Réflexion de liberté

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Jamais ça se terminer, et ma vie alors ! Elle se termine, alors pourquoi autant de choses qui ne vont pas dans notre société ? Pourquoi aucune liberté ? L'eau qui coule de mon visage à mon cou me le dira-t-elle ?

OH ! Combien j'aimerais avoir des réponses dans ces mélodies de tristesse.

Le vent tourne et mes pensées s'engouffrent. Oui vive la liberté, vive la différence ! Que de beaux mots avec inaction ? Différence dit-tu, où est la différence ? Montre la moi, prouve moi qu'elle n'est pas seul, ni torturer psychologiquement toute la journée. Montre le moi, je veux voir !

Alors que nous critiquons tout, que nous ne supportons pas que la personne ne te comprend pas et que nous ne la comprenons pas, non plus. Nous l'humilions, nous l'ignorons, nous formons un groupe pour qu'elle se sente seule ! Nous ne supportons pas les pensées divergentes de la société. Nous bannissions de médecins, des scientifique et d'autres, croyant que ça nous protège, comme si nous disons indirectement "Regarde lui ! Si tu es comme ça, tu finiras comme lui !"

WOW ! Quelle liberté ! Quelle différence ! La pluie fine et douce un revenue, mon maillot est trempé, mes jambes sont ruisselante d'eau froide.

Pffff ! Mettre de barrière, par tout sont ses barrières dans la société. Mais pourquoi en mettre alors que nous pouvons sans barrière ne jamais les dépasser. Nous pouvons aussi aller d'un près à un autre et trouver celui qui nous convient, ou ceux, plusieurs prés pour s'épanouir. Puis aussi celui qui aime le danger aller dans la forêt comme bon lui semble, sans jamais déranger. C'est si simple à dire et à imaginer, pourquoi ne le faisions pas ? Pourquoi ne pas laisser les personnes aller où elles veulent et comme elles veulent. Pourquoi ne pas courir dans tous les sens ? C'est si amusant ! Pourquoi ne pas s'amuser ? Nous pourrions tous être heureux pour nous et heureux pour les autres de réussir. Cependant ce ne l'est pas, nous somme malheureux, rendons les autres mal heureux et ne supportons encore moins les personnes qui réussissent leur vie.

Je me suis mis un peu à marcher, de pas en pas, en écoutant chaque bruit que la nature me feras écouter. Écho des gouttes dans les flaques, le vent dans les branches, les animaux dans les buissons. Et cette eau qui coule tout le long de mon corps enlève moi ces pensées, car sinon je deviendrai moi aussi une foule, une bannie. Purifie moi !

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