Chapitre 13

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Pendant la semaine d'examen, j'évita Clémant au maximum et inversement. On avaait aussi arréter les entrainemes. Ils nous fallait à tous les deux le temps d'accepter la situation. Poruatnt, de mon côté, ne j'y parvenais pas. Plus j'étais éloignés de lui et plus je voulais l'avoir proche de moi. Durant cette semaine, je n'avais pas non plus parler avec ma mère. J'avais besoin de temps. Comme tous les samedi midi, je me rendis dans la grande salle. Des camarades de classe se joignirent à notre discussion même si je restais distante. Surtout que Clément était assis à côté de moi.

"-Vous allez faire quoi pendant les vacances ?

-Mon père rentre à la maison. on va passer toute les vacances ensemble.

-C'est cool, tu doit être trop content de le revoir.

-Tu n'imagine même pas. Et toi Anna, tu as quelque chose de prévu avec ton père ?

-On peut parler d'autre chose.

-Qu'est-ce qu'il y a ? Tun'aime pas Noël ?

-Au contraire, mais parlon d'autre chose, s'il vous plait ?

-Toi, tu t'es encore disputer avec ton père.

-Elle as dit qu'elle ne voulais pas en parler, intervint Clément.

-il ne veux pas que tu rentre c'est ça ?

-Qu'est-ce que tu ne comprends pas quand je te dis que je ne veux pas en parler ? Levais-je le ton

-Vas-y calme toi. Je n'y suis pour rien si tu es de mauvais humeur.

-Tu y es pour rien, en effet. Comme vous tous en fait. Aucune de vous n'as vu que je n'allait pas bien et vous prétendez être mes amis ?

-Ce n'est pas de notre faute si tu as des problème perso. Pas la peine de t'en prendre à nous.

-Calme toi Anna, repris Clément calmement.

-occupe-toi de ce qu'i te regarde, ok ?

-Mlle Ondri ! Veuillez cessez cette agitation, s'interposa Mme Stanford.

-Je veux seulement qu'on me laisse tranquille, Madame. répondis-je alors que je m'apprétais à quitter la salle.

-Veuillez vous rassoir ! Mais je ne réagit pas.

-Adriana ! Ça suffit maintenant ! Peut-on discuter tranquillement ? Intervint ma mère, me stopant net.

-Discuter tranquillement, sérieux ? Comment je peux arriver à me reconstruire alors que peu de personne savent ?Comment je fais alors que ja seule personne avec qui je peux en parler m'ignor parce qu'on la décider ainsi ? Comment je fais alors que j'ai plein de question et que je suis incapable de t'en poser une seule.

-De quoi parle-t-elle ? Demanda Mme Stanford à la directrice

-Ne vous occupez aps de ça, professeur !

-C'est vrai ça, de quoi je parle ? Pourquoi ne leur dit-tu pas la vérité, ma..."

Les portes de la grande salle s'ouvrirent brusquement, laissant apparaitre un homme grand, barbu et musclé. Je resta sans voix à sa vue. Je tourna la tête vers ma mère et vis qu'elle s'était avancer le long de la rangé pour rejoindre cet homme. Je compris rapidement qui il était, le directeur et mon père.

"-Que tous le monde retrourne à sa place. Nous avons plus urgent à régler qu'une querelle d'ado !

-Dorian, que fait-tu ici ?

-Tu aurait pus me prévenir qu'elle étudiait ici ! je me retrouve de nouveau à devoir protéger cette école contre le même envahisseur.

-S'il te plait, écoute moi...

-Depuis quand tu sais qui elle est ?

-Seulement depuis peu.

-Bon as pas le temps, il va...

-Vous m'attendiez on dirais !"

Je vis mon père, enfin, celui qui m'a élevé, entrer dan la grande salle. Clément vis mon regard et compris ma terreur. Je remonta ma capuche, me tourna vers la table et essaya de me faire le moins remarquer possible.

"-Oui cachez-vous ma fille ? Je vous avez dit que je reviendrais la chercher.

-Elle n'est pas ta fille Marc.

-Elle l'es et tu le sais trés bien. Puisque vous ne voulez pas me dire où elle est, je vais tuer toute les filles présente dans cette pièce jusqu'à ce que je la trouve.

-Tu ne ferais pas ça...ajouta ma mère.''

Je croisa le regard de Clément, me tourne vers la scéne et vit qu'une fille plus agée que moi, venait d'être pris en ortage par mon ''père''. D'un coup de coude, Clément m'incita à agir. Malgrè mes pouvoirs limité, je pris une grande inspiration et me leva.

"-Lâche-là ! Tous les regard se tournèrent vers moi

-Adriana, te voilà enfin.

-Je t'ai dit de la lâcher !

-Trés bien, mais c'est uniquement pare que tu es là. Rentre avec moi maintenant.

-Même pas en rêve !"

Quand je vis le regard de Marc, je compris que ça n'allait pas bien se passerpour moi. Il s'approcha trop rapidement et je le vis utiliser sa magie pour la première fois. En quelque seconde, je me retrouva dans la cour, seule avec lui;

"-Maintenant ça suffit ! pourquoi tu m'as menti toutes ces années ?

-Peut importe, tu n'aurais jamais dut venir ici. Toi aussi tu m'as menti.

-Anna ? Tout va bien ? Me demanda Clément, hors d'halaise. Il était suivie par mes vrai parents.

-Qui est donc se charmant jeune homme ?

-Peut importe, repris-je sur le même ton que lui."

Subitement, je sentis un courent d'air contre ma peu, Marc avait disparut derrière moi et retenais Clément en otage. Je ne peux m'empécher de retenir un cris en le voyant ainsi. Je devais intervenir mais j'avais trop peur de blesser celui que j'aimais, ne maitrisant pas totalement mes pouvoirs.

"-Alors, qu'est-ce que tu va faire maintenant ?

-Lâche le, s'il te plait.

-Ne te préocupe pas de moi anna, tu peux le faire, comme on là appris.

-Tait-toi ! S'écria-t-il en lui lançant une décharge électrique."

Je laissa échapper ma colère, mon pouvoir. les flammes de fue jaïrent tout autour de moi et des flemmes illuminèrenet mon regard. Comme al première fois, je n'eu qu'à penser pour que les flammes bougent d'elle-même. Un sourire s'étira sur ses lèvres et un éclair tomba juste devant moi, m'arachant un hurelement de terreur et me renversa en arrière. D'autre éclair tombèrent tout autour de moi, j'étais coincé. Je me recroquevilla et mes larmes coulèrent. Il connaissait ma phobie pour les éclairs et venait del'utiliser contre moi. Je resta dans cette position pendant un moment avant que quelqu'un me prenne dans ses bras. Des bras puissants et réconfortant. Je me recroquevilla un peu plus mes larmes coulant toujours. Je ne savais pas où on allait mais j'avais confiance. Quelques minutes plustard, on me déposa sur un lit. Je voulu voir qui m'avait porter mais ma vue était trop embrouiller et je m'endormis rapidement.

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