Chapitre 9

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23h59 et 55 secondes…

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Sophie est là devant moi, habillée comme elle était lors de notre rencontre dans la galerie. Elle me regarde dans les yeux, puis vers la poche dans laquelle se trouve la carte de visite qu’elle m’a donnée. Je comprend rapidement que la clé du mystère est là. Je la sors et constate avec surprise que la carte n’est plus vierge. Le coté pile représente une silhouette féminine blanche sur fond noir, elle semble allongée sur le dos, une jambe repliée, l’autre tendue, une main entre ses cuisses, le dos cambré par le plaisir, la bouche entrouverte, une poitrine généreuse mise en valeur pas la position. Entre ses lèvres semble s'échapper un voile de fumée qui se transforme en une nouvelle silhouette presque identique à la première. Sur l’autre face, un fond blanc légèrement cassé sur lequel se trouve une série d’inscriptions, Une seconde en dehors du temps, en lettres rouges calligraphiées, une adresse, qui me semble ne pas être très loin de là où travail cette mystérieuse demoiselle.

Je n'ai pas encore pris le temps de contempler l’environnement dans lequel nous nous trouvons. En relevant les yeux sur la vendeuse, je me rends compte que je suis dans ma chambre. Un flash blanc m’aveugle, je suis propulsé sur mon lit, sur les dos et nu. Des menottes accrochées aux barreaux écartent mes bras et mes jambes m’interdisant tout mouvement. La position est confortable, mais je me sens mal et oppressé, ma nature claustrophobe prend le dessus.

Paradoxalement, je suis aussi excité, le fait d’être à la merci de Sophie, qu’elle pourrait faire de moi ce qu’elle veut. Mon membre est gonflé, énorme, comme déjà près à exploser. Pas de doute, je suis bel et bien excité. La rousse flotte au-dessus de moi, sa tenue a également disparu, elle porte maintenant de la lingerie fine, rouge vif, agrémenté du porte-jarretelles et de bas assortis. Allongée dans les aires, son corps se rapproche doucement du mien. Un nouveau flash, remplace son string par un sexe d’homme énorme. Un autre la fait revenir à la normale. Encore un, Une queue apparait, comme on en rencontre dans les représentations de démons, longue, large à la base puis de plus en plus fine, elle se termine par une forme de pointe fine. Elle me fouette les cuisses avec, j’hurle de douleurs, j’oublie instantanément les menottes qui me retiennent. Les coups de queue se succèdent, mes cris deviennent la manifestation de mon plaisir, non plus celle de la douleur.

Sophie qui semble contrôler la chose avec perfection, l’enroule depuis son milieu autour de ma gorge, en la glissant doucement sous ma nuque, sur deux tours, elle resserre son étreinte, je ne suffoque pas suffisamment pour que ma respiration soit totalement coupée. Le milieu de ce qu’il reste s’enroule maintenant autour de ma queue à moi, qui se gonfle encore un peu plus. La pointe se glisse doucement entre mes fesses sans que je ne la sente distinctement entrer en moi. C’est quand l'intrigante manipulatrice l’enfonce en moi le plus profondément possible que je m’en rend compte. Elle entame dans la foulée un va-et-vient en moi, ainsi qu’un mouvement de masturbation. L’ensemble me fait rouler des yeux, je sens la pointe se gonfler de plus en plus, mon anus est dilaté au maximum et encaisse cette baise étrange autant qu’excitante.

Plus les mouvements se font rapides, plus je sens un plaisir intense monter, une légère sensation de picotement agréable se fait sentir à l'intérieur. Ma prostate est stimulée à son maximum, une sensation de jouissance monte, différente de celle que je ressens habituellement. Celle-ci me semble plus intérieure, c’est inédit. La partie de la queue de démon qui est sur mon membre semble empêcher toute éjaculation. J’ai tout de même cette impression qu’elle va exploser, tout mon corps se met à trembler, des larmes montent de manière incontrôlable.

