La vie...

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La vie, le temps qui passe tranquillement, on avait enfin trouvé notre petit rythme de croisière ou chacun exploraient ses petites pratiques sur l'autre. C'était une période fort agréable et fluide. On évitait de sombrer dans les pratiques toujours plus pousser, on alternait d'un sm sans sexe, juste de la punition et soumission intellectuelle a des week-ends purement bestiaux et pénétratif. C'était une période calme dans la vie.

Camille c'était trouvé une passion pour la fellation, devenir experte du domaine. C'est toujours drôle de repenser au début, ou jamais oh grand jamais une goute de sperme ne pouvait atteindre son visage ou sa bouche. À présent, elle me laissait vider sans avoir laissé échapper la moindre goute dans un plaisir béa sur ma banquette tant elle avait appris à maitriser la chose. Bon messieurs, il faut qu'on parle. Si vous voulez passer de bonnes fellations à la fellation ultime, il suffit d'un doigt dans les fesses, c'est non négociable. Il y a définitivement un avant et un après ! C'était la petite aparté pour vous les hétéros.

Moi, j'explorais l'entravemant, avec diverses ceintures de cuir, corde et autre objet bricolé la main. C'est dingue le prix qui vende une barre de maintien. Sérieux un tuyau, deux laniers de cuir, deux vis et op trois fois moins chers. Pourvue que personne d'autre que Camille vienne visiter mon garage. Surtout la planche en bois avec des chaines et autre menotte pour faire en sorte que Camille soit à quatre pattes sans aucun moyen de bouger. Des petites expériences comme tout le monde fait le weekend en couple, je suppose.

Ah oui, j'ai oublié de préciser quelques points, on était en couple depuis quelle à emménagée chez moi. Enfin emménager est un grand mot comme elle disait si bien.

– Je passe plus de temps chez toi que chez moi donc c'est comme si j'habitais ici.

Du coup mon armoir de T-shirt noir et jean et devenue son armoire de lingerie fine et harnais en cuir et de tailleur hors de prix. J'ai enfin leur prix. C'est plus que le remboursement mensuel du prêt de ma maison.

La vie de 'couple' ça des avantages, on joue très souvent, je ne vais pas me plaindre, elle rentre à 22 heures donc, j'ai le temps de jouer à l'ordi entre temps. Et le plus important, j'ai sa culotte portée toute la journée le soir pour mon bon plaisir, que demander de plus...

Petite pause pour le suspense.

Vous savez qu'on peut s'engueuler quand on est en couple? J'ai, enfin, on a découvert ça, Suite à une discutions sur la gestion de l'argent. Camille n'a pas la même façon de gérer des budgets que moi, oui je sais, c'est étonnant vu sont boulots dans la finance. Elle investit dans de l'immobilier, elle a quatre appartements, je ne savais pas non plus. Et moi, j'investis dans des boues de carton à forte valeur ajoutés. Appeler carte Magic. Tout le monde devrait avoir un paquet de carte à 600 €. C'est une forme d'épargne. Bref, on s'est engueulé, car on ne pouvait concevoir la manière de l'autre de pensé. En fait, on ne savait pas grand-chose l'un de l'autre hormis notre relation de soumission.

On n'a peut-être pas fait toutes les étapes dans le bon ordre. C'était notre premier moment de tension et qui dit engueulade dit réconciliation. Réconciliation et soumission, ça ouvre de toute nouvelle perspective que l'on ne s'attendait pas.

Oui, ce n'était pas vraiment dans le lit la réconciliation, plutôt Camille pencher sur un plan de travail de la cuisine, culotte baissée, et ses fesses devenues extrêmement rouges, et elle qui criait et en redemandait. Je m'attendais au safeword à tout moment mais il ne vint jamais. Une sorte colère partagée, elle dans la douleur et moi en la punissant

Car cette histoire d'argent, c'était plus un prétexte pour vider notre sac après deux mois de cohabitation post pacs. Ah oui je n'ai pas parlé de ça. On a signé un bout de papier à la mairie, rien d'importantes vis-à-vis du sujet. Il semblerait que je sois un bordélique incorrigible.

– Range tes putains de tasse de café bordel !

Et elle quelque peu maniaque sur l'entretien de sa garde-robe et l'envahissement de mon espace personnelle. La vie de couple normale de tout le monde, je suppose.

On avait l'air bien con sur ma, notre banquette, d'après le bout de papier signé à la mairie, nue, transpirant. Mes mains me brulaient et Camille était assise sur un poche de glace.

– J'ai envie d'explorer la douleur et la brutalité, je crois maintenant.

Et mince, va falloir encore apprendre plein de nouvelles choses!

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