre ce qui lui permettra de se libérer du joug de son père, trois mois plus tôt, avant de faire connaissance de Charles. À ce moment-là, on est loin de la femme que l’on voit, aussi bien physiquement, que moralement. Jessica a vingt-cinq ans. Elle est brune, avec les yeux noisette. Ne mesure qu’un mètre soixante-cinq et une petite poitrine. Ce jour-là il fait beau, très chaud, elle avait dû opter pour une robe légère, des escarpins et s'était rendue à la bibliothèque pour faire des recherches. Alors qu’elle explore les différents ouvrages, un jeune homme l’attaque par-derrière, passe ses mains sous la tenue, baisse la culotte rose à poids blanc et la viole. Jessica n’avait plus besoin de serrer les dents, elle n’avait plus aucune sensation, son père et tous les autres garçons l’avaient vacciné. Il fait glisser les bretelles de la robe et du soutien-gorge, libérant ses seins et les caresses.

— Putain que t’es bonne. Mais par contre tu as des petits lolos.

Lui chuchote-t-il à l’oreille. Une fois les couilles vidées, il s’en va, fier de lui. Pendant ce temps Jessica remet ses vêtements en place et quand elle se baisse pour attraper l’élastique de sa culotte, elle trouve un livre dont la couverture l’interpelle. Remontant le tissu dont le fond récolte les premiers reflux de semence,

Je réalise que ça me rappelle quelque chose de familier, mais impossible de dire ce que c’est. Je me baisse en mettant bien le bas de la robe entre les jambes et attrape le livre, que je relâche aussitôt.

La jaquette faite en peau, et le titre la laissent songeuse.

Je finis par le prendre, le mets dans mon sac, et je file à la maison. À cette heure-ci mon père travaille, je serai tranquille.

Sa mère est morte à la suite de nombreux coups violents de son homme durant leurs ébats. Lui ne rentre que très tard, soûl, et viole sa belle-fille en toute impunité. Ce dernier revient plus tôt que prévu, elle lisait le livre depuis un petit moment, étrangement elle pouvait tout traduire.

C’était long, détaillé, mais très intéressant. J’évitais de dire à haute voix, je connaissais le pouvoir du bouquin, pour l’avoir vue dans un film d’horreur. Vous savez celui où le héros perd son…. J’arrive au chapitre numéro. …

— Chérie, papa a passé une très mauvaise journée. Et ma bite a besoin de pénétrer ta chatte.

Ha non pas encore. Je me lève, me dirige vers mon bureau, le pousse et coince la porte, juste à temps.

— Qu’est-ce que tu fais ? Laisse-moi entrer, petite pute, prendre ton coup de queue quotidien, après ma pipe réglementaire bien sûr.

Je ne lui réponds pas, j’attrape mon sac, enfourne le livre, ouvre la fenêtre de ma chambre et l’escalade.

En montant ainsi, le bas de sa robe glisse, dévoile une culotte blanche avec des fraises imprimées dessus. Oui, à peine était-elle rentrée dans sa chambre, qu’elle s’était dépêchée à se déshabiller, retirer ses dessous souillés, et en mettait des nouveaux.

Je me suis arrêté dans un bureau de tabac, mon père avait tenté de me suivre, mais l’alcool a eu raison de lui, pendant que le gérant me tourne le dos, je pique une boîte de craie et m'enfuis en courant.

— Hé, sale voleuse, attends que je t’attrape. TU POURRAIS AU MOINS PAYER. Me hurle-t-il.

Bien sûr il ne pensait pas à l’argent, mais surtout à me baiser, comme tous les hommes. Je finis par trouver refuge dans le cimetière et quand la nuit est tombée, j’entre dans l’église et trouve l’accès au sous-sol. En bas il fait noir, je ne vois rien et une forte odeur d’humidité attaque mes narines.

Elle remonte prendre des bougies pour éclairer la pièce et commence à dessiner un cercle avec une étoile dedans, récite la formule. Quand tout est terminé, elle attend que quelque chose se passe. Mais rien.

— Et merde. Tu ne me sers à rien. Sale bouquin.

Crie-t-elle, avant de remonter et de rentrer à la maison. La pluie s’était mise à tomber. Même en courant, Jessica se retrouva toute trempée, et ralentit son allure à mi-chemin.

 À quoi bon me dépêcher, il va encore me violer de toute façon.

Elle était partie trop tôt, si elle était encore dans le sous-sol, elle aurait vu une chose improbable. Le livre s’est mis en lévitation, au-dessus un piédestal descend en flottant au-dessus des marches, se place au centre du dessin et il se pose dessus, alors un cercle noir apparut et commence à s’agrandir. Dans sa chambre, Jessica découvre que sa robe mouillée dévoile ses dessous, mais ce qui la frappe le plus c’est le silence qui règne dans la maison, elle replace son bureau et fait l’erreur d’ouvrir la porte.

— Te voilà enfin.