- Je vais… Je vais… Jouir ! je crie.

Enfin l’explosion, plus rien de mon corps n’est dans son état normal. Pourtant aucune goutte de sperme n’est sortie. Je connais plus que bien cette pénétration et jamais personne ne m’a mis dans cet état. Sophie ne s'arrête pas pour autant, le milieu de sa queue relâche son étreinte autour de mon cou, me laissant retrouver une partie de mon souffle. L'extrémité, qui est en moi, diminue en diamètre. Elle ralentit enfin et ressort, mes yeux qui s’étaient fermés me laissent maintenant apercevoir la belle rousse toujours flottante juste au-dessus de moi, elle est maintenant entièrement et magnifiquement nue. Elle relâche mon sexe, toujours gonflé à son maximum. Sa lévitation se fait de moins en moins importante, sa queue de démon prend place au-dessus d’elle et dessine des vagues dans le vide.

Son corps effleure maintenant le mien. Mon membre est prêt de son antre. Sans difficulté, je la pénètre quand elle se pose délicatement sur moi. Maintenant à genoux sur le lit, elle gémit, sa queue de démon est en train de former une boucle, son extrémité rejoignant la base, ou presque, et l’encule comme elle l’à fait pour moi. Elle entame un va-et-vient sur mon membre. Je devine que son autre orifice est aussi dilaté que ça l’a été pour moi. Ce ne sont plus des gémissements qui sortent de sa bouche mais des hurlements. Son orgasme est déjà là, le mien aussi. Cette fois-ci je lui déverse une énorme quantité de semence dans la chate. Au point que ses mouvements la font déborder de tout bord. Mes jets n’en finissent plus, elle prolonge nos jouissances à l'extrême avant de littéralement s'effondrer sur moi.

Minuit pile.

Le choc du corps de la vendeuse semble avoir provoqué mon réveil. Je suis attablé, le regard dans le vite, j’ai encore du mal à réaliser l'enchaînement de ce nouveau voyage et des orgasmes que je viens de vivre. Je vais avoir énormément de questions à poser demain quand je vais la retrouver dans le monde réel. Je vais tout de suite m'effondrer dans mon lit, le sommeil ne se fait pas prier pour m’emporter. Dans la nuit je revis cette expérience en rêve. Le matin venu, je me réveille trempé, de sueur et de sperme, une douche est indispensable.

L’heure est venue de retrouver Sophie, je me rend donc à l’adresse indiquée. Je me retrouve devant une vieille porte en bois encadrée de pierres blanches usées, verdies par l’humidité et effritées par l’érosion. Cette porte je la connais, elle correspond à une photo que j’avais trouvé il y a quelques semaines sur internet. La coïncidence est troublante. Comme si cette porte était le point de départ de toute cette aventure. Au centre un anneau métallique complètement rouillé permet de signaler ma présence, j’ai cinq minutes d’avance.

Pas de réponse. J’attend donc l’heure en surveillant mon téléphone avec impatience. A l’heure dite, la porte s’ouvre toute seule, il fait très sombre à l'intérieur. Non sans appréhension, j’entre. La porte claque aussitôt derrière moi. Le noir fait place à une lumière blanche et intense. Au milieu de la petite pièce vide se trouve Sophie, vêtue d’une longue robe en voile rouge, la transparence me permet de voir qu’en dessous, elle ne porte strictement rien. Elle ressemble à une divinité ou une prêtresse.

- Tu es le bienvenue Marc, je sais que tu as énormément de questions, je vais répondre à un maximum d’entre elles.

Je reste silencieux, abasourdi du fait qu’elle connaisse mon prénom.

- La première chose à savoir est l’origine de ce que tu appelles des voyages. Le forum t’a donné une partie de la réponse. Entre la projection astrale et la projection cérébrale. Il y a quelques années, j’ai créé le forum que tu connais, à la suite d'une série d'expériences personnelles. Depuis j’ai beaucoup appris sur le sujet, j’y reviendrai en temps voulu. Ce que tu vis s’appelle exactement connexion extraneuronale, elle se produit uniquement entre personnes qui ont une compatibilité parfaite. Ta collègue Vanessa, toi et moi avons les mêmes caractéristiques cérébrales.

