Une histoire d'armoire

3 minutes de lecture

Se retrouver comme mes débuts, c'est très étrange comme sensation. La pratique de la douleur, ce n'est pas anodin, c'est violent, comme si on avait décidé de casser une des seules règles qu'on avait mises en place dans notre jeu. Pour la première séance hors extériorisation de la colère, il faut bien laisser le plan de travail de la cuisine se reposer, je n'étais pas serin, loin de là ! Tout était prévu, on avait décidé d'utiliser les anneaux mis dans la poutre du salon, Camille était mains liées au-dessus de la tête, dans une position l'obligeant à être plus ou moins sur là point des pieds. Position plutôt désagréable, car si elle chancelle, elle se retrouvait ballottée jusqu'à reprendre de l'adhérence de là point des pieds.

Point bricolage, pour une meilleure répartition de force, utiliser un système en 3 points d'attaches, c'est pratique pour éviter de faire effondrer votre maison !

Elle était dans une tenue simple, une culotte, c'est tout. Ainsi pendu aux milieux du salon, je pouvais tourner aux tours d'elle, avoir accès à tout son corps avec la panoplie d'objet en cuire exposées sur la table du salon. Car Camille, elle ne fait pas semblant quand elle dit, "je vais acheter de trois trucs pour me faire crier".

Un colis immense tout droit venu d'Allemagne pour un modique somme, que je suis bien content de ne pas avoir payé. Il faut vraiment que je chope ses codes de carte bleue, elle paraît bien mieux que la mienne ! Qui dit Camille, dit marque de luxe dans le domaine des jouets en cuir. Fait rigolo, cette marque n'anonymise pas du tout ses cartons… Heureusement que le livreur ne parle pas l'allemand sinon il m'aurait regardé très étrangement s'il comprenait ce qui était écrit dessus. Qui dit énorme panoplie de jouet type, fouet, paddle, sextoy dit qu'il faut une nouvelle armoire, que je n'ai toujours pas payé. Réellement bien sa carte bleue, elle doit sûrement marcher pour des jeux de société. Je suis un simple humain, j'ai besoin d'un meuble, je vais à BoulletteLand suédoise, par chers et efficace. Pas avec Camille, je… Nous possédons un meuble en bois fait mains par un artisan local qu'elle connait. Faisons tourner l'économie locale. Il coute juste plus cher que tout l'immobilier de ma maison, tout ça pour ranger l'ensemble des jouets et tenus de soumise de Camille.

Et oui ont peu s'engueuler sur où on range un meuble dans une maison ! Après un petit tout sur le plan de travail et un café, tout va bien. Une nouvelle armoire dans la chambre, à l'abri des regards… non le salon, à côté des jeux de société et de la pendule Marsupilami!

"Ça un côté existant de se dire que n'importe qui peut l'ouvrir".

Je vous dirais bien qui est la première personne qui a ouvert cette armoire, mais je vais vous laissez imaginer toute la situation de gênance absolue que cette armoire a pu créer, oui, elle en a créée !

Je crois que je me suis de nouveau un peu égaré dans mes explications. J'en étais ou, ah, oui Camille en petite culotte suspendu, main en l'air dans le salon, beaucoup moins gênant comme situation, enfin, tant que la police ou les témoins frappeurs de porte ne sont pas là.

Je rigole, je rigole, mais je ne faisais pas la fière au moment de lui asséner son premier coup de fouet en cuir de vachette extrêmement doux et agréable à manier. Le claquement léger dans son dos, ses premier gémissent de douleur, gémissements. Il fallait de nouveaux apprendre et trouver le juste milieux.

Elle finit suspendue, à ballotter, ses jambes ne la maintenant presque plus, le corps rougi de marque. Elle était épuisée. Pas que j'ai frappé fort, je n'aurai pas osé, juste que ç'a durée longtemps. Une heure de petite pique douloureuse sur tout son corps, sur chaque partie, à explorer de nouvelles sensations. J'ai détaché les pinces serrées bien plus forte que d'habitude sur ses mamelons, enlever sa culotte de sa bouche puis l'ai détaché détacher de la poutre.

Je l'ai amené dans la salle d'eau, ou j'ai fait couler un bain bien chaud et bien moussant avec une bonne tasse de thé.

"Merci maitre"

Ouf, je n'ai pas été trop mauvais, c'était sûrement une des séances les plus stressantes pour moi et de loin. J'ai besoin d'un maxi café !

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire L'ingenieur ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0