D'un signe de la main monsieur Mikos Manos salua l'homme qui montait la garde devant la hutte, et invita le garçon à entrer. Une fois à l'intérieur, se trouvait une femme qui mettait de l'ordre dans la pièce, elle était de taille moyenne environ un mètre soixante dix, des longs cheveux noirs attachés en queue de cheval, la peau bronzée, et des petites tâches de rousseurs sur les joues, elle portait des lunettes également, elle avait aussi une blouse blanche sur laquelle était inscrit en noir au niveau de l'une des poches (ERA) ce qui piqua encore plus la curiosité du garçon.

La dame indiqua à celui-ci un endroit où prendre place ,et dit ensuite .

-Salut mon garçon je m'appelle Marie-Esther je suis la secrétaire de monsieur Mikos Manos, permets-moi de te souhaiter la bienvenue ici! Je suppose que tu as des questions ! Elle lui fit un sourire et ajouta...

-je me suis occupée de toi à ton arrivée durant la nuit comment te sens-tu ?

Le garçon alors légèrement embarrassé répondit:

-Merci madame je me sens bien ! En effet j'ai beaucoup de questions auxquelles je voudrais des réponses, mais avant tout je voudrais manger quelque chose, enfin...si de la nourriture vous en avez à disposition ici.

Marie-Esther répliqua d'une voix sympathique :

-On t'apportera des fruits et des légumes, d'un moment à l'autre.

Le garçon se rendit compte que le professeur assis dans un coin sur un bureau près d'une sorte de bibliothèque était plongé dans ses dossiers, ce qui l'emmèna à scruter minutieusement les lieux. Il nota ainsi la présence de plusieurs livres rangés sur des étagères.

Un bureau neuf au design épuré et des équipements modernes qui contrastaient avec l'endroit où ils se trouvaient.

Il commença donc à se méfier et dans sa tête beaucoup plus que questions émergèrent.

Il y avait pas de trace d'électricité, mais la pièces était bondée de divers  gadgets. Alors il demanda à la femme assise en face de lui.

-Madame, où sommes nous ? Ça m'inquiète, de rester aussi longtemps dans l'ignorance. De plus j'ai un très mauvais pressentiment, l'atmosphère ici me semble hostile. Excusez-moi de vous le dire !