- Vanessa ? Comment connais tu son existence ?

- Je l’ai lu en toi, je t’explique ça après. Pour la partie technique, nos liaisons neuronales émettent des ondes. Chacun à des fréquences différentes. Tous les trois, nous avons des fréquences assez proches pour que nos cerveaux soient en mesure de les capter. Nous devons aussi avoir des points communs dans nos personnalités pour que celà se passe bien. Comme nos envies, nos philosophie de vie, globalement nous devons avoir une affinité et une capacité à nous entendre.

- Continue.

- J’ai découvert ce lien par le biais de mon ancien travail. Je ne suis pas scientifique, mais la société pour laquelle je travaillais était financée pour un tas de recherches autour du cerveau humain. C’est comme ça qu’un des scientifiques, et ami, m’a proposé de participer avec lui à des tests grandeur nature. Grâce à de l’appareillage conçu par lui, il a réussi à mettre en lumière cette onde et à l'exploiter. Au départ c'était juste une lecture dont il arrivait à interpréter le contenu.

- Quel est le lien avec ce que nous vivons ?

- Par un pur hasard en fait. Un soir, lorsque nous travaillions tard, je me suis retrouvé dans sa tête. C’est là qu’a réellement commencé l’aventure. Au départ nous n’avons pas vraiment compris ce qui c’était passé, lui et moi n’avions pas osé en parler, tant la scène était perturbante. Bien sûr, il à continué à s’y intéresser pour savoir s’il y avait un rapport entre mon entrée dans sa tête.

- C’était le cas j’imagine.

- Il m’en a fait part une semaine après oui, de là nous avons réussi à le reproduire avec l’appareillage qu’il avait conçu. En enregistrant un maximum de données venant de chacun de nous. Avec le temps nous avons réussi à nous passer de l’électronique pour nous connecter en direct. C’était incroyable !

- Une sacré découverte oui !

- De là, nous avons tenté de savoir si ça ne nous concernait que tous les deux, ou si ces connexions étaient possibles avec d’autres. Comme nous étions capables de nous capter l’un l’autre lorsque nous le décidons, nous avons arpenté l’entreprise en écoutant de la même manière. Finalement, nous avons trouvé deux collègues que nous captions l’un comme l’autre. Ces derniers ont très vite accepté de se prêter au jeux avec les appareils pour récolter les données.

- Ça vous à permis de trouver la piste de la fréquence ?

- Exactement. Ensuite, nous avons mis au point un appareil permettant de lire les fréquences de chacun. Avec du temps, et beaucoup de volontaires, nous avons réussi à définir le seuil qui fait que nous sommes capables de nous connecter à une personne ou non.

- Comment suis-je arrivé là ?

- Je te passe les détails, mais depuis, mon collègue et moi ne travaillons plus pour cette société, mais nous continuons nos recherches en toute discrétion. Mon travail dans la galerie est en fait un moyen pour moi de croiser beaucoup de monde et d’essayer de trouver de nouveaux partenaires de recherche régulièrement. C’est comme ça que je t’ai trouvé. Étrangement quand tu es passé la première fois, je n’ai pas réussi à me connecter à toi. Ce n’est que mercredi que j’ai compris.

- C’est-à-dire ?

- Quand nous nous sommes enfin connecté, j’ai lu en toi, comme si tu m’avais ouvert la porte. J’ai compris que tu étais connecté à Vanessa.

- Ça me revient maintenant, la première fois que je me suis connecté à elle, j’étais passé prendre un truc à manger dans la galerie comme j'étais sur les rotules. Du coup pourquoi Vanessa et pas toi ce soir là ?

