1 - Introduction (part.1)

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"Echecs et mat.

- Quoi ? Oh non, t'as encore gagner.

- Bah oui. Au lieu de tout le temps regarder tes séries, tu pourait aprendre des coups aux échecs à la place, tu ne crois pas ?

- Mouais.

- Alors les enfant, qui gagne ?

- J'ai encore gagné.

- Il a encore gagné.

- Tu sais, ma chérie, tu devrais plus te concentrer sur tes études et sur les échecs que sur ton téléphone.

- Il m'a fait la même remarque en plus précis il y a deux secondes.

- Ah, excuse-moi.

- Bon maman, c'est à ton tour de te prendre une patée comme ta fille.

- Je ne te permet pas de me parler sur ce ton, cher fils.

- Et moi non plus cher frère.

- On ne peut même pas s'amuser deux secondes ici. Bon je remets les pièces.

- Moi je vais travailler comme vous me dites de le faire.

- Tu ne dois pas le faire parce qu'on te le dit mais parce que tu en as besoin.

- Oui c'est ça, bla bla bla", dit-elle en montant dans sa chambre.

Mickael remit donc les mièces d'échecs pour jouer avec sa mère Katherine et sa soeur Janet était partit dans sa chambre.

"J'ai eu un message", dit Mickael.

"Qui ça ? demanda sa mère.

- Je regarde. répondit-il

- Alors ? s'impatienta-elle.

- C'est mon éditeur.

- Et alors ?

- Je n'ai pas encore envoyer mon histoire.

- Encore ? Si tu continue à enchainer les retard, la prochaine fois, ils ne vont plus accepter tes manifiques oeuvres comme les autres.

- Tu dis ça à chaque fois maman. C'est justement parce qu'elles sont magnifiques qu'ils les accèptent depuis le temps que je les leur envoie en retard. Sauf que aujourd'hui, je ne suis pas en retard.

- Alors dépèche toi de leur envoyer avant qu'il ne soit trop tard !

- Oui sauf que je n'ai pas fini le dernier chapitre.

- Tu en est à quel niveau ?

- Je paufine les détails.

- Mais ça prend 2 secoundes ça.

- Il me reste 15 minutes.

- Tu as le temps. Mais dépêche-toi quand même : ils seront étonnés que tu leur envoie en avance.

- Tu as raison. Je mis met tous de suite."

Mickael pris une feuille, un crayon, un stylo et aluma son ordinateur. Il chercha dans ses fichier sa dernière histoire qui s'appèle "Le "Paradis" béni". Il ouvrit le dernier chapitre quand soudain...sa petite soeur lui demanda :

"Et votre parti d'échecs alors ?

- Je suis désolé mais j'ai autre chose de prévu Janet.

- Ah oui ? Et qu'est ce qui est plus important que de mettre une raclée à maman aux échecs ?

- Hmm, comment dire, le travail.

- Ah. Il fallait me le dire avant, je ne le savais pas. Alors c'est quoi aujourd'hui : une nouvelle histoire ou une histoire à terminer ? D'ailleur, maitenant que j'y pense, ta dernière, "Le "Pardis" perdu", tu la terminer ?

- C'est se que je suis en train de faire.

- Ah d'accord. Excusez-moi de vous déranger, Jules Vernes.

- Ha ha ha. Très drôle."

Janet, finalement, remonta dans sa chambre et Mickael repris son travail à "paufiner".

Crayon ? Prêt à écrire. Dans la main. Stylo ? En repos. A côté du bras droit. Feuille ? Prêt à être écrite dessus. Devant moi. Clavier ? Prêt à être taper. Devant la feuille. Ecran ? Alumer prêt à écrire. Devant le clavier. Bon je crois que tout est bon. On peut commencer à paufiner le texte.

Au crayon, il écrit les fautes qu'il a fait sur l'écran et écrit la correction à côté . Si son erreure est fausse, il gomme et réécrit la bonne faute ou la bonne correction. Ensuite il vérifie si tout est bon et recopie au stylo et corrige sur l'ordinateur. Ensuite il retourne la feuille et lit son texte en entier sur l'écran. Il veut ajouter quelque phrase ou mot par-ci, par-là et recopie tout ça au crayon sur sa feuille. Ensuite il vérifie tout, gomme et réécrit à quelques endroits et écrit ensuite tout sur son ordinateur. Il reretourne sa feuille et relis tout sur l'écran et écrit toute ses fautes au crayon sur sa feuille, vérifie, recopie le tout sur l'ordinateur et enregistre. Il peut enfin faire une pause et respirer : il avait fini.

"T'es tellement concentré qu'on que tu est dans la zone et qu'on ose pas te déranger même pas pour te dire que ça fait plus de trentes minutes que tu travailles.

- 30 minutes ?!

- Oui, pourquoi ?

- Tu aurrait du me le dire avant, Janet.

- Hier seulement tu disait de ne surtout pas te déranger et maintenant, tu me suplie de le faire. Tu sais, j'essaye d'apprendre de mes erreures mais là, tu en fait trop.

- Excuse-moi Janet mais je devais le rendre dans 15 minutes.

- Et ça combien de temps que tu dois le rendre dans 15 minutes ?

- 30 minutes, justement !

- Ah, désolée. Mais bon aussi, ce n'est pas la première que tu es en retard : je pense qu'il feront une exeption cette fois.

- Comme les 23 fois d'avant ?

- 23 ?! Donc tu les as compté ? Mais là, c'est toi qui as merder, je ne pouvais rien pour toi.

- Sauf que c'était à partir de 25 retard qu'ils me renvoyaient et là, je suis à la limite.

- Tu aurais du me prévenir avant.

- C'est maintenant que je m'en souvient.

- Du calme vous deux, je vous entends de la cuisine, dit Katherine.

- Oui maman, répondirent les deux enfants.

- Et toi, Mickael, tu vas te dépécher d'envoyer ton travail à moins que ne tu veuille que l'on cherche encore un autre éditeur.

- Ah oui, c'est vrai. Je m'y mets tout de suite."

Il se remit sur son ordinateur et envoya immédiatement son oeuvre de peur qu'elle soit plus qu'en retard. Gros soupir pour le jeune homme de vingt ans qui pensait voir toute sa vie défiler.

"Bon, maitenant, vous la faites votre partie d'échecs ? demanda Janet.

- Tous de suite, répondit Mickael, je remets les pièces.

- Je t'attends fiston, annonca Katherine."

Une trentaine de minutes plus tard.

"Encore gagner, sérieusement ? Tu me déçois maman.

- C'est que ton frère est fort maintenant.

- Merci du compliment. Ah, on m'a envoyer un message.

- C'est qui ?

- Mon éditeur.

- Encore eux ? Et alors ?

- Je vous dictes :

"Mickael, c'est la 24ème fois que vous m'envoyez un texte en retard. Enfin pour vous c'est normal mais cela me pose problème. Donc j'ai décider, comme nous ne pouvons pas continuer à travailler comme cela et qu'une 25ème chance serait abuser, de vous renvoyer. Je suis désolée mais notre contrat s'arrète là..." C'est le 16ème éditeur qui me dit ça.

- Faudra trouver un autre éditeur, une 17ème fois. Bonne chance tous les deux. Moi, je retourne dans ma chambre.

- Bon, alons-y, fiston.

- Mouais."

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