Un jour

Alena reçoit un appel qui la ramené à sa dure réalité, on l’informe qu’une vend aux l’enchère est organisée le soir même.

Quand maya voit le regard de sa dominante redevenir froid et animal, la rousse comprend que quelque chose s’est passé, mais elle ne dit rien à sa maitresse connaissant les risques de le faire.

Le soir venue, Alena enfile sa tenue ; chaussures de combats, ses armes avec un jean noir, un top dos nue et son masque d’animal.

La jeune femme tend ensuite à sa soumise une courte robe dos nue violet légèrement transparente et une paire de talons assortie.

Juste avant de partir, Dans la voiture, la dominante donne ses consignes à sa petite chose :

- Nous allons ce soir à un évènement particule, c’est ta première véritable sortie en tant que ma propriété, donc j’attends de toi que tu restes à ta place. Donc rappelle moi ce que tu dois faire ?

- Je ne dis rien sans votre permission, je reste à genoux à coté de vous, je reste toujours près de vous, maîtresse. Répond Maya de sa voix la plus claire.

- Bien et si tout à coup on doit être séparer ? demande sa maitresse

- Je reste sur place et vous attend, maitresse.

- Et si quelqu’un essaye de te prendre ?

- Je remonte autant que je peux ma robe pour montre votre marque, maitresse.

- C’est très bien je suis fière de toi. Après c’est de la théorie en pratique cela pourrai être différant le moment venu.

- Je ferai mon possible pour vous rendre fière maitresse

Sur ses belle paroles le duo part pour une villa d’un autre membre de la toile.

Une fois arrivée, devant le portal, Alena s’annonce à l’interphone et après que son masque soit scanné, elles entrer enfin dans le domaine.

Après avoir parquer sa voiture, Alena se dirige rapidement vers la porte d’entrer, maya sur ses chaussures essayant tant bien que mal de la suivre à cause de son manque d’expériences avec des talons.

L’araignée prend place dans un fauteuil au fond de la salle de vente après avoir déposé un coussin à côté d’elle pour sa soumise, et cela malgré le regard de ses voisins un peu choqués de sa gentillesse envers son jouet.

Maya s’agenouille sur le coussin et reste aussi droite qu’elle peut ne sachant toujours pas pour quel raison sa maitresse est là.

Quand finalement la lumière s’allume sur un homme, lui aussi porte un masque d’animal, leur remercient d’être venu si nombreuse a sa petit vend de jouets.

Maya failli pousser un petit crie d’horreur au souvenir de sa vente, mais la main ferme de sa maitresse sur sa nuque lui rappelle de reste calme.

La soirée bas son pleine, des « jouets » de tout sorte sont vendu ; des jeunes filles capture pendant des fêtes, des jeunes hommes couverts de dettes, des adolescents vendus par leur parents.

A chaque fois les prix de base sont énormes et les jouets sont vendu à des prix démentiels, malgré cela le regard d’Alena reste froid, comme si leur sort ne l’intéresse pas.

Alors que maya, si les doigts de sa maitresse ne faisaient pas tinter la clochette à son cou, aurai perdu le contrôle et aurai surement quitté la salle.

Après trois heures de vente, le présentateur annonce le dernier jouet ;

- Et voici la dernière marchandise. Jeune fille qui est venu d’elle-même nous voir, une petite fugueuse vous voyez ? elle en avait marre de sa vie et préfère être vendu que reste libre, plutôt amusant non ?

Des rires se font entendre dans la salle.

- Mais bref assez de divagations, elle a seize ans, pas de tatouage ni de piercing pour le moment, plutôt mince, cheveux blonds, porte des lunettes.

Alena reste impassible jusqu’à ce qu’elle entende la couleur des yeux de la marchandise « vert », à ce moment-là une lueur animal se lit dans ses yeux.

Une fois, quel homme a fini de parle et à annoncer le prix de la jeune fille ; 100, une jeune fille sous une cape à capuche s approche. Ses mains, ses pieds et son cou son relier par une chaine.

Maya à bout, n’est que présente physiquement son esprit est parti dans sa chambre, dans son sanctuaire chez Alena, quand soudain la voix douce de sa dominante l’a ramené à la réalité :

- Je suis prête à me sacrifier et vous la prendre pour 200, sauf si bien sur quelqu’un d’autre la veut ?

Comme seul réponse Alena entend une mouche voler.

- Bien alors adjugé vendu à notre chère araignée. Déclare le présentateur avec un sourire, vous pouviez sans autre venir la récupère.

- Roxanne va la cherche, ordonne Alena en tentent une laisse à sa soumise.