- Sur le coups je n’ai pas vraiment compris. J’ai d’abord pensé que je m’étais trompée. Puis tu es revenu le mercredi, même si tu n'es pas passé devant la boutique j’ai senti ta présence, et ce soir-là nous avons partagé notre premier moment. Durant cet échange, j’ai découvert ta collègue et le fait que votre compatibilité est plus importante qu’entre toi et moi.

- Donc tu lis dans mes pensées ?

- Oui, j’en ai toujours été capable. Avec toi, c’est même encore plus flagrant, je n’ai pas besoin de faire d'efforts. Je connais déjà tout de toi, comme si nous nous connaissions depuis toujours. C’est totalement nouveau, comme le fait que tu reviennes avec des souvenirs physiques.

- C’est vrai que je n’ai rien lu à ce sujet sur le forum que tu as ouvert.

- Tu as quelque chose de différent, je ne l’explique pas encore, et c’est aussi la raison de ta présence ici aujourd’hui.

- Pour comprendre ce que j’ai de spécial ?

- Pas seulement, pour la première fois, je vais transmettre ce que je sais des connexions en t'apprenant à les maîtriser aussi bien que moi. Abel, mon partenaire, voudra sûrement te proposer de te faire les mêmes tests que ceux que nous avons fait au début. Si bien sûr tu es d'accord avec ça.

- Est-ce que j’ai le temps d’y réfléchir ?

- Évidemment, tu as exactement une semaine à compter d’aujourd’hui, tu reviendras ici à la même heure pour me donner ta réponse. Je compte sur toi pour n’en parler à personne entre temps, pas même à ta collègue.

- Et si je refuse ?

- Nous serons obligés de te tuer, dit-elle en explosant de rire. Plus sérieusement, je ne l'espère pas, je n’y ai pas vraiment réfléchi. Saches, tout de même, que ce que tu as vécu jusqu’ici, en n’ayant aucun contrôle sur les événements, peut changer radicalement de forme.

- …, je la regarde d’un air surpris.

- Souviens-toi, notre dernière connexion. La carte de visite qui a changé, les flashs que tu as vu avant chaque modification, c’est moi qui contrôlais ça. Avec de l’entrainement tu pourrais faire pareil.

- Ah oui ?

- Oui, et je suis certaine que tu me surpasseras de très loin.

- On verra. Pourquoi cette mise en scène pour me rencontrer ?

- Ce lieu est mon refuge, ici je sais qu'aucune oreille indiscrète ne viendra nous espionner. Je t’en dirai plus si tu décides de me suivre dans cette aventure.

- Mais la pièce blanche, ta tenue, j’ai presque l’impression de passer un examen d’entrée pour une secte.

Sophie explose une nouvelle fois de rire, s’approche de moi et me caresse les cheveux.

- Tu es si mignon, quand tu es entré, la pièce était-elle aussi lumineuse ?

- Non, mais …, je n’ai pas le temps de finir qu’elle m'interrompt.

- D’après toi, sommes-nous dans la réalité ou dans le monde construit par notre connexion ?

Je prends le temps de me concentrer et du recul sur la situation et sur l'enchaînement qu’a pris mon arrivée. Je ne m'étais pas posé la question puisqu’il n’est pas l’heure habituelle de mes voyages. En focalisant toute mon attention sur Sophie, je commence à entendre un chuchotement, il n’est pas audible mais je sais que ça provient d’elle. J’entends finalement les mots : “Continue, tu y es presque !”. Cette phrase que mon hôte me répète en boucle. Je l’entend maintenant clairement.

Je me concentre sur sa robe, en ressens la texture. Alors qu’elle se trouve hors de portée, je pose une main sur son genoux, le gémissement qu’elle émet m’indique sa surprise totale. “Wow ! Tu es doué ! Continue comme ça !”. Cette main pilotée par mon esprit, remonte le long de sa cuisse que j’ai l’impression de déjà connaître par cœur. Son visage rougit, elle ne s'attendait pas à ça, Je profite de l’instant, en passant sur l’autre jambe.

