L'arrestation

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Jour J.

Dans cette forêt vierge où la route était difficile et longue se passa trois heures avant qu'un homme cria :

  • Il y a beaucoup d'ossements ici, venez jeter un coup d'oeil. Le lieux où j'ai trouvé ces ossement se trouve non loin d'un corps de ferme. Ce que vous allez découvrir dépasse tout entendemenent, les os étaient tout bonnement entourer de sa chair. Expliqua un villageois.
  • Nous vous suivons.

Ils partirent sur le lieu maccabre.

Cette nuit-là, le médecin légiste travailla d'arrache pied pour permettre de trouver une cohérence avec tout ces crimes, et ce qu'il découvrit lui à permit d'établir qu'ils s'agissaient bien ceux de Marius. Sur les os il pouvait aperçevoir des morsures comme celles faites par un humain, il s'agirait être l'oeuvre d'un cannibal.

Le lendemain ils partirent et s'enfoncèrent au plus profond de la fôret. Une bâtisse se dressait devant eux, il s'agissait d'un corps de ferme isolé de tout monde extérieur.

Après avoir sécurisé les lieux, le commissaire et le lieutenant pénètrent dans les lieux.

Pendant cette instant, ils furent pétifiés sur place laissant place à la terreur. Ils ne savaient plus omù donner la tête car tout nétait qu'horreur et térrifiant. Leurs regard s'arrêtèrent devant l'évier où gisaient à l'intérieur, du sang qui provoquait un débordemant qui se finissait entre les lattes du parquet.

Par la suite ils découvrirent, un couteau à os dépourvu de viande fraîche et une hache servant surement à trancher les os calcitrants. L'un des agents eu la bonne idée d'ouvrir un des tiroirs du buffet. Aussitôt ouvert une odeur nauséabonde s'en échappa, il se boucha le nez à l'aide de son mouchoir tentant de voir de quoi il s'agissait.

Des ossement en cours de putréfactions et sur les étagères du haut, trônaient avec fièrter des bocaux replis de choses répugnantes, des organes flottaient dans du féromol.

De grandes quantités de soude caustique étaient stockées dans l'arrière-cuisine.

Dans la cour, des conteneurs longeaient un mur. En en levant l'un d'entre eux et à en juger l'odeur qui s'en échappait, il ne pouvaient s'agir que de corps humains, des bustes entiers se trouvaient là devant leurs yeux.

Ils quttère enfin ce lieux obscène, quand il silhouette s'approchait d'eux. Ce type avait une particularité c'était qu'il boitait et une bosse sur le dos. C'était l'homme rechercher ! dès qu'ils le découvrirent ils dégainèrent leurs armes et les braquèrent sur lui en criant:

  • Arrêtez-vous, je vous ordonne de vous arrêtez! Hurla le commissaire. Au nom de la loi, je vous arrête !

Mais l'homme se comportait avec indifférence et poursuivait son chemin, jusqu'à ce retouver à quelques mètres du groupe de force de l'ordre, qui pointaient toujours leurs armes sur lui. Un sourire narquois s'affichait sur son visage de malfrat et se laissa se faire menotter sans aucune résistance.

N'a-t-il eu aucun remors, ni aucune cupabilité envers ses victimes?

Il fut interpellé immédiatement et emmener au commissariat. La police scientifique et le service des homiciles les attendaient déjà dans une pièce isolée pour l'intérrogatoire avec en main son casier judiciaire.

  • M. Barry Joël vous êtes accusé de violences volontaires à l'encontre d'un tiers vivant au moment des faits. Des coups brutaux leurs fut infligés entraînant la mort avec intention de la donné. En conséquence, vous vous êtes retrouvé dans un hôpital psychiatrique où vous n'êtes resté qu'un an et trois mois. Puis vous avez disparu des radars et devenu invisible pour tout le monde. Vous avez fini par vous isolé du reste du monde.

Le policier de la police des homicides finissait son élocution et laissa place au commissaire.

Au cours de l'interrogatoire, il avoua avoir tué ses propres parents et les enfants. Qu'il les mangeait pour satisfaire sa faim, et confia que le jour où la petite fut démembré c'était pour satisfaire un petit creux qu'il n'avait pas vraiment faim ce jour-là. Tous restèrent abasourdit par les dires de cette homme qui n'avait visiblement pas d'âme ni de coeur.

La sentence fut immédiate et il fut condamné à mort par décapitation.

Le lendemain matin au levé du jour, où le froid et le vent se mêlaient à l'ambiance.

Ce jour-là, quand tout le monde se mirent à pleurer et à crier en lachant prise, ils s'appochèrent du lieu de la sentance et se trouvèrent face à face avec le bourreau. Les hommes et les femmes jettèrent des tomates et d'autres objets non identifier, les enfants hurlaient et lui jettaient des jurons en pleine face.

L'exécutaire plaça sa tête à travers un trou et le positionnait à genous les bras croisés dans le dos. L'homme tenait dans une main une corde ficelé à une lame trachante en haut d'un cadre en bois.

Dès qu'il l'a lacha la lame descendit et allait finir sa course dans le cou du coupable l'expulsant de son corps et tombant dans un panier en osier.

FREAKS TOWN, retrouva une vie paisible et aussi tranquille qu'un enfant endormi ! ils n'entendirent plus parler de ce drame pendant des années.

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