Maya se levé avec peine et marche d’un pas hésitant vers la scène, une fois vers la blonde elle lui accroche la laisse à son collier, puis au moment à l’elle se retourne pour retourner vers sa maitresse, elle sent le lien se baisse et quand elle se retourne elle voit la jeune fille a quatre pattes prête à la suivre. Quand finalement la rousse arrive vers sa maitresse, le présentateur dit « on dirai bien que notre araignée c’est déjà trouvé un très jolie jouet » des rires très discrète et lointain se font entendre.

La soirée finie, Alena et Roxanne se dirigent vers leur voiture avec la jeune fille toujours à quatre pattes derrière elles. Après l’avoir faire monter dans le coffre, le duo repars en direction de la petite maison de Alena.

Pendant tout le trajet, la dominante reste silencieuse ce qui arrange un peu sa soumise qui reste aux aguets du moindre bruit de panique provenant du coffre.

Une fois arrivée, Alena charge maya d’amené la nouvelle venue dans la chambre de quarantaine, La rousse s’exécute sans hésitation et amène dans la cave la blonde. Après avoir fermé la porte derrière et attache la jeune fille au mur, elle commence à enlever les liens de cette dernière qui reste tranquille et silencieuse, ce qui perturbe un peu la rousse.

Une fois tous les chaine enlever, Roxanne se dirige vers la porte quand soudain sa maitresse entre par cette dernière.

- Bienvenue dans ta nouvelle maison, comme tu dois d’attendre tu ne quitteras surement jamais cet endroit vivant, commence Alena, mais je crois que c’est ce que tu veux ?

La jeune blonde reste silencieuse la tête baissée.

- Si tu de poser des questions sur qui est la jeune fille rousse, c’est Roxanne ma soumise, mais elle t’est supérieur donc tu lui dois obéissance et respecte. Continue Alena

- ….

- J’ai rapide lu tout tu viens et clairement, il n’y a aucune raison à ce que tu veuille perdre ta liberté : une famille aimante, assez d’argents pour bien vivre, une bonne élève. Rien qui expliquerai la raison de ta présente à cette vente.

- …

- Bon tu ne sembles pas vraiment vouloir parler, je vais donc laisser Roxanne de prépare pour finalise ton appartenance.

Après le départ de la dominante, Maya prend une grande respiration et commence a cherché une tunique d’un blanc pur dans l’armoire, quel a ouvert avec une clef, tout en réfléchissant à ce qui attend la nouvelle, quand soudain une voix la sorte de ses pensées.

- Est-ce que je vais avoir mal ? demande la blonde d’une voix neutre.

- Appelle-moi par mon prénom et peut être que je te répondrai. dit maya en revenant avec la tenue encore un peu absente.

- Dame Roxanne, est ce que cela vous a fait mal ? demande l’inconnue sur le même ton de voix.

- Tu parles de ma marque ? demande à son tour la rousse remarquant que on la voit légèrement à travers de sa robe.

- Oui, répond l’autre timidement

- Oui, j’ai souffert pendant un mois entier mais maintenant je la porte avec fierté. Répond à son tour maya

- Tant mieux, si cela me fait mal, dit la jeune fille avec un sourire triste. En même temps j’ai l’habitude

Alors que maya enlève les habits de la jeune fille, cette dernière grimace par moment de douleur, c’est quand la blonde est en sous vêtement que Roxanne comprend la raison ; les poignets, les bras, les avant-bras, les hanches, les cuisses et les cheville de la jeune fille sont couvert de coupure et de traits fait avec une lame de rasoir ou un couteau.

- Cela ne vous dégoute pas ou vous déçoit pas, dame Roxanne ? demande l’inconnue avec le même sourire triste, la personne qui m’a préparé à la vend a retenu un haut le cœur quand elle les a vues et n as même pas eu le courage de les cacher.

- Non, pas vraiment, répond maya d’un ton détaché en enfilant la tunique à la jeune fille.

Une fois la blonde prête, maya la décroche du mur, lui remets une laisse et l’amène dans la salle où les attend déjà Alena.

Quand la nouvelle venue voit le fer dans le feu, elle fait un pas en arrière, comme réponse maya la tire en avant la faisant tombe à plat ventre sur le sol.

- Il ne me semble pas que j’ai été si méchante avec toi la première fois. dit amusée la maitresse sur une chaise jouant avec un taser.

- -non, maitresse, mais je ne m’étais pas blesse au point que vous ne puissiez pas me marque, répondit Maya d’une voix claire.

