Girl do shopping…

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Comblée de plaisir, oui, depuis que je me suis réveillée, je me fais du bien. J'évite juste le point de non-retour, je me réserve ça pour le soir, avant de m'endormir. Par rapport à ma sœur je suis plus discrète, je serre les dents pour ne rien laisser filtrer, car ma sœur pourrait m'entendre à travers le mur qui sépare notre chambre., je suis obligée d'attendre quelques minutes avant de pouvoir sortir, prenant mon mal en patience.

Pendant ce temps, elle reprend ses esprits.

Bon je vous le dis tout de suite, devant ma mère je joue un rôle, vous savez celui de la petite fille sage, en vérité je suis aussi dévergondée que ma sœur, c'est de sa faute. Il y a trois mois, elle m'a raconté qu'elle avait espionné papa et maman en train de baiser et que depuis elle était tombée amoureuse de lui. J'avoue que je ne le voyais pas du même angle, pour moi ce sont mes parents et c'est tout. Sauf que, deux nuits plus tard, après les révélations d'Alex, en me levant pour aller au petit coin, je passe devant la porte de la chambre de mes parents, elle est entrouverte et là, je vois maman, en train de chevaucher papa. Ça ne me choque pas. C'est bien comme ça que je fus conçue. Non ? Ce qui me surprend c'est la taille et la longueur de la chose qui la pénètre, tout en regardant les seins de ma mère sautiller en rythme. Je retourne vite au lit, une chaleur enivrante venait de naître entre mes cuisses, une fois sous la couette je plonge ma main droite, dans mon pantalon de pyjama, sous ma culotte et mes doigts caressent mes lèvres qui sont recouvertes de mouille. Deux pointes apparaissent sur mon tee-shirt. Je caresse le sein gauche, agace le bout gonflé et là j'explose. M'endormant aussi sec.

Oui vous l'aviez compris, j'étais en train de me masturber de bon matin, tout en pensant à lui. J'adore la sensation qu'offrent mes tétons quand ils se dressent sur les deux petites collines que forment mes seins naissants. Mes doigts parcourent mes lèvres humides, l'un d'entre eux sillonne l'orée de mon anus, puis remonte titiller mon bouton rose. Je finis par remettre ma culotte mauve à fleurs blanches, suivi de mon bas de pyjama, j'enlève le haut pour replacer ma brassière bleue. Enfin rhabillée je me lève et vais prendre mon petit déjeuner, en laissant ma frangine à ses affaires. Une fois terminé, dans le couloir, je croise Alexandra.

— Bonjour.

— Bonjour p'tite sœur.

Dans la chambre, je me dévêts, enfile mon maillot de bain, une pièce verte. Après, je vais à la salle d'eau pour prendre une serviette et je plonge dans la piscine, me rafraîchir. 

Après quelques longueurs elle sort et s'allonge sur un transat, le temps de sécher, ainsi que le maillot de bain.

Comme je le disais, je suis plus discrète que ma sœur, effectivement je ne me trimballe pas à moitié à poil, ou en étant nue sous mes vêtements pour attirer papa. Je sais que c'est lui qui étend le linge et qu'il connait mes culottes. Mais, je préfère quand il les contemple sur moi. Surtout qu'il regarde ce qu'on lui montre Alex et moi, j'espère qu'il aime la vue sur la tâche au fond de mes culottes. Je finis par rentrer, une fois dans ma chambre, me déshabille et j'enfile une culotte rose à étoiles blanche et or. J'imagine ce que pourraient donner mes seins dans six ans. Les deux petites auréoles, autour de mes pointes, vont-elles grandir ? Ou resté comme ça ? Et surtout, quelle taille feront-ils ? J'aimerais tant avoir ceux de ma mère, hâte de voir ça dans deux à quatre ans.

Linda sort alors une tenue de son armoire et l'essaie

Trop petit, mince, j'enfile un peignoir et appelle.

— Maman ?

Elle sort de la chambre, se dirige tranquillement vers celle des parents au fond du couloir, tape à la porte et rentre.

— On peut aller faire des courses s'il te plaît ?

— De quoi as-tu besoin, ma puce ?

