Vendredi 01 février 2019

Une minute de lecture

Encore un jour où je pense à toi, à ta présence et à tes bras. Au vide béant que tu as laissé.

Cette année forcément tu me manque plus que les autres années. Tu étais ma confidente et ma meilleure amie. Je pouvais t'appeler n'importe quand pour te raconter n'importe quoi. Mes peines ou mes tourments et recevoir ton réconfort ou tes conseils.

Parler pendant des heures de philosophie, de physique quantique ou juste de cinéma. Refaire le monde autour de sujet importants ou insignifiants. On pouvait se taper un délire sur le sommeil des mouches ou tout autre absurdité qui nous passait par la tête.

Et si vraiment ça n'allait toujours pas, je n'avais qu'à me rendre chez toi et me blottir quelques secondes dans tes bras pour me sentir instantanément plus légère.

J'ai bien des amies ou des confidentes et je les aimes de tout mon coeur. Mais il n'y a plus personne avec qui j'aie cette extraordinaire complicité. Tu me comprenais d'un mot, d'un regard ou d'un sourire. Parfois, même à distance tu savais déjà que quelque chose n'allait pas. Tu étais bourrée de défaut que tu m'as malheureusement transmis mais tu avais un cœur en or et j'y avais une place rien à qu'à moi. Je n'ai plus de place nul par désormais puisque je n'ai même pas celle que je croyais avoir avec Gaston.

Tu me manque Maman....

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