2 - Introduction (part.2)

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Notre héro était sur son vieux vélo et roulait en direction de son nouvel éditeur. C'était un petit éditeur pas connu qui lui plaisait bien. Il s'arrèta à un carrefour car le four feux car il était rouge et s'impatientait sur sa vieille monture. Il s'amusait à regarder les passant quand parmis eux, il vit une jeune demoiselle qu'il reconnu directement. Il l'appela sans faire exprès et elle se retourna pour voir celui qui l'avait interpeler. Quand elle reconnu le jeune auteur, elle parrut surprise mais elle continua son chamein comme si rien ne s'était passé. Alors Mickael la suivie en stoppant une voiture qui passait et, alors qu'elle était déjà sur le trotoir, il lui prit le bras "Alicia !". Elle lui arracha son bras des mains et repartit. Mickeal la regarda partir pendant queques secondes puis continua son chemin lui aussi. Il ne pleurait pas mais il était quand même triste. Arrivé chez son éditeur, il freina puis mit un pied à terre. Il regarda l'heure : 15h32. Il était encore en retard de deux minutes. Deux minutes, ce n'est rien. Il s'aprétait donc à rentrer quand il se souvient d'"Alicia". Finalement, deux minutes c'est rien, mais c'est quand même un retard. Demi-tour. Il revient au carrefour ou il l'avait vu la dernière fois. Il y avait un café à côté et il pensait qu'elle était la-bas. Il se gara donc devant et entra. Il avait raison, Alicia était là assise à une table, la tête dans les nuages. Comme la place devant elle était vide, il s'approcha et dit : "Je peux m'assoir ici ?" Elle dire oui mais quand elle a leva sa tête et l'a reconnu, elle prit ses afaires et changea de table avec son café. Mickeal changea de table avec elle et elle rechangea donc de table pour revenir à la première. Le jeune homme suivit une nouvelle fois. Elle lui demenda :

- Qu'est-ce que tu veux encore ?

- Alicia...

- Non! il n'y a plus d"Alicia. C'est fini nous deux.

Elle se leva avec humeur et sortit du café. Il la regarda sortir. Elle passa devant son vélo puis commença à courir. D'ailleurs, en parlant de son vélo, des voyous était en train de le voler mais il ne bougait pas alors qu'il tenait à ce vélo. Il se sentait vide. Mais il n'allait pas se jeter sous un pont non plus. Bon, il était temps qu'il rentre chez lui comme il n'allait plus chez son nouvel éditeur. Sur le chemin, il reçu un message de "L'Académie des Editions". Il le lit... et faillit tomber à terre. Pour résumé, il ne pouvais plus s'allier à un autre éditeur et perdais son statut d'auteur. C'est-à-dire que peut importe les histoires sublimes qu'il écrie, personne ne pourra les lire. Personne. Ce mot le hantais durant le trajet après avoir lu le message. Message. Maintenant c'était lui. En bref, son esprit était ailleur, et très loin. Il faillit faire un accident en passant le feu rouge. Mais il n'y pensais pas.

Rentré chez lui, il se mit dès son arrivée à noter sur un cahier se qui lui était arrivé comme d'habitude. Au fur et à mesure qu'il racontait son aventure de cet après-midi, les larmes commencèrent à monter quand il éctata soudainement en sanglot. En silence, certes, mais les deux femmes de la maison s'en rendirent compte directement : ça se sent dans l'air quand un homme pleurt. Sa mère vient au secour dans la seconde qui suivit : "Qu'y a-t-il mon fils ? Ton éditeur t'as rejetté, c'est ça ? Ou bien tu t'es pris une amende ? Répond-moi !" Pendant que la mère questionnait le fils, la soeur se ramena et pris le cahier sur lequel son grand-frère écrivait. Elle lit rapidement en diagonale et dit à sa mère en lui tendant le document : "Ca sert à rien, il est déprimé." La mère pris le cahier et lit à son tour en diagonale et laissa finalement son fils avec son cahier. La soeur elle aussi repartit dans sa chambre. Il était seul, déprimé, sans rien ni personne. Il ferma son cahier et partit se coucher alors qu'il ne devait être que17h et demie ! Il se reveilla vers une heure du matin. Il était fatigué alors qu'il n'a fait que de dormir. En parlant de dormir, sa soeur le faisait sur son lit. Elle a du veiller en attendant que son grand-frère se reveille. Il a de la chance d'avoir une petite-soeur. Et pas n'importe la quelle ! Il avait faim. Il se leva donc de son lit et parti à la cuisine, voir si il y avait un petit quelque chose pour lui. Il ne trouva pas grand chose mais il fit avec ce qu'il avait. Quand il eût terminer, il reparti se coucher.

Le lendemain, 8H00, sa soeur le reveilla :

- Debour là-dedans ! tu ne vas pas quand même dormir tout le temps non ?

- Qu'est ce que tu fais là toi ? demanda-t-il même si il savait déjà la réponse.

- Eh bien, pour tout te dire, pendant que tu était en train de te "reposeré, moi, ta chère petite-soeur, j'ai veiller toute la nuit en attendant que tu te reveilles. Alors, on dit merci à qui ?

- Merci Janet d'avoir veiller sur moi toute la nuit.

Sa soeur, toute fière d'avoir été complimentée, se précipite pour aller voir ça mère et lui annoncer que son frère s'est réveiller. Mais, dû au fait de sa précipitation, elle sauta une marche et... BADABOUM !!!

- JANET !

Son frère accouru. Du haut de l'escalier, il aperçu sa soeur qui se tordait de douleur en criant. Il commenca à descendre les marches (unes par unes) et vit sa mère arriver. Il se souvient de ses cours, à l'école, de premiers soins mais face à sa soeur une jambe retourné, il ne savais que faire. "Aide-moi" lui disait sa mère, "Appelle une ambulance" lui disait son fort interieur, "A L'AIDE" criait Janet. Que faire ? Que devait-il faire dans ce genre de situation ?

***

Quelques temps plus tard, il était à l'hopital, assis sur un banc près de la chambre où reposait sa soeur en attendant le résultat du médecin. Quand il sortit, il se leva en susaut pour lui demandé :

- Comment va-t-elle ?

- Je n'aime pas dire des mauvaises nouvelles, commensa le docteur, mais je n'aime encore moins dire des mensonges : votre soeur va très mal. Déjà son état psychologique a été afécter par sa chute et en plus, quelques articulations au niveau des jambes (c'ést-à-dire un genoux, les chevilles, quelques unes des doights de pieds, etc...) sont hors d'utilité. Sans parler des os brisé et des...

Mickeal ne l'écoutait plus. Il pris sont gilet et sortit de l'hopital. Sa soeur ne pourra plus jamais marcher de sa vie. Elle a aussi été touché psychologiquement, donc elle va surement changer de mentalité, voir carément devenir autiste. Il sait qu'il va un peu loin, mais il sait aussi que c'est possible. Janet. Janet ! Sa pauvre petite soeur ! On la lui avait enlevé et maintenant, il avait perdu son support, sa consolation, sa joie : Tout et finie et il n'avait plus que faire au monde. Et en plus de ça, sa mère ne plus lui parler à cause d'une certaine raison qu'il avait oublié d'ailleurs. Et après, on ose lui dire que la ville quand on cherche à le dissuader de sauter d'un pont. Mais il allait quand même sauté. La preuve, il était déjà en-bas. Plouf. C'est rapide dis-donc.

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