Les âmes mentent
Ne reste pas au seuil de ton histoire
Tu sais bien, ces choses-là sont dérisoires
Comme tu es aveugle, mon ange, rien ne change
Les dissimulations couvrent ton visage
Ta propre haine te martèle au point de noyer ton nom
Rien comme personne ne te fera retrouver la raison
Alors viens
Viens au-delà des ombres
Graver mon cœur de marbre
Des fleurs aussi noires que tes yeux profanes
Les dieux ne dansent plus sur nos âmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
Il n’y a plus rien que je ne puisse pas désirer de toi
De toutes nos vies, imparties, les heures infâmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
À deux nous dansons sur nos âmes
À deux nous dansons sur nos larmes
Tu ne te lasses pas
Ne reste pas au seuil de cette histoire
Je ne regarde pas du côté du soir
Mais tu te retrouves seul, perdu et fou
Ne m’arrache pas les yeux, c’est tout
Mon propre amour me tue au point de noyer ton nom
Ça ira, ne me fait pas confiance, petit garçon
Alors va-t-en
Va jusqu’à la prochaine vie
Je ne veux pas de cette empathie
Des fleurs aussi noires que tes yeux profanes
Les dieux ne dansent plus sur nos âmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
Il n’y a plus rien que je ne puisse pas désirer de toi
De toutes nos vies, imparties, les heures infâmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
À deux nous dansons sur nos âmes
À deux nous dansons sur nos larmes
Tu n’existes pas
Ne reste pas au seuil de mon amour
Tu sais bien, ces choses-là sont dérisoires
Comme tu es aveugle, mon ange, tout change
La déception couvre mon visage
Des fleurs aussi noires que tes yeux profanes
Les dieux ne dansent plus sur nos âmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
Il n’y a plus rien que je ne puisse pas désirer de toi
De toutes nos vies, imparties, les heures infâmes
Alors pourquoi vouloir tant comprendre les lunes ?
À deux nous dansons sur nos âmes
À deux nous dansons sur nos larmes
Nous sommes faciles
Mon propre amour me tue au point de non-retour
Tu peux encore sourire, observe ce cœur
Il bat
Il bat, jusqu’à sa prochaine vie
Admire-le, il est magnifique.
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