Lorsque je remonte vers son entrejambes, une force invisible m’emporte vers elle. Comme je perds toute concentration, ma projection disparaît de son corps. Sophie a repris le contrôle. Elle me maintient en lévitation devant elle, les bras le long du corps, les jambes serrées. Elle me regarde quelques instants puis relâche toute contrainte, me faisant m'effondrer sur le sol.

Au même moment, tout s'arrête. La lumière blanche qui éclairait la pièce s'éteint. Mon intrigante partenaire n’est plus suspendue au-dessus du sol, mais assise dans un canapé de velours rouge, avec un jean bleu et un t-shirt blanc. Quant à moi, je suis assise par terre à plusieurs mètres d’elle. Il nous faut à tous les deux quelques secondes pour reprendre nos esprits.

La pièce dans laquelle nous nous trouvons est bien plus petite que celle qui nous accueillait quand nous étions connectés. La porte par laquelle je suis entré fait face au canapé qui occupe toute la largeur. La profondeur ne dépasse pas les deux mètres cinquante. De chaque côté, se trouve une porte, il n’y a aucune décoration sur les murs grisonnants. Une simple ampoule nue éclaire le lieu. Je regarde ma montre, une seule seconde s’est écoulée depuis mon arrivée.

- Nous ne sommes pas là pour ça cet après-midi, dit-elle, brisant ainsi le silence.

- Non, mais c’était tentant.

- Je ne te contredirais pas .. Comme je me l’imaginais, tu es doué.

- Tu le penses vraiment ?

- Bien sûr, tu as réussi à lire mes pensées et à faire une projections mentale dès ton premier essai, il m’a fallu des années pour en arriver là.

- …

- La semaine prochaine, si tu décides de venir et de partager l’expérience avec nous, je te présenterais mon ami.

- Et si j’ai déjà pris ma décision ?

- Je te dirais de la garder encore une semaine quand même. Attends que l’euphorie de cette découverte retombe, et vois si tu penses toujours la même chose.

- Ok. Est-ce que j’ai la possibilité de te contacter si j’ai des questions ?

- Avec tes capacités, je sais que tu sauras trouver le moyen quand tu en auras besoin. Rentres chez toi et commence à réfléchir. Fais bon usage de ce temps précieux, ça passera vite.

La porte d’entrée s’ouvre derrière moi. Sophie me fait signe de tête. Ses pensées entrent dans les miennes.

Sois discret, et rentre bien. A bientôt.

- Merci, toi aussi. A bientôt.

A peine je franchis la porte qu’elle se referme. Il est seize heures quand je rentre chez moi prendre une douche sous laquelle je passe une bonne demi-heure. Je me fais plaisir trois fois en dessous. Je me pose devant la télé, sans vraiment la regarder, je n’arrive pas à penser à autre chose qu’aux révélations de la vendeuse. Pour chaque nouvelle question que je me pose, sa voix résonne dans ma tête pour me donner les réponses, comme si la connexion ne pouvait plus être coupée.

Je ne suis pas vraiment vendeuse non, j’ai pris ce poste comme couverture pour pouvoir croiser un maximum de monde et ainsi détecter d’éventuels partenaires de connexions et ainsi aider Abdel à récolter plus d’info sur tout ça.

Les limites, je ne les connais pas, je doute qu’il y en ait. Tu nous aideras peut-être à les découvrir.

Le sexe est un langage universel, il permet de connecter tous le monde quelque soit sa langue maternelle.

Avec de l’expérience oui tu arriveras, comme moi à détecter quelles sont les personnes avec qui tu peux te connecter.

Il est tard, je n’ai pas l’impression que je vais me connecter avec qui que ce soit ce soir, je me prépare donc à aller me coucher, mon rituel du soir dans la cuisine sera oublié pour une fois, je suis vraiment trop fatigué par la journée que je viens de vivre.

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