Il rentre dans la chambre, arrache la robe de la jeune fille et alors qu’il cherche à faire de même avec le soutien-gorge, non sans difficulté.

— NON !

Hurle-t-elle, en prenant une statue et frappant son père à la tête.

Il tombe à mes pieds, soulagé, je me dis que je dois faire quelque chose et je file au garage, attrape une bobine de fils de fer et une pince coupante. Avec une bonne longueur de câble, je lui attache les mains dans le dos, lorsque j’entends un cri. Je me lève, me dirige vers la fenêtre, qui donne sur la maison voisine. Plus précisément sur la chambre de la fille qui se dispute avec son frère, qui vient de lui arracher son débardeur. Elle se rebelle, prend sa corde à sauter, étrangle le garçon avec cette dernière, puis s’installe au-dessus de lui et fait pipi sur son cadavre. 

Dans tout le village, des altercations éclatent, finissant dans une effusion de sang et pour compléter le tableau, la tache noire commence à s’agrandir. À son contact, les bâtiments devenaient plus sombres, délabrés. Les routes se dégradent et (pour le fun) des monstres sortent de cette ombre. Les loups qui vivaient dans les bois entrent en ville, se transforment en loup-garou, les chauves-souris, vous l’avez deviné en vampire. Et comme si ça ne suffisait pas, une dernière surprise apparut.

La petite fille, qui devait avoir quatorze ans, regardait par la fenêtre, dans ma direction. Elle me voit, tandis que moi je matais sa jeune poitrine, tellement plus grosse que la mienne. Je ne remarque pas son frère qui l’attrape, par ses deux merveilles, et lui mord le cou. 

Dans une autre maison, plus loin, ce sont des membres qui se font arracher, des têtes qui tombent, et diverses joyeusetés.

Je fus sorti de cette macabre contemplation, par une phrase que j’entendais, sans voir mon interlocuteur.

— Donne-moi une offrande.

Je voulais bien, mais laquelle ? Quand mon père se réveilla, je compris tout de suite que c’était lui le cadeau. Je file au garage prendre de la corde, remonte dans ma chambre, mon paternel est à genoux et cherche à saisir ce qui lui arrive. Je la lui passe autour du cou et serre le nœud coulissant, pas trop pour ne pas l’étrangler.

— Lève-toi papa, on va faire une promenade.

Il se redressa sans broncher. Ils sortent et arpentent les rues. Lui entièrement nue le sexe dressé. Il reluque avec envie les fesses de sa fille, cachée par le tissu de la culotte. Elle ne portait que cette dernière, les petits seins droits et les tétons qui pointent, à l’air. Ils s’arrêtent quand un jeune homme s'approche de Jessica.

— Au secours, aide-moi. 

Supplia-t-il. Elle l’attrape par les bourses et dit.

— Va te faire foutre, vous avez tous abusé de moi, alors maintenant vous allez payer. CREVEZ TOUS, BANDE DE SALOPS.

Hurle-t-elle, en attendant qu’une fille morte-vivante morde à pleine dent dans le bras du jeune homme. Elle ressent une bouffée de joie ou de plaisir, peut-être les deux, allez savoir. N’empêche elle reprend sa route, au milieu des cris d’agonie et de sang. Jessica tire sur l’élastique de sa culotte, l’arrache et la laisse tomber sur le sol, ce qui fit plaisir à son père, qui vient d’avoir une envie folle. Il accélère, rejoint sa fille et plante son sexe entre ses fesses, elle s’arrête et son dard pénètre dans le cul.

— Tu te sens bien dedans, papa ?

— Oh oui mon amour, il est tellement…

— C’est la dernière fois que tu t’y enfonces.

La coupe-t-elle en lui envoyant un coup de pied dans les valseuses, il hurle de douleur, tombe et s’évanouit.

Merde, j’ai frappé trop fort. Tant pis, je vais le traîner.

Il gémit au bout de quelques minutes.

— Ha, pas trop tôt, tu es vraiment lourd.

Elle se dirige vers lui et pose le pied sur la partie sensible, qui est maintenant au repos.

— Écoute-moi bien, fils de pute, je ne suis plus ton jouet sexuel, alors tu restes loin de moi. C’est compris. 

Lui dit-elle en appuyant plus fort.

— Ou… oui. 

Gémit-il.

— Parfait. Maintenant, lève-toi et marche.

Ils arrivèrent quelques minutes plus tard, descendirent au sous-sol et découvrirent, avec stupéfaction, un portail, devant lequel se trouvait une silhouette.

  • Ha, te voilà, plus mignonne que je l’avais imaginée. Rare pour une humaine.

La voix est douce, chaude, presque sensuelle. Elle appartenait à une femme, grande, environ, un mètre quatre-vingt. Les cheveux longs et roux, des flammes dansaient dans ses yeux. Elle portait un tailleur rouge sombre, le décolleté, donnait une vue sur une vallée, où devait se cacher une magnifique paire de seins, par un débardeur. En fait c’est du sang, qui est en mouvement perpétuel, qui compose la matière. La jupe s’arrête un peu plus haut que mi-cuisses, dévoile de longues et belles jambes. Le sexe du père se redresse face à une telle toile de peintre, il a besoin de peu pour avoir envie.

