Marius suite

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  • Marius ! Marius ! Où es-tu mon chéri, il est temps de rentrer à la maison, tu vas attrap froid dans la neige ? demanda la mère du petit.

Elle porta une robe de chambre qu'elle serra autour de la taille de ses bras et sur la tête se trouvait un filet pour maintenir sa permanente. Elle enfila ses bottes et sortit.

Une fois dans le jardin elle se mit à scruter les moindres recoin en regardant sous les feuillages tomber des arbres, mais ne trouva personne.

La scène qu'elle découvrit sous ses yeux, lui soulèva le cœur d'effroi, du sang laissé par le kidnappeur et des traces de pas dans la neige.

  • Qu'est-il arrivé ! Où est Marius ? demanda-t-elle à son mari.

Son mari partit lui ausssi à sa recherche en courant et criant des les rues de son village mais revenait vite à la maison sans aucune nouvelle du petit. C'était un petit village de cinq cents habitants s'ils avaient vus quelques choses ils lui informeront et décida de signaler sa disparition au commissariat.

  • Au secours ! Aidez-nous ! Notre fils a dit... Dispa... disparu ! Cria la mère qui passa à peine la porte.
  • Là... Là... Il y a... Du sang partout ! Mère balbutia.
  • Calmez-vous madame, calmez-vous ! Dites-nous ce qui se passe ? calma le commissaire.
  • Va t'asseoir, je vais lui parler. lui incita son mari.

Elle hocha la tête, puis s'assit dans une pièce exiguë.

  • Bonjour, commissaire ! nous sommes désolé de débarquer comme ça, mais nous voudront signaler la disparition de notre enfant. Il jouait tranquillement dans le jardin. Quand on lui a demandé de rentrer, il n'était... Il n'était plus là... ? il finissait sa phrase en sanglotant s'assit et enferma ses mains dans ses paumes, les coudes poser sur ses genoux.
  • Où habitez-vous, nous allons nous dépecher sur le champs ?
  • Vous trouverez la maison celle en briques rouges,en briques rouges,celle qui longe la fôret,au bout du chemin.
  • Très bien, resté ici ! ordonna le commissaire en lui tenant les épaules.
  • Lieutenant Barry, allez chercher de quoi prendre des photos et prendre des notes. Nous partons de ce pas ! et faites venir le Dr Jones,pour les prélèvement il faut il faut qu'il prélève le moindre indice que ce soit matériel ou ADN et apportez-leur quelque chose à boire ! Cette affaire sent vraiment mauvais ! se contenta-t-il de finir.

Ils se dirigèrent vers la rue des chamanes dans leur calèche.

L'agitation et panique était visible chez les habitants et dans les rues, tout le monde attendait des réponses sur ce qui se passait.

Le commissaire s'était à peine présenté à eux qu'il était prit à partit.

  • Bonjour commissaire nous savons pas ce qu'il se passe mais nous devons savoir sommes nous en danger? tout les villageois se posent des questions ! Questionna-t-il.
  • Nous n'avons aucune réponse à vous fournir pour le moment sachant qu'on vient juste d'en être informer. Il va falloir que vous patienter un peu, le temps pour nous de récolter la moindre preuves, quelle soit criminelle d'un ou plusieurs individus. Merci de libérer les lieux et nous laisser faire notre boulot. Vous en saurez plus, au moment voulu.

Le commissaire le laissa sur place et se rendait sur les lieux.

Dans le jardin, ce qu'il découvrit ne , c'était bien un enlèvement, vu les traces de sang et les traînées laisser par le ravisseur ne faisait aucun doute sur la nature de la disparition du petit.

  • Nous avons de la chance que la neige n'ait pas effacé les preuves.
  • Mais dépêchons-nous avant la tombée de la nuit, ils ont prédit un orage aujourd'hui. Disait le docteur.
  • Prenez bien soin de prendre le moindre échantillon, et moi de mon côté, je vais en profiter pour passer la scène au peigne fin. Je photographirai le mondre recoin.

Il s'approcha d'une empreinte qui laissait des marques de grolles, qui devaient être munies de crampons bien aiguisés et pointus.

Le docteur Jones préleva un échantillon de sang avec un coton-tige, l'avait mit dans un tube à essai le scellant dans un sac et avait inscrit le nom, la date et l'heure.

Après qu'ils rapportaient les preuves au laboratoire le commissaire demanda au medecin légiste de s'en occuper au plus vite.

Quand le lieutenant arriva en courant l'air affolé et cria.

  • Commissaire! Vous devez nous accompagner de toute urgence, nous avons besoin que vous vous rendiez dans la forêt de Westwood ! Un promeneur pense avoir retrouver l'enfant!
  • Je sens que cette journée est loin d'être finie.

Au bout d'un moment, le vent souffla dans les branches, les faisant danser dans le noir. Le tonnerre gronda au loin, et la pluie devint de plus en plus lourde.

L'ambiance du lieux était chargé d'éléctricité, le colonel s'approchait de la source et ce qu'il vit lui soulevait les entrailles. La tête de Martin était embroché sur une branche, les yeux clos et l'hémoglobine lui dégoulinait formant un ruisseau et longeait le long des feuillages. Il avait à peine au le temps de voir de plus près, que sa tête tombait au sol dans un bruit sourd.

Mon cœur a quitté ma poitrine.

Il se pencha en avant le tenant l'estomac et fini par tomber à genoux en défequant sur le sol en deversant des larmes de douleurs.

  • Tout va bien ? Vous avez besoin d'aide ? demanda e docteur. Agenouillée à ses côtés pour lui tenir compagnie.

Barnes leva à pouce en l'air lui signalant que tout allait bien.

  • Ça ira mais cette scène est vraiment insupportable. Avez-vous des résultats de laboratoire ?
  • Je les aurai dans la journée ne vous faites pas, je dois leur laisser ceux de cette cène de crime ils feront le rapprochement avec celles de ce matin. et sauront s'ils appartenait à la victime ou au tueur. Ils vous le déposeront sur votre bureau courant après-midi ou fin de journée au plus tard.
  • À Très bien ! Rentrons au poste et laissons les pompes funèbres s'occuper du reste.

Les gens du salon funéraire pirent la tête avec indifférence, la mirent dans une boîte et partirent avec désinvolture.

Dès qu'ils arrivèrent au poste après avoir intérroger la personne qui était sur place. Le dossier tant attendu planait déjà sur la surface du bureau.

Il s'adossa sur le dossier son son fauteuil en cuir et prit les dcumants à la recherche du moindre indice qui lui indiquerai qui était l'assassin. Il se mit à lire attentivement. Il pouvait y lire :

Les photos ci-jointe appartenait bien à Martin.

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