équilibre et sérénité

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Gloire à l'équilibre et la sérénité de la vie grâce à Marie et Mathilde. Camille était moins stressé. Alors soyons honnête, on est passé du niveau un million et à seulement cinq cent mille, c'est quand même une grande différence.

Et ça permit d'ouvrir de nouvelles perspectives de la vie. À l'origine, Camille voulait être soumise comme soupape de décompression du boulot et nous glissions doucement vers de la soumission plaisir. Elle quittait son statut de soumise par nécessité de son travail a une soumise assumée pour son plaisir.

La soumission liée au stress avait amené à augmenter la 'violence' des pratiques. Vous avez dû remarquer quelques allusions à de la gorge profonde. Elle s'y est mise pendant une grosse période de stress, elle voulait davantage. Pour apprendre la pratique, on est à l'opposer du glamour. Un gode direction la douche et je l'entendais vomir. Clairement, c'était une période de fin d'exercice financier assez tendu pour elle et je ne savais absolument pas quoi faire. Elle a passé un mois presque tous les soirs à s'enfermer trente minutes dans la douche avec un gode.

Après un mois, un soir, elle m'a dit de venir dans la douche, elle était à genou, bouche ouverte. Clairement la gorge profonde, c'est sûrement maintenant une de mes pratiques dominantes qui m'excite le plus, les mains enserrant sa tête, la soumission totale, de la dégradation du visage, la bave, les yeux rouges, c'est gémissement. La seule chose qui me chagrinait, c'était dans quel état de stress, elle devait être pour vouloir toujours plus de violence.

Cette période moins stressée était une vraie bouffée d'oxygène pour moi et Camille, une vie plus sereine et le plan de travail de la cuisine pouvait redevenir un plan de travail pour la cuisine. Un calme drôle et envoutent, sens s'en apercevoir Camille était devenue soumise sans interruption, ce rôle lui plaisait. Un soir, on s'est rendu compte que ça faisant cinq jours qu'elle m'appelait maitre en continu et moi soumise. On ne faisait pas plus de séance, mais c'était nous deux notre mode de vie. Il faut juste faire attention au lapsus en soiré.

Et le truc le plus dingue, vous n'êtes pas obligé de me croire, mais c'est vrai, pourtant on est allé à un bar à 18 h en semaine. Elle est arrivée à la maison un jeudi soir à 17 h 25. Oui, oui, ce n'est même pas un mensonge ! Et dans notre nouvelle vie plus zen, on est sortie en dominant, soumise.

Petite chemise et veste de costume avec un jean et mes Doc's pour moi. Camille, une robe simple et élégante. Par contre, dessous, porte-jarretelle, ensemble en dentelle, un plug annal et deux pinces à téton très discrète.

Et on a parlé de tout devant bien trop de bière belge. On avait une activité de couple normal en dehors de ce qui a sous sa robe. Même pas parler de son boulot, juste nous et nos projets. La bière ça donne faim, direction un resto bistronomique de la connaissance de Camille en taxi, car clairement, on ne pouvait plus conduire.

Je ne connaissais pas le lieu pour une raison assez simple, le prix du menu. Mais j'aime bien être un dominant entretenu par sa soumise. Restaurant classe, mais pas trop. Un moment des plus délicieux tant dans l'assiette qu'avec ma soumise. L'alcool, sa tenue, il en faut peu pour se glisser vers son oreille avant l'entrée.

– Descend ta culotte mi-cuisse soumise. Elle glissa ses mains sous la table, se contorsionna un peu et fit glisser son tissu intime.

– J'ai une cascade entre les jambes maitre.

– Trinquons à cette belle soiré.

Nous trinquons puis entama une entrée fort délicieuse. Avec une soumise qui sait jouer avec mon excitation, régulièrement sa main descendait sous la table et remonter deux doigts tremper qu'elle s'empressait de lécher. Ses jambes s'égareraient sur les miennes et son pied glissait sur mont entre jambe de temps en temps.

Arriver le plat principal, j'ai dû refaire les lacets de mes chaussures, sa culotte était bien plus basse que ses cuisses, elle était à la cheville droite de son pied qu'elle me tendait. Ça glisse ce genre de chose. Elle s'affala un peu sur sa chaise, laissant à ma vue sa chatte et son cul pluger. Je mimai de refaire mes lacets avec un talent d'acteur digne des oscars puis remonta sa culotte dans ma main.

– Maitre, vous ne faites jamais vos lacets pourtant non ?

– Une sodomie et tes envies de sarcasme s'envoleront, je pense.

Elle fit une tête de moue provocatrice

Toutes les tables étaient concentrées, en fait, c'est drôle, un restaurant un peu classe, tout le monde ignore tout le monde dans un calme étrange. Je pus prendre une grande inspiration de sa culotte sans que personne voie rien où en est quelque chose à faire.

Le plat était vraiment bon, j'étais curieux du dessert, mais j'en pouvais plus de voir ma soumise m'aguicher.

– Je suppose que les toilette de ce genre de restaurant sont débilement luxueux et grand ?

– Vous n'avez pas idée maitre.

– N'oublie pas ton sac à main.

– Jamais.

Nous nous levons et je survis Camille qui connait mieux les lieux que moi, dans une pièce effectivement bien trop luxueuse et grande. La porte fermée, je la plaquai contre les lavabos sans ménagement, leva sa robe, enleva son plug sans aucune douceur. Elle gémit. Détacha mon pantalon et fit sortir mon érection. Je pris le lubrifiant dans son sac à mains et l'appliquai sur ma queue.

De mon bras droit, je bloque les siens dans son dos et de ma main gauche, je plaque sa bouche, elle peut être bruyante des fois. Et je l'encule fassent au miroir où elle se voit prise par-derrière sans douceur. Mon bassin claque contre le sien, ses gémissements étouffés dans ma main. Elle se cambre par provocation, et je réponds favorablement à sa soumission, de grand coup de rein à la faire gémir. L'excitation monte vite et dans une sodomie brutale, je jouis en elle dans un dernier coup de rein la planquant complément conte les lavabos.

Je relâche ma soumise, prend le plug et au moment d'enlever mon sexe, je lui remets, surprise un petit cri s'échappe de sa bouche.

– Merci maitre.

Petit brin de toilette et de nettoyage et nous voila à notre table pour le dessert. Du sm plaisir des plus plaisants.

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