Et si j'étais sérieux l'espace d'un instant..

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Attention

Texte en décalage du reste. Il fait partie d'une série de textes beaucoup plus vulgaire et cru que l'histoire des textes précédents.

Et, si l'espace d'un instant, je ne faisais pas que des blagues douteuses… Nan c'est vrai un peu de sérieux!

Camille allongée sur la table, jambe écartée, chatte épilée. Elle n’a pas spécialement été sage ou obéissante, mais j’avais envie de la bouffer.

Mains attacher au-dessus la tête, les yeux bandés, culotte dans sa bouche, mon plat attendait nu. J'allumai la musique, forte, très forte. Un gros black métal, lourd, lancinant. Elle ne peut plus m’entendre, me voir. Je me positionnais devant ses jambes, agrippa ses cuisses et lui fait écarter au maximum ses jambes, Sa chatte coule, la mouille ruisselait sur son cul, j’aurais peut-être deux entrées finalement.

Le secret, c’est prendre son temps, elle me l'avait bien appris à mes débuts. Retenir ses pulsions, commencer doucement sur les cuisses, la peau, descendre vers le pubis, remonter sur l’autre cuisse. Sentir l’odeur charnelle. Descendre sur le pubis de nouveau avec ma langue, tourner autour de son sexe sans le toucher. Je me laissais happer par les hormones, les frissons, l’odeur de son intimité. Descendre la langue proche de son cul, tourner aux tours.

Puis j'étais remonté sur ses lèvres extérieures, elles sont trempées, la cyprine n’a pas un goût désagréable, une texture sirupeuse. Monter le long des lèvres, effleure son clitoris, redescendre de l’autre côté. Tourné inlassablement, sentir ses muscles se contracter, voir sa chatte dégouliner, son cul est recouvert de mouille.

Je descends sur son cul, la lèche, appuie avec ma langue, l’englobe de mes lèvres, appuis du bou ma langue. Son cul se contracte à chaque passage de ma langue, je tourne, appuie, lèche, tourne avec mes lèvres. Sa mouille coule le long de ma bouche et se retrouve léché dans son cul. Avec mes mains, je maintenais ses jambes bien écartées malgré les contractions pour profiter de son cul à mon bon vouloir.

Je joue encore un instant avec son cul puis m'écarta d’elle d’un coup. La laissant seul dans le noir et la musique assourdissante. Je tourne aux tours d’elle, une vraie salope donnée, avec sa culotte dans la bouche et les yeux bandés, jambe écartée. Plusieurs idées me passèrent par la tête. Lui foutre ma queux sur le visage, la sodomiser, me branler et me vider sur elle, toutes me plaisaient, mais j’ai envie de la faire jouir avec ma langue, qu’elle me recouvre de mouille.

Je me mis du lubrifiant sur une main, retourna entre ses jambes, lui mi deux doigts dans le cul sans délicatesse, puis enfourna ma bouche sur son clito, le lèche, le mordille, l’aspire, tout en lui doigtent le cul. L'odeur de sa chatte emplir mon nez, ma bouche trempée de mouille. Je la bouffe, ma frustration de pas lui défoncer le cul, je la passe à coup de langue. Je descends, lui mets ma langue dans la chatte, je suis recouvert de mouille, d’hormone. Son cul se contracte à chaque coup de langue.

Son corps se met à bouger, ses muscles se contractent de plus en plus longtemps, elle bouge sur la table, je garde le même rythme, constants sans aller trop vite. J’alterne clito, chatte, mes sens son perdu, tant les hormones sature mon cerveau et l'odeur de sa chatte a saturé mon odorat. Mais, j'ai envie la voir jouir. Je ne sais même pas depuis combien de temps, je la lèche, la bouffe, je m’en fous.

Puis, elle se cambre, son cul se sert, un premier jet d'éjaculation, j’envoie trois doigts de ma main libre dans sa chatte, plaque ma bouche sur son clito. Elle se cambre de nouveaux, gémi au travers de sa culotte et du bruit des guitares électriques saturé, ensuite sa chatte déversa un torrent, je continue de la doigter, et la lécher, elle bouge, gémis, puis se calme, sa respiration est forte, je me relève trempé.

Ma queue est dure, je suis excitée face à Camille, soumise, nu, sa cage thoracique se soulève frénétiquement. Deux trous, j’envoie ma queue dans ça chatte, tremper chaude. Je ressors tout de suite pour la sodomiser. Lubrifiant naturel. Juste une pulsion bestiale. Sa respiration s’intensifie et ses gémissements aussi, je n’essaye même pas de contrôler ou de durée longtemps, seulement la défoncer sans raison gardée. Le plaisir monte très vite. Je me dirige vers sons visage, enlève la culotte de sa bouche. Me masturbe au-dessus de sa bouche et jouit. Mon foutre inondant sa bouche dans un plaisir de domination total. Une fois finit, je remets sa culotte dans sa bouche souillée.

Je pars me servir un verre de whisky, là regarde la pulsation assagie. Du sperme coule sur ses joues.

J’attends la fin du morceau, cinq minutes, c'est long les morceaux de black métal. Puis coupa le son. La détacha et lui libéra la vue.

- Debout.

Elle se leva, tremblante.

- Dans la salle d'eaux, le bain et déjà prête, prend ton temps, je vais te préparer un thé.

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