- Blesse dans quel sens ? demande soudainement la jeune femme aux cheveux colorer plus sérieuse.

Comme seule réponse maya tire la nouvelle vers la lumière de façon à ce que les marque de cette dernière sois visible.

- Hooo, je vois…lâche Alena de sa voix la plus froid, il semble que mademoiselle n’a pas eu le courage d’aller jusqu’au bout. Tu espères peut-être que je le fasse à ta place ?

La blonde ne répond pas et ses joues rougis lentement de honte.

- Si c’est ce que tu crois, tu te trompes lourdement d’autre aurai surement exauce ton souhaite, mais moi, non je préfère plutôt te laisse vivre, jusqu’à ce que tu me tout corps me supplie de t’achever….

- Je vous en supplie fait le maintenant, coupe soudain la blonde.

Alena s’approche d’un pas très lent de la fille et appuie alors avec son petit boitier électrique sur la clavicule droite de la blonde laissant partir une décharge, à ce moment la blonde sursaute laissant couler quelques larmes de douleur.

- Je t’ai laissé avant tout le temps pour parle, maintenant, sauf permission tu ne dis rien, sinon je devrai de punir, malheureusement pour toi ces décharges ne te tueront pas. Annonce Alena de sa voix froide

La blonde se mets alors en position de fœtus et commence à sangloter.

- Au départ je comptais te marque comme Roxanne, mais tu sembles plus résistante a la douleur qu’elle à l’époque. Continue Alena, je vais plutôt partir sur quelque chose de bien plus « amusant », Roxanne attache la face contre le mur

Maya s’exécute se rendent alors compte de son comportement, ou était passer sa part d’innocence, sa gentillesse, ce qu’elle était avant cela ne lui ressemble pas d’être méchante et hautaine.

Une fois la blonde attache, Alena se lève et va prendre un scalpel dans un sac stérile dans un meuble, une fois sortie, elle s’approche de sa victime du jour et lui chuchote à l’oreille avant de commence :

- Je vais refaire avec ce joli petit objet la marque que Roxanne a. je vais le faire juste en bas de ton dos encore vierge de tout marque, un conseil je n’aime pas vraiment quand mon papier bouge. Avant que j’oublie, je voulais que cela soit un peu moins sanglant, mais on ne peut pas toujours faire comme on veut. Avant de vraiment commence je vais te donne un prénom « ambre », tu as intérêt a t en rappelle, car a l’inverse de la brulure cette marque je peux la refaire aussi souvent que je veux, j’ai cru comprendre que tu sais déjà parle de la bonne façon, donc attention aux gaffes autant envers moi qu’en vers Roxanne.

- Bien madame, peine à dire ambre les yeux rouges se préparant autant qu’elle peut à la douleur qu’elle va recevoir

Au premier trait, la blonde pousse un long cri de douleur.

Une fois le contour fait maya s’agenouille à côté de sa maitresse de façon à ce que sa maitresse la voit.

- Qui y a-t-il Roxanne ? demande Alena impassible en continuant son travaille.

- J’aimerais si vous le permettiez tenir la main d’ambre pour la soutenir, maitresse, répond timidement la rousse

- Ambre tu as de la chance que ma soumise sois s’inquiète un peu pour toi. Roxanne tu as ma permission.

- Je vous remercie maitresse. Dit la rousse en s’approchant de la jeune fille.

Elle prend la main tremblante de la blonde qui est à moitié consciente à cause de la douleur.

Une fois son œuvre fini, Alena dépose une pommade sur son travail et ordonne à Roxanne d amène la jeune fille dans sa chambre et de bande son dos.

Une fois sa tâche fait maya reste quelque minute a regard la blonde en repensait toute la période où elle était là, une fois sortie de ses pensées, elle remarque alors qu’ambre est consciente, mais fait semblant de dormir.

- Je sais que tu ne dors pas, dit la rousse d’une voix douce.

- Vous allez m’humilie encore ? demande faiblement la blonde sur la défensif

- Je suis sincèrement désole, je ne voulais pas ça. S’excuse Roxanne

- Ce n’est pas vraiment grave, peut être que je vais mourir d’une infection, articule l’autre fille avec une lueur d’espoir.

- Il y a peu de chance, notre dame prend quand même soigne de nous.

- Alors que vais-je devenir, son jouet, son animal de compagnie ?

- Ce n’est pas ce que tu voulais ?

- …

- Ne plus avoir le contrôle, devoir attendre sur quelqu’un, obéir, n’être plus humaine ?

- Dire non serai mentir, mais j’aimerai d’un autre coté arrête de souffrir.

