Samedi pluvieu

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Les samedis pluvieux, j'adore, le meilleur prétexte pour ne pas sortir et rien faire à la maison. Téléphone en silencieu, un brin de ménage et des jeux vidéos. Ma soumise faisait ses exercices de sport du samedi matin. Elle a eu une flemme de sortir à la sale, il pleut et la voiture est bien à trente-trois seconds à pied.

Pour sa fainéantise, elle doit faire son sport dans ensemble de sous-vêtement sexy. C'est toujours agréable pour les yeux de bon matin avec un bon café. J'aime définitivement les samedis pluvieux.

Par contre, vraiment pas facile d'être concentré sur le jeu vidéo, dur dur d'être dans ma situation. Quarante minutes pour entraîner mon cerveau à ne pas être déconcentré, par les courbes de ma soumise dans cet ensemble bleu nuit des plus fin, laissant voir beaucoup trop de chose. J'aime me mettre des défis.

– Maitre, j'ai fini, puis-je prendre ma douche ?

Camille est d'humeur joueuse, il semblerait.

– Penche-toi et écarte tes fesses, je vais finir mon petit déjeuner. Elle connait mes demandes, elle se penche, baisse sa culotte et écarte ses fesses. Laissant apparaître son sexe et son anus.

Je me rapproche, me pense et lape un grand coup de langue de sa chatte à son anus la faisant frémir puis retourne derrière mon ordinateur me délectant de son goût que je ne me lasserais jamais.

– Ta culotte et à la douche soumise. Oh et remet une tenue de salope, elles te vont si bien.

Je suis peut-être joueur aussi et la frustrer ça m'amuse beaucoup.

— Oui maitre, dit-elle d'une intonation déçue,  non dissimulée. Je la comprends tant en un seul coup de langue, j'ai pu apprécier son excitation débordante, et ce n'est pas l'odeur de son textile intime souillé qui me fit dire le contraire, il était inondé de cyprine.

C'est malin avec mes petits jeux de frustration, dans tout ça, le plus excité maintenant, c'est moi. Ça se calme un peu pendant sa douche qui peut être très longue les week-ends. Mais pas bien malin que je suis, dès que l'excitation part, je prends une bouffée de sa culotte. Une heure ça peut être long alors autant attendre, mais non, je suis trop cramé du cerveau de ses culottes, ce n'est pas nouveau ça...

Quarrant minute après elle débarque nu dans le salon.

– Je n'ai pas trouvé mon bonheur dans la penderie, je vais chercher dans l'armoire maitre.

Aussi étonnant que cela puisse paraitre, il semblerait qu'il faille se caresser la poitrine pour m'annoncer cette information, puis se pencher de façon totalement exagérée dans l'armoire pour trouver de quoi se vêtir. Pour sortir quelque chose que je ne vois pas et filer dans la chambre avant de revenir. Un mixte de harnais en cuir et de tissus qui ne cachait rien. Son sexe entièrement visible et sa poitrine aussi.

– Ça ne serait pas de la provocation soumise ça ?

– Je suis trop Salope pour vous maitre ? Elle mit sa main de suite devant sa bouche.

Il y a une règle en ce moment, je suis le seul à pouvoir dire des insultes.

– Que voilà une vilaine bouche. À genoux dans le salon, je reviens. Vider sa vessie c'est important. Ne pas vraiment s'essuyer le sexe, c'est aussi important pour corriger une soumise.

Le sexe sale et de retour dans le salon, j'attrape sa tête sans aucune douceur de mes deux mains. Puis enfonça ma queue dégueulasse dans sa bouche, laissant un dernier filet de pisse s'engouffrer dans sa bouche, avant que mon sexe grossisse et prenne de plus en plus de place en elle. Jusqu'à sentir l'effet entonnoir si agréable de sa gorge.

– La prochaine fois, je vide tout dans ta bouche, sois une salope élégante je te pris.

Puis me retire mon sexe en érection de sa gorge.

– C'est bien compris.

– Oui maître, merci maitre.

– Tu m'as beaucoup trop excité, quatre pattes sur la banquette, le cul lubrifié, je vais me vider.

Elle se positionna et fit couler le transparant sur son anus. Je pris place derrière elle face la porte d'entrée avant de l'enculer, mais avec classe. Ma tasse de café à la main. Terrible, c'est samedi pluvieux, au calme, sans téléphone.

Sans téléphone, oups, la poignée de la porte se baissant et s'ouvrit.

– Salut Mathilde, on a coupé nos téléphones ce matin.

– Envoyez-moi un message quand vous avez fini, j'attends dans ma voiture. Et elle sortit plus rouge que jamais.

– Maitre, ça m'a excité son passage, défoncez-moi je vous pris.

Quand Camille a envie, elle a vraiment envie.

Quinze minutes plus tard, Camille posa trois tasses de café sur la table du salon. Elle n'avait pas changé ses sous-vêtements, juste mis une robe, et pour éviter tout tâche de foutre, je finis dans sa gorge. C'était la première fois qu'elles suçaient après une sodomie. Mathilde allait avoir un samedi après midi des plus chaud pour éteindre la fournaise qui se trouvait en Camille. Au moins je pourais finir mes niveaux tranquille.

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