Jeudi 28 mars 2019

Une minute de lecture

Considérée comme pénible la plupart du temps, la routine peut parfois devenir le baume qui apaise les tensions quotidiennes.

Je me rends bien compte qu'il y a quelque chose de cocasse à déjà envisager comme une routine un trajet que je ne fais que depuis le début de la semaine. Et pourtant… il a suffi de ces quelques jours pour que s'installent de petites habitudes qui m'apportent un peu de douceur.

Chaque matin, je me prépare un petit-déjeuner et un bon café à emporter.
Chaque matin, je prends très tôt un train peu fréquenté.
Chaque matin, je dis bonjour aux quelques mêmes personnes que j'y croise.
Chaque matin, je peux donc m'installer sur la même banquette et y prendre mon petit-déjeuner.
Chaque matin, je savoure cet instant de paix et de tranquillité.

Que ce soient mes longues heures d'absence de la maison ou autre chose mais Gaston lui-même est beaucoup plus calme et agréable depuis lundi. Cela fait bien entendu remonter quelques doutes mais je me dis que s'il nous faut être séparer pour être bien, c'est probablement que nous n'avons plus rien à faire ensemble. Et les doutes s'envolent.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Adélaïde Vesler ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0