— Il me manque une robe, celle que je voulais prendre est trop petite.

— Pas de soucis, je m'habille et on y va.

Je retourne dans ma chambre, enfile un short en jean, enlève mon peignoir et passe un tee-shirt rose imprimé, la reine des neiges. Je sais que normalement, je porterais une brassière, mais vu la chaleur de la journée je préfère ne pas en utiliser.

À peine avait-elle le temps de finir de mettre des sandalettes, qu'elle entend crier.

Je me précipite alors dans la chambre de ma mère et je la vois replier sur son lit, en peignoir, les yeux dans le vague.

— Maman, ça va ?

Alexandra arriva quelques secondes plus tard en nuisette, trempée au niveau des seins, à mon avis elle devait être dans sa douche.

— Ne vous inquiétez pas, mes chéries, c'était une souris.

Je n'y croyais pas trop à cette histoire, ce n'est pas son style, mais bon, je me rends dans le salon et attends patiemment qu'elle arrive.

Au bout de cinq minutes.

— Tu es prête Linda ?

— Oui maman.

— Alex, on devrait revenir pour une heure, mange sans nous.

Pas de réponse, c'est tout elle. Une fois au centre commercial, on rentre dans un magasin de vêtement où je trouve mon bonheur, une robe légère d'été et qui est faiblement transparente, juste assez pour voir la couleur de mes dessous, elle est parfaite. J'entre dans la cabine d'essayage, me déshabille et l'enfile. C'est à ce moment que je sens comme une présence, j'ai l'impression que l'on mate sous ma robe, en regardant dans le miroir je ne vois rien.

— Tiens ma puce, mets celle-ci.

Rebelote. Mais cette seconde étoffe ne me donne pas envie. Bizarre ! Ma culotte est au niveau de mes chevilles, je ne l'ai même pas senti glisser. Et qu'est-ce qui soulève ma robe ?

Stupéfaite par ce qui se passe, elle regarde, via son reflet, le bas du vêtement remonté, dévoilant son mont de vénus imberbe.

Je rehausse ma culotte, le reste redescend. J'enlève la robe, puis réessaie la première. Sur ce coup, je sens que mon calbar se baisse de nouveau, comme si quelqu'un tirait dessus. En regardant plus en détail mon reflet, j'aperçois une forme humaine. Plutôt une tête, entre mes jambes. En train de mater sous ma robe et des mains qui passent sous celle-ci, je donne un coup de pied à cette forme, qui disparaît aussitôt, me déshabille et remet ma tenue de départ et ressort de la cabine.

— C'est bon, maman, c'est celle-ci que je prends.

— Pas l'autre ? Elle est pourtant plus belle.

— Oui, mais non.

— D'accord.

Je commence à comprendre ce qui a dû se passer tout à l'heure avec maman. 

Une fois chez elles, les filles mangent, finissent leurs valises. Charles rentre et quinze minutes plus tard c'est le départ. Durant la première partie de la route, les jeunettes jouaient entre elles, jusqu'à l'arrêt pour le repas.

Heureusement pour moi, j'avais mis un short, un coup de vent vient nous frapper, à tous les coups, Alex ne doit pas retenir sa jupe. Bizarrement seuls, mes parents ont pu regarder le spectacle qu'elle offrait. Après avoir choisi notre menu, ma sœur s'éclipse au petit coin. Je reste ébahie par son retour et son culot. Elle qui joue d'habitude la prude devant maman, là elle se lâche complètement et ce qui me choque c'est qu'elle ne la dispute pas. Dès que l'on reprend la route, la fatigue me gagne rapidement et je m'endors.

Tout ce que Linda entend, avant de plonger dans les bras de Morphée, c'est un léger bruissement de tissu, du côté d'Alex.

Elle ouvre les yeux brusquement en sentant une forte pression au niveau de ses chevilles.

Je voulais crier, mais je n'ai pu que penser.

Qu'est-ce qui...

Je suis déjà hors de la voiture, dont le toit frôle mon dos de près, je sens deux choses se faufiler sous mon short et là j'entends Alex criée. Je sens une de ses choses qui passent sous ma culotte.

Elle reçoit un coup dans la nuque et s'évanouit.

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