Colère et glaçons

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La colère ça faisait longtemps, très longtemps que ce sentiment ne m'avait pas brouillé l'esprit, j'ai toujours tout fait pour ne pas la ressentir, l'évité. Mais des fois, c'est plus fort que soit, ça nous envahit tel un orage de montagne aussi soudainement qu'inarrêtable. On veut extérioriser, tout casser.

Je n'étais pas le seul dans cette situation. Camille l'était tout autant, deux foutues bourriques d'âne bâté qui ne se sont pas rendu compte que discuter c'était plus compliquer que prévue des fois et que fléchir n'était pas dans nos caractères respectif. Le tout qui monte et explose dans des reproches douteux et des invectives vident de tout sens. Ne faisant que monté les tensions, les décharge électrique, pourtant un 'Pardon, désoler' serait une solution simple. Mais ma fierté de geek et sa fierté de madame comptable trop balèze était totalement ineffaçable.

La colère était sourde à tout raisonnement, à tout argument, même les plus convaincants. La mauvaise foi était devenue un sport national à ce niveau. En quoi des tasses de café c'est chiant, c'est bon, il y en a que quatre ou cinq qui se baladent. Pas bien pire que transformer mon bureau en un ensemble de dossier de boulot. Que fait le boulot dans ma maison.

Gnangna, je suis un gamin geek immature pas capable de géré me finance, il ne faut pas laisser tout son argent sur le compte courant. Et pourquoi pas ! Bien moins chiant que gérer quatre appartements avec des locataires relous !

– J'ai juste envie de te claquer le cul sur ce plan de travail, ça sert à rien de raisonner avec toi !

- Oh les jolies menaces, j'ai t'es mis en colère, car j'ai dérangé tes cartes pour enfant s?

Je me suis levé du canapé, lui ai attrapé le bras et l'ai penché sur le plan de travail de la cuisine. Puis j'ai relevé sa jupe et baissé sa culotte sans une once de douceur et un léger craquement de tissus. Rien à foutre qu'elle coute 150 euros cette culotte ! Je me suis mis derrière elle, j'ai écarté ses jambes avec les miennes tout en les bloquant. Un nouveau craquement du tissu.

- Allez y, faite moi hurler comme une salope si vous l'osez maitre.

Le vouvoiement et le maitre étaient réservés au jeu, notre façon à nous de désamorcer la situation, je suppose d'une certaine manière. Dans le jeu, on ne s'engueule pas.

Dans mon élan, je l'ai fessé, fort, plus fort que je ne l'aurais pensé. Ma main a chauffé, elle a crié et j'ai senti tout c'est muscle se contracter, mais mes jambes entre les siennes lui empêcher de les refermer.

- C'est tout maitre ?

La réponse fut rapide, cinq fessés tout aussi forte. Cinq hurlements, ses fesses rougissaient de douleur, elle essayait de relever sa tête du plan de travail, mais je la lui la plaquai de ma main disponible avant de lui asséner cinq autres sévisse sur ses fesses. Tout sont corps bougeait, se contractait à chaque contacte brutal avec la chère de ses fesses, mais je la bloquais.

- T'en veux d'autre peut-être ? En relâchant mon emprise sur son corps

Comme seule réponse, elle se mit sur là point des pieds et tendit ses fesses. Cinq autres nouvelles gifle sur ses fesses déjà cramoisie. Ma main maintenant son visage senti sa transpiration, la chaleur de la douleur faisait son effet. Pourtant, toujours pas de safeword.

Jai déboutoné mon pantalon, je n'en pouvais plus, je voulais la baiser. J'aurais voulu l'enculer, mais aucun lubrifiant a porté de main, alors ça sera sa chatte en profondeur, des coups de rein violent, dur, la plaquant encore plus contre le plan de travail. Lui labourant les fesses d'une mains et bloquant sa tête sur le plan de travail de l'autre. C'était brutal, violent. Gémissements, cri, transpiration. Un nouveau cocktail au goût d'exutoire très prononcé. J'éjaculais en elle dans des coups de rein finaux très brutaux, couvert par ses gémissements. Elle venait, elle aussi, d'éjaculer, inondant l'ensemble de l'armoire de cuisine et mon pantalon au sol à mes chevilles.

Puis le calme, l'orage était passé pour moi

- merci maitre, dit-elle dans une intonation docile et essoufflé

Elle aussi il semblerait., C'était notre message de fin de séance.

- Tu veux de la glace pour tes fesses ?

- Oui carrément, dit-elle dans un rire contagieux.

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