PROLOGUE

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Il est étrange comme la télé, les livres, toutes ces choses nous habituent a une sorte de norme qui n'en est pas une. Toutes ces choses fausses en réalités la réalité. Tout est détourné, tout n'est plus ce qu'il est réellement. La vie est douce, idyllique,elle nous berce, elle et ses idées reçurent. Mais a la fin la réalité nous rattrape et la chute est long et douloureuse.
Prenons un exemple simple : les enterrements. Stigmatiser par des idées telles que le jour de pluie, le ciel gris, les parapluies noirs, les sanglots muets... Aujourd'hui, le ciel est bleu, pas un seule nuage a l'horizon, il fait chaud, trop chaud pour un mois de novembre. Le champ joyeux des oiseaux flotte dans l'air.
Le glas avait répondu une dernière fois à son propre écho, faisant vibrer les âmes. La voie solennelle du prêtre avait retenti, puis,il s'était tu, figeant le temps.
Une femme a la coiffe tombante et a la voilette masquant son visage pâle et amaigrie par le chagrin, la poussa à s'avancer. Elle tourna la tête. De ses yeux transparaissais le désarroi et l'incompréhension, désespérer, ils chercher du soutiens, mais se heurtèrent à un mure. Hostile et froid. Bien-vite, elle comprit qu'elle n'obtiendrait rien de personnes, que tout ce qui se trouvais ici n'était bon qu'à avoir pitié d'elle. Elle se détourna, s'avança vert le monticule. Elle se saisit d'une poignée de terre, pivota vert la fosse, y jeta à peine un regard avant que ce dernier ne se perde dans le néant de l'immensité du ciel, puis délicatement elle ouvrit ses doigts.

- Où est sa mère ? Murmuras un homme dans le dos de la femme.
- Comment le saurais-je, répondit-elle a voie basse. Est-elle seulement au courant ?
- Je vais l'emmenais avec moi et... elle le coupa sèchement, néanmoins sens hausser le ton.
- «Et » et quoi ? Elle aussi finir comme sont père ? En voilà le résultat ! Elle est encore jeune, Luc, elle a le temps ! Laisse moi m'en occuper, je suis son plus proche parent après tout.
- Ce n'est pas à toi dans décidés. Elle partira avec moi demain. Fait lui tes adieux, Lise. La femme se retourna vivement. Il avait disparu.

Maintenant qu'elle n'avais plus personne, qu'aller telle faire ? Après avoir affronté les regards, après avoir fait ces adieux, après que son monde se soit écroulé ? Elle se rendit bien vite conte que la vie ne s'attarde pas et poursuit sa course folle, l'emportant dans ces méandres et demain le soleil brillera à nouveau sens se soucier de savoir qui se lèvera pour le contempler.

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