Mon plaisir, sa soumission.

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Il y a un constat assez simple, quasiment toutes les pratiques de soumission sont du fait de Camille. Ce qui en soi est tout à fait normale étant pour moi le concept même de la soumission, la soumise choisit ce qu'elle accepte de subir.

Mais il y a une pratique qui a principalement germé dans mon esprit, quelque peu dépravé au café. C'est venu à moi essentiellement avec la gorge profonde, l'humiliation et la dégradation.

Je voyais en cette pratique une soumission totale vis-à-vis de son plaisir personnel, il était rare que dans une séance, elle n'est pas d'orgasme, oui, je me la raconte, je sais faire jouir Camille. Dans ce nouveau jeu, elle n'en avait pas, c'était que pour moi et la mise à l'épreuve de son esprit et son corps.

La gorge profonde, c'était l'élément déclencheur après avoir joui directement dans sa gorge, je l'avais seulement utilisé sans qu'elle ait un plaisir direct. Et elle était plutôt réceptive à cette pratique dans le cadre de l'évolution de notre pratique ver la soumission plaisir et pas uniquement soupape de décompression. En soupape, il lui fallait l'orgasme, c'était l'aboutissement, à présent, il pouvait prendre plus de temps. Elle fit une remarque un soir qui fut très vrai.

– Je crois que vous avez officiellement votre statut de maitre.

Très vrai de mon point de vue, je me sentais plus dominant, en confiance tant en elle qu'en moi. Je pouvais mener la danse sans avoir peur d'aller trop loin.

Je pouvais jouer en toute liberté avec ma soumise. On n'était pas le couple qui respectait les règles de cet univers. Contrat, plusieur safe word, after-care, collier de soumise. En fait, on avait cré notre propre univers Sm avec nos règles qui nous convenaient. L'ensemble était là, safe word, le contrat remplacé par des discussions, le collier pas sa chatte épilée. On ne connaissait rien et on a fait notre tambouille.

Une tambouille ou les premières grande humiliation de Camille fut une faciale, avaler, avoir son sexe épilé, le tout enrobé dans une séance avec orgasme pour elle.

À présent, un claquement doigt suivit d'un " À genou et avale". Avant de retourner sur mes occupations la laissant partir recouverte de bave, les yeux rouges. Un plaisir régressif que j'ai appris à doser. Car oui, c'est un plaisir de pur Domination sur Camille soumise objet, oui, elle prend du plaisir à être utilisé, mais il ne faut pas en abuser tous les jours. Tout est question de dosage et de varier les situations.

Et mon esprit quelque peu perverti avec le temps ne manquait d'idée. Soumise sous le bureau en jouant à l'ordi, ou même en matant un porno pour l'occasion n'est pas déplaisant. Me masturber devant elle sans la prendre en considération, mais en utilisant un autre facteur d'excitation, culotte de Mathilde ou livre audio érotique sur les enceintes et juste me servir de son visage comme réceptacle.

Ceci à pousser mes kink assez loin, Camille interdite d'enlever sa culotte pour pisser toute une journée, ce qui a conduit sur une petite période uro des plus humiliantes pour elle. Des petites périodes sur des petites envies dégradantes de-ci de là sans que ce soit la pratique principale, juste de petite touche.

Mon plaisir, sa soumission.

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