- Pourquoi souffre-tu ?

- Arrête de souffrir car j’ai honte de moi…

- Comment ça ?

- C’est comment dire très Personnelle….

- Avant de m’appelle Roxanne, j’avais comme prénom maya, je me suis retrouve ici à cause d’un connard qui m’as vendu pour se faire un peu d’argents, manque de chance, il est tombé sur des gens peux honnête il est mort juste après avoir été paye. Malheureusement pour moi peu de temps après ma vente l’organisation a été démanteler et une grande majorité des filles ont pu être retrouve, depuis la seule personne avec qui j’ai des liens sociaux est ma maitresse, notre maitresse.

- Je ne savais pas, je suis désolé pour toi.

- Ne le soit pas, je m’y suis habituée maintenant.

La porte s’ouvre laissant apparaitre Alena un sourire animal aux lèvres.

- Ma petite Roxanne, je croyais d’avoir dit au début d’oublier ton prénom et ta vie d’avant ? demande la dominante d’une voix glaciale.

- Oui, maitresse, mais je devais me faire punir pour ce que j’avais fait à ambre. Dit maya d’une voix claire mais peu assurée

- Donc tu savais que j’étais là ? demande Alena d’une voix soudainement douce.

- Oui maitresse. Avoue la rousse gênée.

- Tu es incorrigible, pour la peine, je vais te punir ensuite tu dormiras dehors, nue et attache au poteau. Annonce Alena sur un ton un peu plus ferme

- Bien maitresse. Puis dire bonne nuit a ambre au moins ? demande Maya

- Tu as dix minutes, ne m’oblige pas à empire ton cas. Avertie la dominante.

Une fois la maitresse remonte pour attendre sa soumise dans la salle de punition, maya se penche à l’oreille d’ambre pour lui dire que si elle a envie de lui parle elle sera à l’écoute.

- Je m’appelais zoé, et… commence ambre

- Chut repose toi pour le moment, ambre, on en reparlera demain si tu en as la force. Coupe Roxanne

- Je suis désole pour vous dame Roxanne, mentit à moitié la blonde

- Ne t’excuse pas zoé, je sais que ce n’est pas sincère mais au moins on est à peu près à égalité

- ....

- Bonne nuit ambre essaye quand même de te reposer.

Une fois la porte ferme à clef, la rousse remonte au premier étage pour rejoindre sa maitresse. Quand elle arrive, Alena l’observe, un long fouet en rouler dans la main, entrer dans la pièce. Après lui avoir enlever ses vêtements, la dominante ordonne à la jeune femme de poser ses mains sur sa tête et de ne pas bouger.

- Je ne sais pas si je vais te frapper jusqu’à ce que tu me supplie d arrête ou si soixante coups suffiront pour te punir pour ta faute. Dit dominante un jouant avec la langue au bout de son fouet.

- Je m’en remets à vous et votre jugement, maitresse, dit la jeune fille résolue et prête à tout éventualité.

- Il y a encore quelque temps tu m’aurais supplié de pas de faire de mal, annonce la maitresse avec un petit sourire sadique

- Je sais que qu’importe votre choix cela sera le bon, maitresse. Répond maya d’une voix légèrement tremblante, je mérite cette punition pour avoir transgresse vos règles.

- Tu t’es bien assagie et tu es devenue une très bonne soumise ma petite Roxanne.

La dominante regard sa soumise avec un léger sourire et fait claque une première fois dans le vide son instrument.

Maya sursaute, mais reste en place, le fouet pour elle est la punition qu’elle déteste le plus, les coups sont trop imprévisible niveau douleur et aléatoire sur la zone d impacte.

Quand le premier coup tombe, elle pousse un petit crie et commence a compté.

Après une heure et septante coups, dont dix qui ont été fait deux fois à cause de cris de douleur sans compter.

A bout de force maya peine à reste debout, mais reste silencieuse malgré qu’elle sente un peu de sang couler sur son corps.

Une fois que Alena a mis la crème sur les blessures elle ordonne à la jeune fille l’attendre dehors.

Maya prend son courage à deux mains et attend sa maitresse malgré le froid ambiant.

Quelque minute, après Alena arrive avec un sac en toiles, Après avoir enchaine les poignets et les chevilles de sa soumise, elle relie le collier de sa propriété au poteau.

Après un bref bonne nuit la dominante retourne se mettre au chaud.

Vers le milieu de la nuit une pluie froid commence à tombe, maya se recroqueville autant qu’elle peut sur elle-même pour essaye de garde autant de chaleur qu’elle peut.