— Alors c’est ce pervers, mon offrande.

— Oui, c’est mon vieux, mais qui êtes-vous ?

— Oups, je ne me suis pas présentée, je suis la déesse de la colère. Appelle-moi Carla. Et ce n’est pas ton père.

— Pardon.

— C’est ton crétin de papi, ton véritable géniteur et il va passer un mauvais moment, regarde.

Elle lève les bras, ce qui soulève la veste, montrant un peu plus le débardeur, on dirait une hémorragie qui coule sur sa peau. Elle joint les mains, puis les écarte, créant une fenêtre sur la chambre du grand-père. En plein exploit avec une femme.

— C’est ça votre mauvais moment 

— Attends ma douce, regarde, ça vient juste de commencer.

La porte s’ouvre sur sa défunte fille, morte une semaine auparavant. La jeune demoiselle se lève pour aller lui parler et se retrouve avec la tête à cent quatre-vingts degrés, pour ensuite être remise à l’endroit. Elle tomba raide morte. C’était pour elle, comme une vengeance, même décéder. Son âme avait envie de faire, ce que de son vivant elle n’avait pas osé. Et le monstre qu’elle était devenue se jeta sur ce père irrespectueux et lui dévora le sexe. Il hurla de douleur, mais très vite le silence régna dans la pièce, la jeune fille venait de lui manger la langue et la bouche.

Je jubilais en regardant ce spectacle.

Puis la déesse referma la vitre magique. Et dit.

— Maintenant, je voudrais te remercier, que désires-tu avoir en plus des pouvoirs que je vais te donner ?

— Je souhaite devenir plus grande et avoir une plus grosse…

— Poitrine, je comprends ton complexe de jeune fille et de moquerie.

Elle claque des doigts et soudain Jessica se métamorphosa, mais en contrepartie ses cheveux et ses yeux avaient changé de couleurs.

— Oh, mon amour, comme tu es devenue bonne, j’ai envie de toi.

— Oh non. Toi, tu viens avec moi.

*

— Vous auriez dû voir le sourire béat qu’il avait. Il s'imaginait déjà qu'il était en train de la baiser.

*

Clara claqua à nouveau des doigts et sept pièces en verre apparurent. Ils se dirigent vers la première et elle fait rentrer mon père en premier. Juste avant de refermer la porte, elle dit.

— Quant à toi, belle Jessica, tu auras la mission d’aider les autres dieux à venir sur terre. Si jamais tu échoues, crois-moi, tu ne voudras pas savoir ce qui pourrait t’arriver.

Elle ne me laisse pas le temps de répondre, elle s’enferme avec mon père et une barrière magique apparaît, atténuant les sons. Mais je pouvais encore les entendre.

— On va bien s’amuser. Dis mon paternel en voyant qu’elle le détache.

— Oh oui. Tu ne crois pas si bien dire. Et si je commençais par ce qui te rend le plus fière.

Elle pose sa main sur la queue de mon père, un sourire victorieux se dessine sur son visage, mais il se transforme vite en grimace de surprise et pour finir d’horreur. L'ébahissement fut-il, qu’il ne put crier, ou hurler. Voir son engin exploser, sans une seule hémorragie, relève de l’exploit, mais ce n’était que le début de son cauchemar. Les boules viennent juste derrière et éclaboussent les vitres de sang et de chair. Ce fut ensuite les doigts, un par un. Les cris me donnaient une poussée d’extase et je commençais à me caresser tout en le regardant exploser, morceau par morceau. Un puissant orgasme me fit gémir, répandant ma liqueur sur le sol, alors qu’il ne restait de mon père, si je pouvais appeler cette chose ainsi, que le buste et la tête, qu’elle tenait entre ses mains. Carla la serra lentement, les yeux sortirent de leurs orbites, avant d’être éjectés sur le tailleur de la demoiselle, les dents sautèrent comme des puces sur le dos d’un chien. La langue gonflait par l’afflux de sang et explosa, suivie de peu par la tête. Puis j’ai vu l’impensable, elle ressuscita sa victime. Tous les membres se mettaient à pousser à une vitesse incroyable. En une minute, il était comme un sou neuf et son regard étonné devint apeuré.

— On recommence, mais cette fois j'y vais mollo.

— Non, arrêtez par pitié, je ferais ce que vous voudrez, mais ne me touchez plus.

Ce con, il la suppliait, mais cette phrase restera l’apothéose de ma victoire sur lui.

— Mon pauvre ami, tu vas ressentir ma colère pour l’éternité.

J’ai passé un mois à contempler ce spectacle. Ses différents styles de tortures, toujours en prenant du plaisir, c’était la première fois que je découvrais la volupté avec mon corps et le premier jour du mois suivant fut pour moi une renaissance.

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