Séance 2,3,4… Ça rigole, ça rigole!

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Bienvenue dans la quête initiatique de la domination. Suite à une première séance pas vraiment réussie, Camille et le fameux Ingénieur, qui aime parler de lui à la troisième personne, se dirigeaient vers la découverte de nouveaux plaisirs. Bien plus sereinement, ils visaient des sommets bien moins hauts. Ils avançaient pas mal à l’aveuglette. Camille allait-elle apprendre à lâcher prise ? L’Ingénieur deviendra-t-il un dominant tyrannique? Vous ne le découvrirez pas vraiment dans cette partie. Mais un petit peu car la vie est faite de découvertes…

Je vais regrouper les cinq, six séances suivantes ensemble. Elles forment plus un tout et je fais ce que je veux ! Après le (terrible) constat d'être d’exécrables acteurs pornos, nous avions décidé de juste essayer de nous amuser. Et la deuxième séance nous avait permis de repartir sur des bases saines.

J’ai quand même gardé la chemise noire pour le style. De toute façon j’en ai qu’une. Niveau vestimentaire, globalement mon armoire est remplie de dix t-shirts noirs et trois jeans, dont un troué, voilà. Professionnel du shopping !

J'étais étrangement serein à l’approche de la deuxième séance. Ça pouvait difficilement être pire que la première. Je m'étais préparé davantage, pour ne pas avoir à réfléchir tout le temps.

Elle est arrivée le soir après son boulot, donc à 22 heures. Cette fois ci avec un de ses tailleurs hors de prix et une légère touche de maquillage bien moins appuyée que la fois d’avant. Elle l’avait mis dans sa voiture avant de venir. On avait gardé nous deux le côté personnage, avec juste une touche d’inhabituelle. Moi la chemise, elle le maquillage, comme pour marquer le côté jeux de rôles.

Elle avait commencé comme la fois d’avant avec « Bonsoir monsieur », mais avec sa voix normale. Et vous savez quoi ? Cette phrase dite normalement sans rien ajuter de superflu m’a mis en confiance.


Je lui ai dit de rentrer comme la fois d’avant, mais sans essayer de jouer une voix ridicule. Bon, on ne va pas se mentir, on est quand même rentrés le sourire aux lèvres, mais sans la gêne de la première fois. Ce qui avait tout changé. On était conscient d’être nul, vraiment nul, on l’a juste accepté. Et c’est trop bien dans un monde avec des millions de tutos partout sur le net où il faut tout savoir faire vite. Là on était parti du niveau zéro, voire un peu moins. C’est normal de pas tout savoir faire instantanément, foutu internet et ingénieurs qui ont inventé ça ! Il faut prendre le temps d’apprendre… Et se planter, un paquet de fois.

Et on a ri lors des séances suivantes. Imaginez :

Camille que je connais depuis plus de trois ans, m’a déjà surpris à faire combattre deux figurines en plastique à voix haute (à des fins purement scientifiques, je vous assure). Lui dire : ’ À genoux et suce moi’. Le fou rire instantané tellement le manque de crédibilité était flagrant. Ah pour être loin de l’image de la domination on en était très loin. Mais on a continué.

Au fil des séances, des rituels se sont mis en place, presque des repères pour revenir dans le jeu entre deux rires. Quand elle arrivait elle me disait bonsoir monsieur, me faisait une bise sur la joue. Quand elle rentrait, elle se mettait en sous-vêtements.

Elle a un stock, c'est fou. Je crois que pendant 3 mois je ne l’ai jamais vue deux fois avec les mêmes. Elle m’avait avoué plus tard avoir explosé son budget . Chaque séance commençait par la même inspection qu’à la première avec mon café. Oui même à vingt heures, j’ai aucun problème avec la caféine, débat clos !

Cette "inspection" était devenue le point d'ancrage de chaque début. Elle se déshabillait seule en sous- vêtements, j'avais bien trop peur d’abîmer ses tailleurs ! Elle le faisait toujours face à moi. Elle aimait le côté être donnée, poupée sexuelle, presque nue en permanence. Elle allait me faire un café, tasse, soucoupe, cuillère et sucre sur le côté. C'est sûr ça me changeait de mes habitudes, à utiliser la même tasse à motifs avec un fond de café de deux semaines.

Elle la posait sur la table basse puis baissait sa culotte au niveau des genoux. Ce moment dégageait une sensation rassurante pour elle et moi. On arrivait là en utilisant peu de mots, limitant les sourires et rires. Ça ne durait que cinq, dix minutes mais permettait de poser l'ambiance et lancer le jeu. Une fois assis dans la banquette avec ma tasse elle devait se rapprocher pour me montrer qu'elle était parfaitement entretenue.

Pause poils : Camille était parfaitement épilée, je n’ai jamais trouvé un poil, sauf le maillot, elle ne faisait jamais rien ici. Comme elle me disait "Ma chatte j'en fais ce que je veux", Ça a le mérite d’être honnête, et elle fait bien ce qu'elle souhaite de ses poils. Je suis mal placé pour dire quoi que ce soit. Les poils d’épaules dès vingt-deux ans, la classe !

Pour le jeu elle se faisait épiler intégralement à partir de la troisieme séance. C’était sa première punition qui sortait du périmètre du jeu. Mais j'y reviendrai plus tard, je ne peux pas parler de tout en une seule fois. Bon ,elle s'est vengée un soir avec de la cire, mais c'est classé confidentiel !

Donc revenons à nos moutons. Très vite cette inspection permettait de voir si aucun poil ne dépassait. Elle se démenait pour tourner sur elle-même à cause de la culotte aux genoux. Elle disait souvent au début qu'elle prenait de plus en plus de plaisir à se trouver ridicule à être inspectée de la sorte. Jugée sur une partie de son corps qu'elle avait toujours contrôlé comme elle voulait.Et ça durait le temps que je finisse mon expresso.

Point d’honneur final, on débriefait toujours à la fin. Ressentis, ce qu’on aimait faire, pas faire, ou aimerait tester. Des fois on voulait rapidement être à la prochaine juste à cause du debriefing. Deux gamins qui essayaient un nouveau jouet.

Elle avec son côté dominant dans la vie, paradoxe quand tu nous tiens, elle voulait progresser, comprendre, maîtriser le fait d’être soumise. Et moi un mélange d’excitation et de plaisir de découvrir me poussait à m’améliorer, voir jusqu’où je pouvais aller.

Astuce et conseil : les tables basses d’une marque Suédoise ne sont pas vraiment solides dans certaines circonstances totalement hors garanties. Je dis ça, je dis rien.

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